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dont il fallait observer la pauvreté dans l'ordre. Joachim de Flora (1), abbé de Cîteaux, fut le premier promoteur de cette doctrine. S. Thomas d'Aquin (2) dit des prophéties de Joachim: Abbas

La lecture de l'Évangile fait partie de la messe des catéchumènes, dont l'instruction est le principal élément; elle est la conclusion naturelle et le couronnement de la partie qui représente surtout l'activité prophétique de Jésus-Joachim non prophetico spiritu, sed Christ, ainsi que les actes préparatoires du sacrifice, depuis le psaume Judica. L'Épître précède l'Évangile comme la loi et les prophètes ont précédé JésusChrist. L'homélie ou le sermon, considéré comme partie intégrante du culte, trouve sa place naturelle là où il l'a toujours occupée dès l'origine, c'est-àdire après l'Évangile, sur lequel il s'appuie, dont il est un développement et une explication. Le chant de l'Évangile n'est pas le même dans toutes les églises: le plus simple est celui du Choral romain; il est plus ou moins brodé çà et là, par exemple le long du Rhin.

Voyez l'article PÉRICOPES Sur le choix des péricopes évangéliques. MAST.

conjectura mentis humanæ, quæ aliquando ad verum pervenit, aliquando fallitur, de futuris aliqua vera prædixit, et in aliquibus deceptus fuit. Jean Trithème est aussi de cet avis; il dit de Joachim (3) : « C'était un homme fort versé dans les saintes Écritures, qui passait dans son temps pour un prophète, et qui en effet tâchait de prédire l'avenir. Quant à moi, il me semble qu'il parlait plus d'après des conjectures puisées dans l'Écriture que par un esprit prophétique. Il a prophétisé bien des choses qui ne sont jamais arrivées. » D'autres, par exemple Roger de Hoveden (4), le traitèrent de faux prophète et le méprisèrent plus qu'il ne convenait. En revanche Grégoire de Lauro, abbé de Cîteaux, comme Roger, cherche, dans un écrit spécial, à justifier les prophéties de Joachim (5). La doctrine prophétique, qui ne fut développée que plus tard et qu'on attribue à Joachim, se résume ainsi Il y a trois grands âges, un âge pour chacune des trois personnes divines; ceux du Père et du Fils

ÉVANGILE ÉTERNEL. Il ne faut pas entendre, sous cette dénomination, un livre, un évangile apocryphe, mais l'opinion fausse et ultramystique que divers fanatiques du moyen âge s'étaient faite du développement de l'Église, des divers âges du monde, de la fin de l'Ancien et du Nouveau Testament, lesquels devaient faire place à un nouveau progrès réalisé directement par le Saint-passent; le troisième, celui du SaintEsprit. C'était la solution donnée par des interprètes fanatiques de l'Apocalypse, par des panthéistes mystiques, qui, se lamentant sur la corruption de l'Église de leur temps, tiraient, des révélations mystérieuses de S. Jean, la prophétie d'un meilleur avenir, uni à une révélation nouvelle du Saint-Esprit, supérieure à la loi et à l'Évangile. Cette direction était celle des zélateurs, des fraticelli du treizième et du quatorzième siècle (zelatores, fraticelli), parti extrême parmi les Franciscains, qui s'opposa longtemps et avec opiniâtreté à la décision du Pape sur la manière

Esprit, suit les deux autres, et, quand il sera venu, alors seulement se réalisera la véritable et parfaite adoration de l'Esprit. Mais il n'est pas démontré que ce fût là véritablement la doctrine de Joachim, et que ce n'est pas plutôt une altération et une corruption de son enseignement. Il est certain que les partisans d'Amaury de Bène professaient

(1) Voy. JOACHIM DE FLORA.

(2) In IV Sent. d. 43, quæst. 1, a. 5.
(3) Chron. Hirsaug., ann. 1196.
(4) Ann. Angl., ann. 1199.

(5) B.-Johann. Joachim abbatis Apologia, sive mirabilium veritas defensa, Neapo!., 1550.

un système analogue (1). Ceux-ci disaient que le règne du Père avait duré tant que la loi de Moïse avait été en vigueur; que le Christ l'avait aboli; que le Nou- | veau Testament et ses sacrements avaient régné jusqu'à leur temps; que désormais l'âge du Saint-Esprit avait commencé; que le Baptême, la Pénitence, l'Eucharistie et les autres sacrements allaient cesser; que chacun devait se purifier et se sauver par la grâce intérieure, sans acte ni forme extérieurs. Cette doctrine fut soutenue aussi par divers hérétiques qui furent brûlés à Paris en 1210 (2), et par l'hérétique Guillaume, dont César de Heisterbach (3) rapporte les paroles. Ces mêmes opinions ont été soutenues dans les temps modernes (4).

C'était ce système que les zélateurs franciscains, les spiritualistes, avaient embrassé et dont ils avaient formé, en s'appuyant sur les prophéties de l'abbé Joachim, la doctrine de l'Évangile éternel. En 1254 parut à Paris un livre intitulé: Introductorius in Evangelium æternum, qui commentait les propositions suivantes :

Vers l'an 1200 l'Esprit de vie abandonna les deux Testaments; car l'Évangile éternel devait se révéler à son tour. Comme l'Ancien Testament avait cessé, il fallait que le Nouveau eût un terme, et à l'Évangile du Christ devait succéder la loi du Saint-Esprit. Le premier Évangile perdrait sa force vers 1260. A partir de cette époque les hommes arriveraient à la perfection en pratiquant la doctrine de Joachim, supérieure à celle du Christ, comme celle-ci

(1) Guill. Armoricus, Hist. de Gest. Philippi Aug., ad ann. 1209. Rigordus, de Gest. Philippi Aug., ad ann. 1209. Vinc. Bellovac., Spec. hist., 1. XXIX, c. 107. Frasquet, Chron., ann. 1204, etc.

