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que du Pont, s'adressa à l'impératrice et lui dit : Craignez Dieu, ayez pitié de vos enfants, ne souillez pas la fête de Jésus-Christ en versant le sang du juste. Mais l'impératrice ne recula pas le saint dut abandonner son peuple pour ne plus le revoir; Eudoxie ne se réjouit pas, ou du moins ne jouit pas longtemps de son triomphe; elle mourut le 6 novembre, à la suite d'une fausse couche. On considéra sa triste mort comme un châtiment de l'injustice commise à l'égard du patriarche. Elle laissa quatre enfants: Flaccilla, Pulchérie, Théodose, qui devint empereur, et Marianus.

Cf. Socrate, Hist. eccl., VI; Sozom., VIII; Philostorg., XI; Zosime, V; Pallade, de Vita Chrysost.; Chrys. Epist., surtout ad Innocent.; Tillemont, XI; Baronius, ad ann. 395 sq.

GAMS.

EUDOXIUS, évêque arien. Il faut, à ce que nous avons dit à l'article ARIUS, ARIANISME, ajouter ce qui suit : Le Symbole de foi formulé au second concile de Sirmium, en 357, ayant été favorable à l'arianisme, en ce sens qu'on avait évité les mots ὁμοούσιος et ὁμοιούσιος, | et enseigné que le Père est en honneur, dignité et majesté, au dessus du Fils, qui lui est soumis avec tout le reste (comme tout le reste), les évêques des Gaules surtout et plusieurs évêques d'Orient s'étaient opposés à cette formule. Malgré cela, les véritables auteurs de cette formule, Ursace et Valens, surent gagner plusieurs évêques, et parmi ceux-ci il faut nommer principalement Eudoxius, à cause de la grande influence qu'il exerça. On le voit, depuis 341, paraître comme évêque de Germanicia, en Syrie, et Sozomène (1) le dépeint comme un homme aussi savant que disert. Cependant il ne nous reste de ses écrits que quelques fragments de la dissertation sur l'Incarnation

(1) Hist. eccl., III, 14.

|

du Fils de l'homme. Si, dans l'origine, il avait partagé les opinions des Ariens modérés (semi-Ariens), si, du moins, il ne s'était pas ouvertement prononcé en faveur des Eunomiens, en 357 il se rangea complétement du côté des Ariens stricts.

se

En récompense de sa défection Ursace et Valers lui promirent, selon toute apparence, un des grands siéges de l'Orient. Léontius, métropolitain d'Antioche, étant mort la même année, Eudoxius, qui se trouvait à la cour, fit immédiatement autoriser à partir, et, sous prétexte de visiter son Église de Germanicia, se rendit à Antioche, et sans obstacle se fit adjuger le siége vacant. Malgré cette usurpation évidente, Ursace et Valens surent si bien mener ses affaires à la cour que Constance accorda, en 358, une lettre de confirmation à l'envoyé du nouveau métropolitain. Mais, tandis que le fondé de pouvoir était en route pour Antioche, les choses changèrent d'aspect. Eudoxius avait, au printemps de l'année 358, de concert avec Acace, évêque de Césarée, réuni à Antioche un synode qui ratifia les décisions de Sirmium; il avait même appelé auprès de lui les nouveaux chefs de l'arianisme, Aétius et Eunomius, d'Alexandrie, et les traitait ouvertement comme ses plus intimes amis. Mais Basile d'Ancyre et George de Laodicée, deux chefs considérés du parti des semi-Ariens, réunirent à Ancyre, contre Aétius et Eunomius, et en général contre les Ariens stricts, un concile qui soutint formellement le dogme de l'égalité du Fils et du Père et frappa de douze anathèmes le Symbole de Sirmium comme une hérésie impie.

Si l'on pouvait en croire le trèspartial Philostorge (1) et S. Épiphane, qui est peu sûr (2), Basile se serait élevé contre les Eunomiens, appelés aussi (1) L. IV, c. 8.

