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Innocent Ier, auprès duquel S. Jérôme | Il fut anathématisé de nouveau, lui et et les vierges se plaignirent de ces son hérésie, au concile de Chalcédoine. odieux traitements, sans toutefois nom- Le reste de sa vie fut tout à fait obsmer personne, fait clairement compren- cure; il vivait encore en 454; il mourut dre, dans sa lettre à Jean, qu'il le soup- probablement en exil. Il est digne de çonne et le rend responsable pour l'a- remarque que tandis que, sa doctrine et = venir de malheurs semblables. Eusto- celle de Nestorius s'écartent également quie mourut en 419, et l'Église la vénère et dans un sens diametralement opposé parmi les saintes le 28 septembre. de la vérité, il y eut une analogie frappante dans le caractère des deux personnages et dans leur conduite. Tous deux extérieurement austères, sans conversion véritable du cœur; avides de popularité; destitués d'une science profonde; adversaires et persécuteurs exagérés des hérétiques; ayant d'euxmêmes la plus haute opinion, et se croyant les dépositaires, les conservateurs, les défenseurs uniques de la vraie foi; d'un entêtement invincible qui les rendait sourds à tout enseignement; implacables envers leurs adversaires et n'épargnant ni mensonge ni violence pour en triompher, tous deux eurent la même fin et succombèrent devant la vérité. Leur hérésie est toute différente dans la forme, mais le fruit d'un même esprit d'erreur.

EUTHALIUS. Voy. STICHOMÉTRIE. EUTHARIUS, EUTHÉRIUS, ÉLEUTHÈRE, fut, d'après les Annales de Lorch, évêque de Lauréacum (Autriche), vers l'an 268, et prêcha l'Évangile à Fabiana (Vienne). On le confond ordiDairement avec l'évêque Euthérius, qui assista au concile de Sardique en 347 et en souscrivit les actes; mais, abstraction faite de ce que ce dernier signa Euthérius a Pannoniis, ce qui ne s'adapte pas à Lauréacum, près de Linz, sur le Danube, la grande différence des dates de 268 et 347 indique deux personnages différents. On n'a pas d'autres renseignements sur Eutharius.

Cf. Hundii Metropolis Salisburg., t. I, p. 191.

EUTYCHÈS (1) était déjà âgé de de soixante-dix-sept ans, d'après son propre dire, lorsque son hérésie fut connue. Il la répandit avec une activité extrême, la résuma dans une espèce de symbole, et l'envoya dans plusieurs couvents pour l'y faire adopter. Eutyches, qui s'était adonné toute sa vie à l'ascétisme, avait très-peu de science théologique. Il avait dompté la chair dans son corps, mais non l'esprit d'orgueil et de contradiction qui l'entraîna dans sa chute. Averti amicalement de l'erreur où il tombait, il s'y attacha avec d'autant plus d'opiniâtreté, en accusant ceux qui le contredisaient de hair sa personne et la vérité. Il obtint au Brigandage d'Éphèse une victoire passagère, due à la ruse et à la violence.

(1) Voy. MONOPHYSITES.

d'u

Cf. Evagrius, Cédrénus, Nicéphore Callisti, Leonis M. epist., Theodoret, Hær. fab., 1. IV. GAMS.

EUTYCHIEN (S.), Pape au troisième siècle, sur lequel manque toute espèce de renseignements certains. Il est avéré seulement qu'il régna environ neuf ans, de 274 à 283. On ne sait s'il mourut martyr ou simplement confesseur. Pagi, dans son Breviarium des Papes, penche pour ce dernier avis, parce que Eutychien paraît non dans le calendrier des martyrs romains, mais seulement dans le nécrologe des évêques, qui, tous deux, furent rédigés du temps du Pape Libère.

