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l'on voulait faire remarquer tous les morceaux pleins de chaleur, d'énergie et d'entraînement.

J'ai voulu, dans cet ouvrage, esquisser rapidement le tableau de la littérature de mon pays. Cette littérature paraîtra bien pauvre comparée à celle du reste de l'Europe; mais si la Grèce, depuis un petit nombre d'années, depuis qu'elle songe à s'affranchir, a produit tant d'hommes de mérite, de quoi ne sera-t-elle pas capable lorsque son indépendance sera assurée, et son existence à l'abri des dangers!

FIN.

NOTES.

1. Le mot Cadim, dans les langues sémitiques, signifie ancien; celui de Thèbes signifie belle: beldéi tibbé, ville belle. Les Orientaux ont encore aujourd'hui l'usage de donner quelque épithète à leurs villes les plus considérables: Chami Tzennet-mékian, Cham le délicieux comme le Paradis; Halebous-sehba, Halep le splendide; Misr el Cahiré, Caire l'exterminateur.

2. Tzin, en grec Záv, Jupiter; Kiran, noípavos, roi; la plupart des noms de pierres précieuses, tels que mergian, μapzapíτns, perle; yakout, ¿zátnç, agathe; plusieurs noms arithmétiques; ceux des instrumens de musique, comme nables ou tables, sambyk, barbiton; des termes de religion, comme mestour, vstúpiov, mystère, etc.

3. La célébrité de cette république fut si étendue, que les Orientaux appelaient tous les Grecs du nom de Yonnan, Ioniens. Cette dénomination s'est conservée jusqu'à nos jours. Quant ils parlent des anciens Grecs, ils leur donnent le nom de Yonnan. Quant à nous Grecs modernes, ils nous appellent Roum, Romains, parce que les Grecs furent appelés Pwμaîos depuis Justinien jusqu'à la chute du Bas-Empire. Aussi, lorsqu'à l'origine de notre insurrection, les patriotes affectèrent, dans les proclamations et autres actes publics, de rendre à la nation

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sut aicet non elever, is Tur, qui entendaient rere demommmum pour premiere fois, ne compremusic pas l'amet de que permit is agissait. Mais piestere time me as Belens demandaient ces Barbate. ¤ mele conte innen-is I faut qu'ils viennent dr her ini, puste jamas nois i zvons entendu pronors jer 1000..

La aners ancers pacient pinsieurs fois de cet ičame vagare, cis en cent meme undiques mots. Les anters de la base gedat pourraient fournir à cet égard des documens vormiert, pour qui voudrait studier la conmeador des dens dauertes. Imns le commentateur Enstathe, au torte presyne a zhayne page pour expliquer des mos devents tog anciens et qui etent intelligibles au donziame sedie cat meme c'est ce qu'on nomme dulquirement......... eest te que usage apele... Et tous ces mots de Zancien idiome vulgare se retrouvent dans la langue grecque moderne. Vayun Memoire du Cher Mustard, insere dans "Anticingia de Florence, février, 1825-7

3. Les ouvrages de Samuel n'out pas et imprimės. Xous avions, mon frère et moi, dans notre maison paternelle, à Constantinople, le portrait de Samuel, notre grand-oncie. Jérémie, patriarche de Constantinople, l'aperçut un jour, et nous le demanda, parce qu'ayant eté l'archidiacre et le protégé de Samuel, il désirait placer son portrait dans le palais patriarcal. Mon frère le lui refusa, comme un héritage inalienable. Pen après, j'allai chez le patriarche, pour le feliciter sur son jour de fête.

Sa chambre était remplie de monde. Le patriarche alors me fit la même demande, en l'appuyant sur son attachement et sa reconnaissance pour Samuel. «Monseigneur, lui répondis-je, votre sainteté doit non-seulement conserver un grand attachement pour Samuel, mais aussi s'acquitter envers lui de tout ce qu'exige une reconnaissance réelle. Qu'elle fasse donc une chose digne du beau sentiment dont elle est pénétrée : elle nous demande le portrait de Samuel; mais un portrait, une statue, sont aussi précaires qu'insignifians; de tels monumens ne sont pas dignes de Samuel. Au contraire, ses ouvrages seraient les garans éternels de ses talens, de ses vertus et de ses travaux pour l'Église et pour la nation; c'est à votre sainteté de préserver ces ouvrages de l'oubli, en les faisant imprimer. Au lieu du portrait, nous offrons ses OEuvres manuscrites et les Mémoires sur sa vie, écrits de sa main. » Jérémie accepta ma proposition, et nous lui donnâmes une copie de notre manuscrit. Mais, ce patriarche ayant été déposé deux mois après, l'entreprise fut abandonnée.

6. Un des disciples d'Eugène fut Mésiodax, auteur de plusieurs ouvrages estimés, et en particulier d'un Traité contre l'Usage d'écrire en grec ancien.

7. Ce fut Théotoky qui suggéra à Grégoire Ghika, secrétaire-interprète de la Porte Ottomane, l'idée de visiter les débris de la bibliothéque des derniers empereurs grecs, conservée dans l'intérieur du sérail. Cet interprète ayant des relations d'amitié avec l'eunuque gardien des trésors de l'empire ottoman, obtint la permission d'entrer dans l'appartement de la bibliothéque; et, faute d'autres manu

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scrits précieux, il emporta la série des commentateurs de l'Ancien Testament; après en avoir pris une copie, il restitua le manuscrit,

Malgré le témoignage de Ghika, l'on croyait toujours qu'il existait, dans la bibliothèque du sérail, des ouvrages perdus des classiques grecs et latins. Mais le général Sébastiani confirma la déposition du prince Ghika, sur l'état de la bibliothéque. Ambassadeur de France à Constantinople, aimé du sultan Sélim, et jouissant d'une influence extraordinaire sur le ministère ottoman, cet insinuant diplomate demanda, comme une faveur des plus insignes, la permission de visiter la bibliothéque du sérail. Non-seulement Sélim lui accorda sa demande, mais il ordonna au gardien du trésor impérial de faire montrer à l'ambassadeur toute la bibliothéque, de lui laisser le temps de l'examiner, et de lui offrir, comme un présent de la part de Sélim, les livres qu'il y aurait choisis. Sébastiani examina scrupuleusement tous les livres que contenait la bibliothéque impériale; mais il n'y trouva que des parchemins sur des matières ecclésiastiques, et il choisit un magnifique manuscrit du Nouveau Testament.

8. Cette Physique parut en même temps que la belle traduction de la Pluralité des Mondes, de Fontenelle, traduction que la littérature grecque moderne doit au talent de Panajotaky Kodrikas d'Athènes, premier secrétaire de Michel Soutzo, hospodar de Valachie.

9. Un de ceux qui partirent de Vienne, et préférèrent le séjour de Leipsick, fut le négociant Théochary. Il devint un point d'appui pour les jeunes étudians grecs,

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