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Cf. Victor de Vita, évêque, Historia persecutionis Vandalicæ; surtout lib. II Baronii Annales, ab H. Spondano in epitomen redacti, Moguntiæ, 1614, p. 557, 560, 568.

EUGÈNE (S.), ARCHEVÊQUE De ToLEDE de 647 à 658, fils du Goth Évantius, fut attaché pendant quelque temps au clergé de la cour de Tolède, s'enfuit à Saragosse par goût pour la vie monastique, et y prit l'habit religieux dans le couvent de S. Engratia.

sous prétexte de posséder seuls la vraie | rent Thrasamond, successeur de Guntadoctrine, qu'il voulait enfin mettre mond, à exiler de nouveau, en 498, l'éun terme à ce scandale; qu'en consé- vêque de Carthage, qui, transporté quence tous les évêques devaient com- dans les Gaules, mourut à Albi en 505, paraître au commencement de février en odeur de sainteté. 484 à Carthage, pour prouver, dans une conférence publique avec les évêques ariens, que leur foi était fondée sur l'É- | criture. Il était naturellement arrêté d'avance qu'ils seraient battus, et c'est pourquoi Eugène voulait au moins avoir des témoins qui pussent affirmer que les Catholiques succombaient, non sous les raisons et objections des Ariens, mais sous leur violence. Il pria par conséquent le roi, au nom de ses collègues, d'autoriser des évêques étrangers, et principalement des représentants de l'Église romaine, à assister à la discus- Après la mort du métropolitain Eusion, parce qu'il s'agissait de la foi com- gène I, en 647, Eugène fut, contre son mune de toute la Chrétienté. Hunéric gré, élevé par le roi Chindaswinth au refusa, fit emprisonner ou exila avant siége archiepiscopal. Petit de stature, la conférence les plus savants et les plus faible de santé, le nouveau prélat déardents évêques catholiques, et finale- ploya toutefois un zèle ardent dans ses ment le patriarche arien éluda la discus- fonctions, améliora le chant ecclésiastision, parce que, disait-il, il ne parlait pas que et les offices, et se distingua comlatin. Les évêques catholiques n'eurent me écrivain et poëte. Suivant le rapport pas autre chose à faire que de remettre de son successeur au siége de Tolède, leur profession de foi par écrit ; Hunéric S. Ildefonse, il écrivit un livre sur la y répondit en la déclarant erronée, et, Trinité, probablement pour combattre comme l'empereur Zénon n'avait natu- ce qui restait de l'arianisme parmi les rellement pas accepté la condition im- | Visigoths. Il corrigea, à la demande du posée par le roi des Vandales, celui-ci re- roi, le poëme de Dacrontius sur les six tira à tous ses sujets catholiques le libre jours de la création, et y ajouta le sepexercice de leur religion, leur appliqua tième jour, qui manquait; il composa les peines édictées dans l'empire romain en outre plusieurs autres écrits en contre les hérétiques, exila quarante-six prose et en vers. Ce qui a survécu de évêques catholiques en Corse et trois toutes ces œuvres a été en majeure parcent deux dans les déserts de l'Afrique. tie publié à Paris, 1696, et à Venise, Ce fut le sort d'Eugène. Il fut, il est 1728, par le Père J. Sirmond, Jésuite; vrai, rappelé quelques années plus tard ce sont: 1o divers poëmes sur des sujets par Guntamond, roi des Vandales, et religieux et mondains; 2o le poëme cors'occupa immédiatement d'obtenir le rigé de Dacrontius, avec une lettre au rappel des autres évêques et la restitu- roi Chindaswinth, dans laquelle il lui tion des églises enlevées aux Catholi- expose le plan qu'il a suivi. Le livre de ques; mais ce zèle et le don des mira- la Trinité est perdu. Ferréra remarque cles que Dieu avait accordé au saint dans son Histoire d'Espagne, à l'année évêque irritèrent les Ariens et poussè- | 658, qu'on trouve dans l'église de To

ENCYCL. THEOL. CATH. — T. VIII.