Les deux décrétales qui lui sont attribuées, et qui sont adressées aux évêques des provinces de la Bétique et de Sicile,

Eutychius rédigea en outre une Histoire de Sicile, à partir du temps où elle tomba sous le pouvoir des Sarrasins, et une Disputatio inter heterodoxos et Christianos, dans laquelle il défend les orthodoxes contre les Jacobites.

ne sont pas authentiques. On lui attri- | bue d'avoir institué la bénédiction des champs et des jardins, d'avoir inhumé de ses mains trois cent quarante-deux martyrs, et d'avoir ordonné que tout Chrétien qui ensevelirait un martyr l'envelopperait dans une dalmatique couleur de pourpre (1). L'Église fait mémoire de ce saint le 7 décembre. Voy. Liber pontificalis, et Pagi, Bre- | p. 252; lotting., Bibl. orientale, c. 2, viarium P. R., in Vita S. Eutychiani, | p. 71, 84; Hist. ecclés., sect. X, p. 37. Papa.

Cf. G. Cave, Script. eccles., p. 498; Selin, Lexique hist. et géogr., t. 2,

FRITZ.

EUZOIUS DE CÉSARÉE, Arien. Il avait été condisciple de Grégoire de Na

EUTYCHIENS. Nom des partisans d'Eutychès et de son hérésie, qui se changea bientôt en celui de monophy-ziance dans l'école de Césarée, où tous

sites (2).

EUTYCHIUS, patriarche d'Alexandrie, appelé aussi, de son nom syriaque,

deux avaient étudié sous le rhéteur Thespius. A la mort d'Acace, évêque de Césarée, en 365, Cyrille de Jérusalem nomma d'abord un certain Philumène, puis son neveu Gélase, prélat solide et vertueux, tandis que l'Arien Eutychius, évêque d'Éleuthéropolis, plaçait violemment sur le même siége de Césarée un vieux prêtre nommé Cyrille. Cyrille, évêque de Jérusalem, ayant été, en 376, sous le règne de Valens, obligé de quitter son siége, les Ariens chassèrent a également Gélase et mirent à sa place, comme métropolitain de Césarée, Euzoïus (1).

Said Ibn Batrik, naquit à Fostat, en Égypte. Ses contemporains l'estimaient fort à cause de ses vastes connaissances, surtout en médecine. En 933 il fut promu au patriarcat d'Alexandrie, qu'il occupa jusqu'en 950. Il rédigea en arabe des Annales allant de la création du monde jusqu'en 950. Il y a dans cet ouvrage des renseignements qu'on chercherait vainement ailleurs, et qui portent tellement le caractère de la légende et de la fable qu'on ne peut croire l'auteur que sous réserve lorsqu'il prétend les avoir tirés de l'Ancien ou du Nouveau Testament et d'autres écrits anciens. Seldénus publia un extrait de ces Annales, avec une préface et des notes en arabe et en latin, à Londres, 1642; il chercha à y démontrer que dans le premier siècle chrétien il n'y avait pas de différence entre les prêtres et les évêques. Abraham Ecchellensis réfuta un peu plus tard cette opinion dans son écrit Eutychius, patriarcha Alexandrinus, vindicatus. Pococke publia complétement les Annales en arabe et en latin, Oxford, 1658. ariennes. En 361 les Ariens l'élurent

(1) Bona, Rer. liturg., I, c. 24, n. 18. (2) Voy. MONOPHYSITES.

Euzoïus, homme savant et actif, recomposa et remit en ordre avec un grand zèle la bibliothèque qu'avait formée Pamphile et qui avait été dispersée. Lorsque Théodose parvint à l'empire Euzoïus fut obligé de quitter son siége, en sa qualité d'Arien ( 380 ). Il composa sur divers sujets un grand nombre de dissertations dont parle S. Jérôme (2), mais dont il n'est rien parvenu jusqu'à nous.

