De la religion: considérée dans sa source, ses formes et ses développements, 4. cilt

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Bossange, 1831
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 291 - Quand l'homme, dit B. Constant, a sacrifié tout ce qu'il lui est donné d'offrir, les plantes, les fruits, les animaux, l'homme, le plaisir, la pudeur, la vertu même, il finit par immoler ses dieux. 35. Qu'est-ce que la prière? une méditation, le plus souvent toute faite, que...
Sayfa 268 - C'est par la douleur que l'homme s'améliore C'est comme principe d'activité , ou moyen de perfectionnement que la Providence nous la prodigue , avec une abondance dont tout autre système ferait une gratuite et inexcusable cruauté. La douleur réveille en nous, tantôt ce qu'il ya de noble dans notre nature, le courage ; tantôt ce qu'il ya de tendre , la sympathie et la pitié. Elle nous apprend à lutter pour nous, à sentir pour les autres.
Sayfa 478 - TometV, p. 485. mandements et d'interdictions arbitraires, s'agite en aveugle dans l'espace insuffisant qui lui reste; de quelque côté qu'il se tourne, il se sent froissé dans sa liberté. Bientôt il ne distingue plus le bien d'avec le mal, ni la loi d'avec la nature...
Sayfa 319 - Elicio facta invenisset, operatum iis sacris se abdidisse; sed non rite initum aut curatum id sacrum esse, nee solum nullam ei oblatam caelestium speciem, sed ira lovis sollicitati prava religione fulmine ictum cum domo conflagrasse.
Sayfa 144 - Maistre est pourtant de beaucoup le plus distingué des hommes de cette école. M. de Lamennais vient après lui , seul disciple digne de son maître , mais inconséquent , jouet des vents qui soufflent tour à tour sur son esprit, et craignant trop peu de se contredire. MM. Ferrand, de Bonald , d'Eckstein, n'ont emprunté de son système que ce qu'il a de faux. C'est du galimatias sans verve , de l'agitation sans chaleur; c'est dans les deux premiers une ignorance présomptueuse et de l'absurdité...
Sayfa 162 - Pour peu que l'homme rentre en lui-même, il est averti de sa double tendance et de la lutte constante qu'il soutient dans son propre cœur, théâtre de combats toujours renaissants, dont il est spectateur surpris et misérable victime. En vain travaille-t-il à rétablir une harmonie dont il n'est point destiné à jouir sur la terre. Tandis qu'il s'abandonne à l'une de ses moitiés discordantes, il ne saurait imposer le silence à l'autre. L'innocent succombe à la tentation, le coupable au remords103.
Sayfa 142 - Dieu, disait il, peut détruire le mal et ne le veut pas, ou il le veut et ne le peut pas, ou il ne le peut ni ne le veut, ou il le peut et le veut.

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