(2) Hæres., 73, n. 13.

Eudoxiens, par haine contre Eudoxius, parce qu'il aspirait lui-même au siége d'Antioche. Mais Théodoret (1) lui attribue une vie digne et honorable, démavos Broth, et il est vraisemblable, d'après cela, que Basile s'opposa aux Eunomiens par un véritable zèle pour la foi. Après la clôture de ce concile d'Ancyre, les évêques réunis envoyèrent une députation à Constance, et elle réussit à ouvrir les yeux à l'empereur et à lui prouver qu'il avait été trompé par Ursace et Valens, quant aux documents de Sirmium. Il en résulta que l'acte de confirmation délivré antérieurement fut déclaré nul, qu'Eudoxius fut chassé d'Antioche, qu'Aétius et Eunomius furent exilés en Phrygie, tandis que les deux évêques de cour et tous ceux qui avaient assisté aux conférences de Sirmium furent obligés de souscrire aux actes du synode d'Ancyre et à ses douze anathèmes. Constance dit, dans sa lettre à l'Église d'Antioche, qu'il est loin d'être favorable à des hommes tels qu'Eudoxius; que, quant à Aétius, on ne doit pas même le nommer; il exhorte les habitants d'Antioche à se souvenir des premiers actes du concile d'Antioche de 341, qui avait démontré que le Sauveur est le Fils de Dieu semblable en substance à son Père; il ajoute que ces gens (Eudoxius et Aétius) disent ce qui leur vient en tête; qu'il faut préalablement éloigner de la communion ecclésiastique leurs adhérents, jusqu'à ce que l'empereur ait déterminé une peine proportionnée à leur fureur, dans le cas où ils ne s'amenderaient pas. Quelque irrité que fut, dans le moment, le dogmatique empereur contre les Eudoxiens, que non-seulement on lui représentait comme des hérétiques, mais comme des sujets infidèles qui avaient pris part aux dispositions de

(1) II, 25

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révolte du César Gallus, le vent tourna bientôt à la cour. Les efforts réunis du chef des eunuques, Eusèbe, qui avait toujours été en bonnes relations avec Eudoxius, et de quelques évêques de ses amis, changèrent derechef les dispositions de l'empereur, remirent Eudoxius en faveur et lui firent rendre le siége patriarcal d'Antioche. Il est vrai qu'un synode de Séleucie, tenu par les semiAriens, dans lequel on lut un extrait d'un sermon d'Eudoxius disant aux fidèles que, si le Père avait un Fils, il fallait qu'il eût une femme, avait déposé cet évêque et mis un certain Anianus à sa place. Mais, avant que la députation qui apportait les décisions de la majorité de ce concile à l'empereur et allait demander la confirmation de ses actes parvînt à la cour, Constance avait été gagné à la cause d'Eudoxius et d'Acace, et on exigea de la députation de Séleucie qu'elle souscrivît, en son nom et au nom des Pères du concile, un Symbole qui rappelait les décisions de Rimini. Cela fut fait dans les premiers jours de 360. Mais les Eudoxiens durent à leur tour se soumettre à un sacrifice. Les députés du concile de Séleucie, dès leur arrivée à Constantinople, avaient remis entre les mains de l'empereur une profession de foi d'Aétius, qu'ils disaient renfermer les opinions d'Eudoxius. L'empereur, qui craignait de scandaliser par trop les fidèles en favorisant ouvertement les Ariens stricts, lut cette profession, en reconnut l'impiété, et apostropha rudement l'évêque d'Antioche. Celui-ci se tira d'affaire en disant que c'étaient là les opinions d'Aétius, et en soutenant effrontément que, quant à lui, il avait des opinions toutes différentes, quoique le monde entier sût qu'Eudoxius était en rapport intime avec cet homme. En 360 les principaux promoteurs du semi-arianisme furent, sous divers prétextes, déposés par un synode de Constantinople, et les vain

queurs se partagèrent l'héritage des vaincus. Eudoxius sut se réserver la meilleure part, savoir le siége de Constantinople, et, une fois parvenu à ce poste, il favorisa de tout son pouvoir le parti du strict arianisme.