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lède un manuscrit en vers, et un autre manuscrit comprenant des lettres d'Eugène, dont l'une est adressée au roi, l'autre au métropolitain de Tarragone, Protasius. Dans cette dernière on voit que Protasius l'avait prié de composer une messe de S. Hippolyte et quelques discours pour des jours de fête, et qu'Eugène répondit que, si sa faible santé n'y mettait pas d'obstacle, il remplirait le désir du métropolitain, sans pouvoir promettre que ses nouveaux travaux vaudraient les précédents. Le style d'Eugène est naturel et limpide, son exposition facile et agréable; il a du feu, de l'esprit et de la verve poétique; la piété respire dans tout ce qu'il dit; sa pensée est abondante, nourrie, et trahit toujours un écrivain instruit. Eugène mourut en 658, le 13 novembre, jour où l'Église fait mémoire de

ce saint.

Cf. Ildefonsus Tolet. de Script, eccles., c. 14; Sirmondi opera, Venet., 1728, t. 2, p. 610; Ferréra, Hist. d'Espagne, de 647 à 658.

SCHRÖDL.

EUGIPPIUS, disciple et biographe de S. Séverin, et abbé du couvent de SaintSéverin, à Lucullanum, près de Naples. S'étant associé à son pieux maître, en Norique (1), il prit part à sa merveilleuse activité et fut témoin de la plupart des actions qu'il raconte dans la vie de S. Séverin. Il assista à sa mort, dans le couvent de Faviano, en 482, se trouva en 488 à l'ouverture de son tombeau, dont s'exhala un parfum agréable, et se rendit en Italie avec les disciples de S. Séverin et les Romains qui se trouvaient en Norique, et qui emportèrent les reliques du saint. Une pieuse et noble dame de Naples, nommée Barbaria, offrit sa villa de Lucullanum pour y recevoir le corps saint, et c'est ainsi que cette villa devint une église et un

(1) Voy. BAVIÈRE.

couvent érigés en l'honneur de S. Séverin. Martien, disciple du saint, fut nommé abbé de ce couvent et eut pour successeur Eugippius. On ignore dans quelle année il fut élu, combien de temps il resta à la tête du couvent, quelle fut la date de sa mort; toutefois son nom se répandit rapidement au loin, grâce à la biographie de son maître qu'il rédigea en 511. Lorsqu'il l'eut terminée, il l'envoya, avec une lettre qui existe encore, à un diacre nommé Paschase, qu'il priait de corriger son ouvrage, et d'y ajouter le récit des miracles qui avaient eu lieu durant le voyage de Norique en Italie et à Lucullanum même, sur le tombeau du saint. Paschase répondit, dans une lettre qui subsiste également, qu'il jugeait inutile de rien ajouter ou changer au travail qu'il avait reçu, dont le récit simple et véridique était fondé, non sur des témoignages étrangers, mais sur ce que l'auteur avait vu luimême, et qui, par conséquent, ne pouvait être mieux raconté par personne. En effet, la biographie est si fidèle, si exacte, si simple et si pleine d'onction, qu'on peut, à cet égard, la considérer comme une des meilleures monographies de cette époque. Mais elle a encore un prix tout spécial en ce que, rapportant la vie du saint dans toutes ses relations avec les Romains et avec les Germains, s'agitant tumultueusement dans la Norique et la Rhétie, elle est le seul monument de l'histoire, non-seulement ecclésiastique, mais politique, des contrées du Danube de ces derniers temps de la domination romaine, et donne d'abondants et d'importants renseignements sur la situation de plusieurs races allemandes. On la trouve, sauf plusieurs chapitres, dans Surius, t. I, ad 8 Jan.; Baronius en a introduit quelques chapitres dans ses Annales, à l'année 450; elle est entière, mais sans critique et falsifiée, dans Marius Welser, Opera, Norimb., 1682, t. I. Enfin les meilleures éditions sont celle

des Bollandistes, t. I, ad 8 Jan., et celle, du Bénédictin de Mölk, H. Pez, Script. rer. Austriac., t. I, p. 61. Outre cette biographie Eugippius rédigea, pour les moines de son couvent, une règle qui n'existe plus.