EUZOIUS D'ANTIOCHE, d'abord diacre à Alexandrie, fut destitué par Alexandre à cause de ses opinions

(1) Touttée-Reischl, Cyrilli Opera, ed. 1848,

p. 94.
(2) Cat. 113.

patriarche d'Antioche, après avoir chassé Mélétius. C'est cet Euzoïus qui, après la mort de S. Athanase, sous le règne de Valens, consacra et installa un certain Lucius sur le siége d'Alexandrie. Euzoïus mourut à Antioche peu avant Valens.

Cf. Socrate, H. E., II, 44; III, 9; IV, 21, 34; Sozom., H. E., IV, 28; Théodoret, H. E., II, 31; IV, 22.

ÉVAGRE, surnommé le SCOLASTIQUE, à cause de son érudition et de ses fonctions, naquit, en 536 ou 537, à Épiphanie, en Syrie, et fut chrétiennement élevé par de pieux parents. Il fréquenta l'école dès l'âge de quatre ans, et fit de rapides progrès dans la grammaire, la rhétorique et la littérature en général. Lorsqu'il eut solidement terminé ses premières études, il se voua à la science et à la pratique du droit et devint avocat, causidicus, scholasticus, à Antioche. Il rendit de très-grands services dans ces fonctions au patriarche Grégoire, qui, accusé d'adultère, fut, en 588, appelé à Constantinople pour se justifier, et se fit accompagner par Évagre en qualité d'avocat. Celui-ci le défendit en effet avec le talent d'un habile jurisconsulte et le dévouement d'un ami. Il avait avant cette époque déjà attiré sur lui l'attention de la cour de Constantinople en réunissant dans deux livres des discours, des conférences, des rapports et des lettres, la plupart relatifs aux affaires de Grégoire d'Antioche. Ce recueil est perdu; il valut à son auteur la dignité de questeur, que lui conféra l'empereur Tibère II. Maurice, successeur de Tibère, le nomma préfet, pour le récompenser d'un discours dans le quel il le félicitait de la naissance de son fils Théodose. Ce discours ne nous est pas parvenu. Évagre retourna de Constantinople à Antioche, où il se remaria, en 592. Son crédit était si grand que les habitants d'Antioche, pour célébrer ses noces, ordonnèrent des jeux publics, ce

ENCYCL. THÉOL. CATH.-T. VIII.

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qui est d'autant plus remarquable qu'à cette époque les secondes noces n'étaient généralement que tolérées en Orient. Évagre mourut vraisemblablement à Antioche après 594. L'année de sa mort n'est pas certaine. Son principal ouvrage, et le seul qui soit parvenu jusqu'à nous, est son Histoire de l'Église, allant de 431 jusqu'à la douzième année de l'empereur Maurice (594), en six livres, pour servir de continuation à l'histoire de Théodoret (322-427) et à celle de Socrate (306-439). Il se servit des meilleurs écrits de ses contemporains, ordonna ses matériaux avec beaucoup de soin, d'exactitude et de fidélité, et mérite à tous égards la confiance, quoiqu'il se montre parfois crédule: Evagrius in pluribus factis recensendis nimis credulus et in fabulas pronior (1). Son récit est agréable, son style facile, ἐστὶ Tv páσv oix äxapıs (2); il raconte nonseulement les faits mémorables de l'Église, mais encore les événements de l'histoire profane, et Nicéphore Callisti lui reproche déjà de parler plus des affaires civiles que des affaires religieuses; Valois lui adresse le même blâme quod non tantam diligentiam adhibuit in conquirendis antiquitatis ecclesiasticæ monumentis quam in legendis profanis auctoribus (3). Robert Estienne publia le premier en grec cette Histoire de l'Église, ex unico manuscripto Bibliothecæ regiæ, Paris, 1544, in-fol. Henri Valois en fit une nouvelle édition gréco-latine, résultat de la comparaison du premier manuscrit avec deux autres, l'un de la bibliothèque de Florence, l'autre de celle de Le Tellier, archevêque de Reims, et corrigé d'après les histoires d'Eusèbe, de Socrate, de Sozomène et de Philostorge, à Paris, 1659-73, 3 vol. in-fol.; édit. II, 1677, Amstelod., 1695; William Reading, in

(1) Cave, Hist. lilt. eccl., I, 305. (2) Photius.