Cf. Möhler, Athanase le Grand et l'Église de son temps, 2e partie; Gfrörer, Hist. univ. de l'Égl., t. II, 1re sect.; Schrökh, Hist. de l'Égl. chrét., 6o part.

FRITZ.

EUERGISTUS (S.), évêque de Cologne. On a de cet évêque une biographie que Surius a abrégée et publiée (24 octobre), et qui remonte à peine au delà du treizième siècle. Elle fait descendre Euergistus d'une noble famille de Tongres, et dit qu'il était dès sa jeunesse remarquable par ses grâces extérieures et la culture de son esprit. Ses parents le consacrèrent à l'état ecclésiastique. S. Séverin étant venu à Tongres pour travailler à l'extirpation de l'hérésie répandue par Euphrates, apprit à connaître cet enfant plein d'espérance et l'emmena avec lui à Cologne.

Là Euergistus s'adonna plus assidument encore aux études théologiques, devint diacre, et fut, comme tel, jugé digne de participer à la vision qu'eut S. Séverin (1), au moment de la mort de S. Martin de Tours. Lorsque S. Séverin mourut les habitants de Cologne élurent à sa place Euergistus, malgré sa résistance. Il rehaussa l'éclat de l'Église de Cologne par ses vertus et ses travaux, et porta tant d'intérêt aux embellissements de la ville que dès cette époque elle fut nommée Aurea Colonia. Étant très-âgé il souffrait un jour de forts maux de tête; il n'en faisait pas moins la visite ordinaire des églises de la ville, et entra dans celle de S. Géréon en disant le verset: Exultabunt sancti in gloria; il entendit du ciel une voix qui répon

(1) Voy. SEVERIN (S.).

dait: Et lætabuntur in cubilibus suis; d'où il conclut que ce devait être ce jour-là même que les saints honorés dans cette église avaient été martyrisés; on célébra en effet dès lors leur fête à cette date. Il prit un peu de poussière de l'église, sur laquelle il fit un signe de croix, et s'en frotta la tête; son mal s'évanouit immédiatement. - Son zèle pastoral le poussa à Tongres; il voulait extirper les restes du culte des idoles. Sa prédication fut couronnée de succès. Mais le moment de la rétribution céleste était arrivé pour lui. Une nuit il se leva pour prier, suivant son habitude, dans le couvent de NotreDame. Tandis qu'il s'y rendait, tout en disant des psaumes, des voleurs l'attaquèrent et le tuèrent d'un coup de poignard. L'évêque et le peuple de Tongres inhumèrent solennellement le martyr dans l'église de Notre-Dame, toutefois dans un endroit caché, de peur que les habitants de Cologne ne vinssent de force s'emparer des saintes reliques. Des miracles signalèrent son tombeau.

Il est historiquement certain que l'archevêque Bruno, frère d'Othon Ier, transféra, en 953, les ossements d'un évêque nommé Évergisilus, qui passait pour le troisième évêque de Cologne, de Tongres à Cologne, et les déposa solennellement dans l'église de Sainte-Cécile, où il y eut également des miracles (1). L'histoire de la translation rapporte que Bruno, le vingt-deuxième successeur de S. Euergistus, fit, en 952, un voyage pour des affaires d'État (il s'agissait d'un congrès de princes) dans la contrée de Tongres. Au retour il passa la nuit à Tongres même, et déplora vivement le sort d'une ville autrefois si grande, que ses crimes et la guerre avaient précipitée si bas. Pendant son sommeil S. Euergistus lui apparut,

(1) Vita Brunonis, de Ruotger, c. 31. Pertz. VI, 266.

vêtu d'un habit sacerdotal en lambeaux, et lui annonçant qu'il désirait quitter ce lieu. Bruno délibéra le matin avec son conseil sur cette apparition; puis il fit mettre de côté l'autel ruiné qui recouvrait la tombe d'Euergistus, fit enlever le corps du saint, qu'on porta, malgré les larmes des habitants, à Cologne, où on le déposa, au milieu d'une foule immense, dans l'église de Sainte-Cécile, le 28 mars. Depuis lors de constants miracles glorifièrent la sépulture du saint évêque (1).