Faut-il attribuer à Eugippius, ou à un autre auteur de ce nom, l'extrait des œuvres de S. Augustin destiné à la vierge Proba, parente de Cassiodore (édité à Bâle, 1542, Venise, 1543)? La question n'est pas résolue.

Cf. Vie de S. Séverin, dans Boll. et H. Pez, 1. c.; Isidor. Hispal., de Script. eccl., c. 13, in Bibl. eccl. Fabricii, Hamburgi, 1718; Rettberg, Hist. de l'Egl. d'Allemagne, t. I, p. 227.

SCHRODL.

EULALIE (SAINTE), vierge et martyre. On fête en Espagne deux saintes de ce nom : Eulalie de Barcelone et Eulalie de Mérida; mais, comme les actes de leur martyre ont une grande ressemblance, plusieurs auteurs n'admettent qu'une Eulalie. Cependant tous les anciens martyrologes en citent deux. Les Bollandistes parlent de celle qui est la moins célèbre, celle de Barcelone, au 12 février. Eulalie de Mérida, beaucoup plus renommée, a été chantée par le poëte chrétien Prudence, 1. 3, Tepi Távov. Née dans une noble famille près de Mérida, et aspirant à la sainteté dès son enfance, la jeune fille quitta secrètement la maison paternelle à l'âge de douze ans, entre 303 et 305, et se rendit à

Mérida devant le tribunal de Dacien, gouverneur de la province, pour obtenir la palme du martyre. Le cruel magis

trat fit en effet déchirer avec des cram

pons de fer les flancs de l'héroïque enfant, qui se moquait des dieux et chantait au milieu du supplice, dit Prudence.

Enfin, après avoir fouillé jusque dans ses entrailles, les bourreaux l'entourè

rent de torches ardentes dont les flammes la consumèrent.

Lorsque la persécution eut cessé, les Chrétiens de Mérida, qui était un siége épiscopal, élevèrent un temple magnifique en l'honneur d'Eulalie. Grégoire de Tours, Vénantius Fortunatus, Isidore de Séville, Jean de Biclar, etc., parlent de Ste Eulalie et des miracles opérés par son intercession.

Voyez Ruinart, Actes authent. des Martyrs. SCHRÖDL.

EULALIUS, ANTIPAPE. Après la mort du Pape Zozime, à la fin de 418, une élection régulière et canonique éleva au Saint-Siége Boniface Ier; mais en même temps une minorité factieuse du clergé élut l'archidiacre Eulalius, qui, protégé par le préfet de la ville, Symmaque, chercha à expulser le Pape légitime. Symmaque adressa de faux rapports à l'empereur Honorius afin de le gagner à ses vues, et ce fut la première fois que le pouvoir temporel s'immisça à une élection pontificale (1); mais la vérité fut reconnue, et Eulalius fut chassé de Rome comme

intrus.

un

tard évêque de Nepe (Nepi, Nepesinæ Il se rendit à Antium, devint plus Ecclesiæ episcopus), et se tint tranquille durant le pontificat de Boniface. Lorsqu'après la mort de ce pontife le parti d'Eulalius voulut se remuer de nouveau et l'opposer comme antipape au Pape refusa les propositions qu'on lui adressa légitimement élu, Célestin Ier, Eulalius et renonça librement à toute prétention Célestin Ier eut, au commencement de au siége apostolique. Quand on dit que faut entendre par là le parti d'Eulason pontificat, à combattre Eulalius, il

lius.