(3) Præf. ad Theodoret.

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Scriptoribus Græcis, cum notis Va- | crement, et qu'il ne pouvait leur venir en lesii, Cantabrigiæ, 1720; nouvelle édit., Oxford, 1845; seulement en latin, par Wolfgang Musculus, Bâle, 1557. Évagre donne lui-même divers renseignements sur sa vie dans différents endroits de son Histoire; puis: Photius, Biblioth. Cod., 29; Valois, dans l'introduction de son édition; Fabricius, Biblioth. Gr.; Pope-Blount, Cens. celebrior. auctor.; Cave, Script. eccles.; Du Pin, Vossius, Miræus, sur son ouvrage. Cf. G. Dangers, de Fontibus, indole et dignitate librorum Theod. Lectoris et Evagrii, Gættingæ, 1841.

SÉBACK.

pensée de les séparer. D'après cela il faut nettement rejeter l'opinion du savant Morin (1) qui croit qu'il n'était pas question, dans les premiers siècles, d'une lecture des Évangiles durant la célébration de la messe. C'étaient les lecteurs proprement dits qui dans l'origine étaient chargés de lire l'Évangile ; plus tard seulement on adopta le mode actuel, suivant lequel le sous-diacre chante l'Épître, le diacre l'Evangile. Il y a plus de témoignages anciens sur la transmission de la lecture de l'Evangile aux diacres que sur celle de l'Épître aux sous-diacres (2). Aujourd'hui le pouvoir de lire solen

ÉVANGÉLIQUES (CONSEILS Voyez nellement l'Évangile est expressément CONSEILS ÉVANGÉLIQUES.

EVANGELISTARIUM. Voy. EVANGILES (le livre des) ou EVANGELIARIUM. ÉVANGILE, au point de vue liturgique. L'Évangile, c'est-à-dire la lecture d'une portion (péricope) d'un des Évangélistes, est une des parties constitutives de la liturgie de la messe. Cette lecture se fait entre le Graduel et le Symbole, ou, quand on ne dit pas le Credo, avant l'Offertoire. On ne sait pas avec une certitude entière quand l'Evangile devint une partie intégrante de la liturgie eucharistique; mais, comme il résulte des témoignages historiques (Eusèbe (1) s'appuie sur les Pères apostoliques Clément et Papias) que les Évangiles furent, en général, dès le commencement, lus dans les réunions religieuses, on peut en conclure que, selon toutes les probabilités, cette coutume était aussi observée dans la liturgie ecclésiastique, qu'elle était une des parties principales du culte, d'autant plus que les premiers Chrétiens, éclairés par les lumières d'une foi vive et pure, devaient sans aucun doute sentir que le Christ parlant et agissant dans l'Évangile est le Christ perpétuellement présent au milieu des siens dans son Sa(1) Hist. eccl., II, 14.

transmis aux diacres à leur ordination, tandis que Sozomène (3) témoigne que, de son temps, dans quelques églises, le code évangélique n'était lu que par les prêtres, ou même par l'évêque. Le motif pour lequel cette fonction fut enlevée aux lecteurs et remise aux diacres n'est autre que le respect même que l'Église professe pour cette fonction.

D'après le Missel romain le prêtre ou le diacre se prépare à lire l'Évangile en disant la prière Munda cor meum, par laquelle il demande à Dieu de purifier son cœur et ses lèvres, puis en ajoutant le Jube, Domine, benedicere. Si cette oraison préparatoire manque dans les plus anciennes liturgies, cela provient probablement du caractère purement privé qu'a cette oraison; car les prières privées étaient, en général, dans l'ancienne Église, quant à leur forme, abandonnées à l'inspiration des officiants. Mais le rite de la Bénédiction qui précède la lecture solennelle de l'Évangile se trouve, quant à la forme essentielle encore en usage dans l'Église latine, dans les plus an

(1) Exercit., III, 9, c. 1, n. 12.