On remarquera que S. Grégoire de Tours (2) parle de la santé que recouvra un évêque de Cologne, nommé Ébérégisilus (Eberegisili episcopi, qui tunc hujus urbis (sc. Agrippinensis) erat antistes), lequel, se trouvant dans une maison de campagne tout près de la ville, se fit chercher par son diacre un peu de poussière de l'église de Saint-Géréon pour adoucir ses intolérables maux de tête. A peine s'en fut-il frotté le front que son mal disparut. Il est évident que le fait de la biographie que nous avons rapporté, concernant le mal de tête de S. Euergistus et sa guérison dans Saint-Géréon, est le même que celui dont parle S. Grégoire; seulement l'histoire fut plus tard modifiée et ornée: on fit visiter l'église de SaintGéréon par le saint lui-même, et on ajouta la réponse du ciel que nous avons rapportée. On voit la même modification locale, avec le reste des paroles presque textuelles de Grégoire de Tours, dans la légende de S. Géréon (Surius, au 10 octobre), avec cette seule différence qu'on n'y trouve pas la conséquence que l'évêque tira des réponses qu'il entendit pour attribuer à ce jour-là le martyre de S. Géréon et de ses compagnons. Le même évêque de Cologne, Ébérégisilus, découvrit,

(1) Hist.transl., Pertz, VI, 279. (2) Mirac., 1, 62.

d'après Grégoire de Tours (1), le tombeau de S. Mallosus (Mallusius). En effet, il y avait près de l'oppidum Bertunense, dans le diocèse de Cologne, un oratoire de ce saint, et on disait qu'il y avait subi le martyre. L'évêque y fit bâtir une église (basilica) et· se proposa d'y déposer les ossements du saint, dans le cas où il les découvrirait. Sur ces entrefaites un diacre de Metz, qui n'avait jamais été en cet endroit, lui manda, à la suite d'une vision qu'il avait eue, que le corps du saint reposait caché au milieu de l'abside que l'ancien oratoire formait dans un des bas-côtés de la nef de l'église, et en effet on trouva le tombeau à sept pieds sous terre. Des odeurs parfumées qui s'élevèrent de la tombe et la conservation du corps prouvèrent qu'on avait découvert ce qu'on cherchait. L'oppidum Bertunense est Birten, près de Xante, et non Vérone ou Bonn. On ne sait quand ni comment les ossements' de S. Mallusius furent plus tard transférés dans le couvent de Saint-Cassius, à Bonn. Grégoire de Tours raconte en outre (2) que l'évêque de Cologne, Ebrégisilus (un manuscrit porte en cet endroit Ébérégisilus) (3), fut envoyé avec lui et l'évêque de Poitiers, vers 590, par le roi d'Austrasie, Childebert II (576-596), au roi de Bourgogne, Gontran (561-593). Il raconte encore qu'un Ebrégisilus, qui est sans aucun doute le même évêque de Cologne, fut, en 589, envoyé de la part de Brunehild, mère du roi, avec de riches présents, à la cour d'Espagne (Visigoths), en remarquant qu'il y avait déjà fait fréquemment des voyages en qualité d'ambassadeur. Cette fois le roi Gontran le fit saisir, mais le relâcha plus tard (4).

Il n'est pas douteux que, dans tous

(1) Mirac., I, 63.

(2) Hist. Franc., X, 15.

(3) Bouquet, II, 373.