Voyez Baron. ad ann. 419, n. 41, et

(1) Conf. BONIFACE Ier.

423, n. 9; Spondan., ad ann. 423, | du second siècle, Tertullien, S. Cyn. 3; Fleury, Hist. ecclés., liv. XXIV, prien, etc., etc., ne parlent pas des eulogies.

n. 32.

EULOGIES (PAIN BÉNIT), Eulogia. Cette expression, qui, d'après I Cor., 10, 16, a chez les Pères le même sens que euyapatía, l'Eucharistie, la sainte Cène (μvotixń súλogía) (1), est prise parfois pour la partie du pain consacré qu'on donne aux communiants (2). Cependant on comprend généralement sous le mot λyía le pain de l'offrande, qui | servait de matière au sacrifice, et lequel, après avoir été bénit, était, à la fin de la messe, distribué aux fidèles qui n'avaient pas communié, pour suppléer à la communion sacramentelle.

Le but de cette institution, comme l'indique l'attribut ¿vrd@pov, vicarius s. communionis, était de faire participer extérieurement à la bénédiction des saints mystères ceux qui ne pouvaient ou ne voulaient pas communier sacramentellement. Cet usage était généralement connu depuis le quatrième siècle.

Quant à l'Église grecque, on en trouve la preuve dans Const. apost., 1. VIII, c. 37; Conc. Laod., 372, c. 32; Gregor. Naz., orat. 23, in fun. Patris. Pour l'Église latine on a prétendu que l'usage en avait été ordonné par le Pape Pie Ier, 142-147, dans le décret : Ut de oblationibus quæ offeruntur a populo et consecrationi supersunt, vel de panibus quos offerunt fideles ad ecclesiam, vel certe de suis, presbyter convenienter partes incisas habeat in vase nitido, ut, post missarum solemnia, qui communicari parati non fuerint, eulogias omni die Dominica et in diebus festis exinde accipiant. Mais ce décret est évidemment faux, car les écrivains

(1) Cyrill. Alex., Ep. ad Calosyr. (2) Ibid., Ep. ad Nestor.

Quoi qu'il en soit de l'origine de ce canon (1), la reproduction textuelle qu'en fait le concile de Nantes, c. 9 (d'après Sirmond, 658; d'après d'autres, 800, ou plus tard encore), et Hincmar, prouvent le fait et le mode de cet usage à cette époque. Cependant il remonte plus haut que ce concile et que Hincmar, car Grégoire de Tours (2) fait mention des principes arrêtés qu'on suit dans la distribution des eulogies (3). Dans la suite nous trouvons beaucoup de documents par lesquels les évêques en recommandent l'usage. Dans l'Admonitio synodalis, qu'on attribue habituellement) à Léon IV, il est prescrit aux curés de « distribuer les eulogies au peuple après la messe. » Hincmar ordonne la même chose, ann. 852. Régino, dans son Inquisitio visitationis episcopalis, no 61, veut qu'on s'informe si cette distribution a lieu le dimanche et les jours de fête.

C'est dans les couvents que les eulogies étaient le plus souvent distribuées (4). Dans l'Église latine et hors des monastères on n'en faisait la distribution que les dimanches et jours de fête (5), comme c'est encore la coutume dans différentes églises (6), notamment en France, tandis que chez les Grecs cette distribution a lieu tous les jours (7).

(1) Voy. Binterim, Memorab., t. IV, p. III, p. 544.

(2) Hist. Francor.

(3) Par exemple, l. V, c. 14 sq. Conf. Conc. Carth., III, c. 5.

(4) Voy. Mabillon, in Præf. I ad sæcul. III. Acta SS. Ord. S. Bened., § 61. Conc. Aquisgran., 817, c. 68. Bona, Rer. liturg., l. II, c. 19, § 7. (5) Durand, Ration., l. IV, c. 53, § 3. (6) Rit. Alet., ann. 1771.