(2) On peut voir dans Bona, Rer. liturg., II, 7, 1, les témoignages en faveur de la lecture de l'Evangile par les lecteurs.

(3) Hist. eccl., VII, 9.

ciennes liturgies (1). Alors suivait la procession à l'ambon, précédée des chandeliers, rite que S. Jérôme défend déjà vigoureusement contre Vigilance. L'ambon n'étant plus d'usage, on se tourne vers le nord, coutume que Micrologus (2) considère comme un abus. L'usage de l'encens avant la lecture de l'Évangile est également fort antique, et exprime, en tant que l'encensement est un signe d'honneur divin, que celuilà nous parle dans l'Évangile dont il est dit : « Après que Dieu nous a autrefois souvent et de bien des manières parlé par ses prophètes (Épître), maintenant il nous parle par son Fils qu'il a fait héritier de tout, etc., etc. (3). » L'Évangile, d'après Cyrille, représente la personne du Sauveur sous tous les points de vue.

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plus longue. Le signe de la croix fait sur le front en disant : Sequentia, etc., rappelle les paroles de S. Augustin: Usque adeo de cruce non erubesco ut non in occulto loco habeam crucem Christi, sed in fronte portem. Le signe de la croix fait sur la bouche et la poitrine rappelle le texte de l'Apôtre : Corde creditur ad justitiam, ore autem fit confessio ad salutem (1).

Depuis les temps les plus anciens on écoute la lecture de l'Évangile debout, comme il convient à des serviteurs recevant les ordres de leur maître, et annonçant par cette posture la disposition dans laquelle ils sont de lui obéir promptement. Autrefois, dès que le diacre commençait sa lecture, on déposait les cannes, ce qui signifiait au fond la même chose que la station. Chez les Grecs l'évêque, pendant la lecture, dépose son omophorium. Les chevaliers et les soldats mettaient la main sur la garde de leur épée ; les Polonais et les Maltais tiraient l'épée, exprimant par là qu'ils étaient prêts à défendre l'Évangile jusqu'à la mort. Anciennement la formule par laquelle la lecture se terminait était l'amen du peuple; aujourd'hui le servant dit: Laus tibi, Christe. L'Évan

Le Dominus vobiscum et l'annonce de l'Évangéliste dont est tirée la péricope forment l'introduction à la lecture ellemêrne. Les formules d'introduction sont plus longues dans les liturgies orientales, le diacre y exhortant plusieurs fois les fidèles à l'attention. Dans la litur- | gie des Éthiopiens le diacre parcourt toute l'Église, disant d'une voix haute: « Levez-vous, écoutez l'Évangile et la bonne nouvelle de Notre-Seigneur Jésus-gile lu, le célébrant ou l'évêque baise Christ (4). » Le signe de la croix fait sur le livre et sur sa personne par le lecteur, et dont se marquent également les fidèles, est très-ancien, d'après les paroles connues de Tertullien : Quæcumque nos exhortatio exercet, frontem crucis signaculo terimus. Le rite des Maronites renferme même une bénédiction des fidèles par le lecteur, qui fait sur eux le signe de la croix, en même temps que la formule d'introduction à la lecture de l'Évangile est

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le livre (le missel) en disant : Per evangelica dicta deleantur delicta nostra, qui rappellent les paroles du Seigneur dans Jean, 15, 3 (2). On donnait aussi anciennement l'Évangile à baiser à tous les assistants dans certaines églises, coutume qu'on n'a pu conserver à cause du temps nécessaire pour s'y conformer. Aux messes des défunts on ne baise pas l'Évangile, parce qu'il na pas été lu directement pour le salut des vivants. Il est encore à remarquer que, dans les messes papales, l'Évangile et l'Épître sont lus en latin et en grec.

(1) Rom., 10, 10.

(2) « Jam vos mundi estis, propter sermonem quem locutus sum vobis. »

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