(4) Greg. Turon., Hist. Franc., X, 28.

ces passages, Grégoire de Tours parle | S. Séverin, c'est qu'on célèbre sa fête à

d'un seul et même évêque de Cologne, Cologne le 24 octobre, c'est-à-dire imÉbérégisilus ou Ebrégisilus, et non de médiatement après S. Séverin, ce qui deux, et que cet évêque appartient au prouve en même temps qu'au temps temps de Grégoire, c'est-à-dire tout où l'on choisit ce jour on ignorait le à la fin du sixième siècle. Lorsque Gré-jour propre de la mort de S. Euergistus goire dit (1) qui tunc hujus urbis et l'histoire de sa vie. Il en résulte de ( Agrippinensis ) erat antistes, il ne même que le culte de ce saint ne s'étarésulte pas du tout de l'ensemble du blit à Cologne qu'à dater de cette trarécit qu'il fût déjà mort au moment où dition, au dixième siècle; ce qui s'acGrégoire (+594) parlait de lui. D'un corde avec le silence que garde sur ce autre côté le passage du chapitre 63, culte le calendrier de l'Église de Coloqui parle d'un diacre de Metz connais- gne publié par Binterim et tous les sant la construction de l'église de Co- martyrologues du neuvième et du logne par l'évêque et les recherches dixième siècle. Ce culte n'est cité que qu'il fait pour découvrir les ossements dans les suppléments d'Usuard ( Act. de S. Mallusius, ramène clairement au Sanct. Boll., Junii VIII, 625), qui le temps des Franks, où Metz était la ca- placent à Cologne le 24 octobre, en repitale de l'Austrasie, dont l'évêque de marquant que l'évêque Euergistus Cologne fréquentait la cour. Cette mourut réellement le 14 septembre. construction de l'église de Cologne s'a- Toutefois, à cette date elle-même, audapte parfaitement à la fin du sixième cun ancien calendrier, aucun martyrosiècle, et nullement au cinquième, si loge ne parle de cette fête, dont il n'est agité et si fécond en dévastations, fait mention de nouveau que par les époque à laquelle la biographie de S. suppléments d'Usuard (1). Le vieil auEuergistus rapporte cet évêque en qua- tel qui fut enlevé à Tongres semble inlité de disciple de Séverin, et où diquer que, pendant un certain temps, chaque jour pouvait anéantir ce qui on n'accorda pas grande attention à ce avait été édifié la veille. Il faut donc tombeau. Si donc nous penchons à adétablir, ou qu'il y eut deux évêques de mettre que S. Euergistus transféré par Cologne du même nom, savoir un Euer- Bruno à Cologne n'était pas le disciple gistus ou Évergisilus du cinquième siè- de S. Séverin, mais était précisément cle, et un Ébérégisilus ou Ebrégisilus l'Ebérégisilus du sixième siècle, nous du sixième, ou admettre que ce second sommes d'accord avec un passage de la évêque fut plus tard rapporté à la date biographie qui lui attribue les embellisdu cinquième siècle. Cette dernière sements de Cologne, d'où lui vint son opinion est confirmée par beaucoup de nom d'Aurea Colonia, ce fait étant incirconstances: tous les catalogues d'é- conciliable avec un évêque du cinquièvêques et les chroniques, imprimés me siècle, et s'adaptant parfaitement ou non, ne connaissent qu'un évêque avec un évêque influent à la cour, au de Cologne, Euergistus, qu'ils font le temps des Franks. Quand l'histoire de successeur immédiat de S. Séverin; la translation dit qu'Euergistus fut le mais ce qui prouve suffisamment que vingt-deuxième successeur de Bruno, le renseignement du dixième siècle sur ce fait s'adapte de même le plus faciS. Euergistus se borne à conjecturer lement à l'Ebérégisilus historique du qu'il fut le successeur immédiat de sixième siècle. Il est vrai que les chro

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