(7) Lit. Chrysost., dans Goar, Eucholog., fol. 85 et 200.

Les expressions dont on se sert pour | ἄρτος λειτουργηθείς ; d'autres encore croient désigner les eulogies, panis benedic- que c'est comme partie des πрco¶cрá, tus, aproc aquívoc, proc beios, prouvent type du corps virginal de Marie, qu'elles quel sens on y attache: ce sont des sont bénites (1). choses sacramentelles. On peut donc, comme pour les autres choses sacramentelles, considérer dans les eulogies la matière, la forme, la signification, l'effet, le sujet et le rite de l'administration.

1. En Occident on se servait, après avoir séparé le pain nécessaire pour le sacrifice, de la portion restante de l'offrande, ou, comme c'est encore l'usage, de pain ordinaire qu'on présentait à l'offertoire pendant la messe. En Orient on se servait du pain dont on découpait l'hostie qui devait être consacrée, et qu'on nommait άvrdõpov; mais on prenait aussi, comme on le fait encore, des pains entiers, non divisés, ainsi qu'on peut le conclure des Const. apost., ì. VIII, c. 37, d’Hippolyte, de Socrate, de S. Grégoire de Nazianze (1): on les nommait εὐλογίας.

2. Ces eulogies, dans le sens strict indiqué, étaient bénites à part dans l'Église grecque (2), ainsi que dans l'Église d'Occident. Le synode de Nantes donne la formule de bénédiction (3); celle-ci avait lieu en général après l'offertoire. Le Rituel de Strasbourg de l'année 1742 a, p. 278, cette rubrique Benedictio panis in missa parochiali fit post oblationem panis et vini. Les Grecs n'ont pas de formule particulière pour bénir les aviJapa; de là les diverses opinions des Grecs sur la manière dont la vertu de la bénédiction est transmise aux eulogies, les uns pensant que c'est par les prières faites à l'offertoire (4), les autres par toutes les prières de la liturgie,

(1) Voy. dans Binterim, 1. c., p. 541. (2) Gregor. Naz., in Fun. Patr. (3) Voy. Binterim, l. c., p. 544, note. (4) Siméon Thessal.

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3. La signification des eulogies ressort de leur rapport avec l'Eucharistie. Elles servent à conserver le souvenir du pain céleste, à éveiller le désir de s'en nourrir; elles sont un signe de l'union avec Jésus-Christ, de la communion de l'Église et de la fraternité des fidèles. Moyennant la manducation, elles sont une sorte de Communion spirituelle. On peut consulter, sur leur rapport avec les choses sacramentelles, S. Thomas (2).

4. L'effet de l'Eucharistie indique l'effet symbolique des eulogies, qui n'est pas autre que la conservation des grâces résultant du saint Sacrement. Quant à leur rapport avec le corps, on ne peut le déterminer plus exactement que dans les autres choses sacramentelles. On peut consulter ce que Gretser, de Benedict., 1. II, c. 24 sq., raconte de la vie de S. Hilarion et de S. Bernard. Nous voyons dans Goar, l. c., ce que les Grecs en pensent: Spiritualis et aliorum bonorum liberalis profusio... proficisci creditur.

5. Dans l'origine, suivant les Const. apost., 1. VIII, c. 31, c'étaient les clercs qui recevaient les eulogies; plus tard ce furent aussi les laïques autorisés à communier, surtout ceux qui ne communiaient pas réellement. On exigeait une disposition à peu près analogue à celle qui est nécessaire pour s'approcher de la sainte Communion (3). On les refusait à ceux à qui l'accès de la sainte Communion n'était pas permis encore ou avait été enlevé; par conséquent, premiè

(1) Voy. Goar, Euchol., nota 190, fol. 154. (2) Summ., III p., quæst. 80, art. 1.

(3) Voy. Goar, c., et un sermon, prononcé par Badoire, 1722, prône LVIII, sur le Pain bénit, dans Mignet, p. 668.

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