(2) Conc. Par., 1212. Mansi, XXII, 809-812, (3) Hist. miracul., 1. V, c, 22.

(4) Conf. philos. de la Révélation, de Schelling, par H.-E.-G. Paulus, p. 715.

était supérieure à l'Ancien Testament.

Il est très-vraisemblable que l'auteur de ce livre était le Franciscain Frédéric Gérard, à qui ses doctrines fanatiques et apocalyptiques attirèrent une captivité de dix-huit années (1). Cet ouvrage, écrit par un Franciscain, fut exploité par le principal adversaire des ordres monastiques, Guillaume de Saint-Amour, dans son traité de Periculis novissimorum temporum, cap. 8, et lui servit à renouveler ses attaques contre eux (2). En 1255 l'ouvrage fut condamné par l'Université de Paris et par le Pape Alexandre IV (3). Jean de Parme, le septième général des Franciscains, qu'Eyméricus (4) et d'autres tiennent pour l'auteur de l'Introductorius, fut accusé des mêmes erreurs, mais probablement à tort (5). Le concile d'Arles (1260) condamna comme des hérétiques les partisans de ces doctrines joachimitiques; elles n'en furent pas moins adoptées et enseignées par un grand nombre de sectes, spécialement par celle du libre esprit et par le parti extrême des Franciscains. Parmi ces derniers on remarque Jean-Pierre d'Oliva, né en 1247, en Provence, mort en 1297, homme d'un grand savoir et d'une ardeur tout à fait excentrique (6). Il soutint, dans un livre intitulé Postilla super Apocalypsi (7), des doctrines tout à fait analogues; il distinguait les sept états et les sept âges suivants dans l'Église :

I. L'Église primitive, depuis l'effusion du Saint-Esprit ou depuis le mo(1) Wadding, Ann. minor. ad ann. 1256. Eccard, Script. ord. Præd., I, p. 202. (2) Conf. en revanche, Thomæ Aquin• Opusc. XVI, contra impugn. relig., Opp. XIX, 415, ed. Venet.

(3) Du Plessis d'Argentré, Collect. Judicior. de novis erroribus, I, 162, 163. Ptolem. Lucens., Hist. eccles., XII, 22.

(4) Direct. Inquis., p. II, quæst. 9.

(5) Natalis Alex., sæc. XIII-XIV, c. III, anu. 4.
(6) Wadding, ann. 1289, n. 28, 29.
(7) Baluz., Miscell., l. I, p. 213 sq.

ment où le Christ entra dans la vie montre chaque époque nouvelle assumant

publique, status fundationis;

II. L'époque des épreuves et des martyrs, commençant à la persécution de Néron ou à la lapidation de S. Étienne, status probationis et confirmationis; III. La lutte contre les hérésies, depuis le Pape Sylvestre ou depuis Constantin le Grand, status doctrinalis expositionis Fidei;

IV. Les solitaires, depuis Paul et Antoine, status anachoreticæ vitæ ;

V. Les cénobites, depuis Charlemagne, status vitæ communis, partim zeli severi, partim condescensivi, parmi les moines et les prêtres possédant des propriétés temporelles;

VI. Restauration de la vie évangélique, abolition de la vie antichrétienne; enfin conversion des Juifs et des païens, status iteratæ reædificationis Ecclesiæ simul primæ, âge qui commença partiellement au temps de S. François, mais qui ne sera réellement inauguré que par la ruine de la prostituée de Babylone, meretrix Babylonica;

VII. Le sabbat éternel. En tant que cet âge appartient à la vie de ce monde, c'est une participation merveilleuse et paisible à la gloire future, comme si la divine Jérusalem était déjà descendue sur terre. En tant qu'il appartient à l'autre monde, c'est l'âge de la résurrection universelle, de la glorification des saints; c'est la fin du monde. Sous le premier rapport il commencera à la mort de l'Antéchrist, qui se donnera pour Dieu et pour le Messie des Juifs; sous le dernier rapport il commence au jugement dernier.

Oliva marque à chaque époque deux points de départ, et il désigne une triple venue du Christ, dont la première et la dernière sont visibles, la seconde invisible et spirituelle. Il suit la lutte qui dure entre le principe chrétien et le principe antichrétien depuis le commencement jusqu'au combat définitif, et

tout le bien et tout le mal de l'époque antérieure. Le sixième âge abolit tous les autres: l'Église se renouvelle. Ce n'est pas une abolition du Christianisme, c'en est au contraire le développement organique et la complète réalisation. Au dernier âge les âmes pieuses n'auront plus qu'à chanter les louanges de Dieu; le Saint-Esprit apparaîtra comme la flamme de l'amour divin qui consume tout, comme la plénitude de toutes les joies spirituelles. S. François était le précurseur de ce temps nouveau, de ce temps de contemplation, de paix et d'amour (1). Oliva appartient aussi à ceux qui voient la prostituée de Babylone dans l'Église romaine et qui déversent sur elle le plus profond mépris. Du reste il rétracta plusieurs fois ses erreurs (1283 et 1292), et proclama, avant sa mort, qu'il se soumettait entièrement au jugement du Saint-Siége apostolique (2). Après sa mort Jean XXII con. damna plusieurs articles extraits par les théologiens des écrits d'Oliva. Son disciple, Ubertinus de Casali, composa une apologie de son maître, dont il eut à répondre devant le Pape en 1317; il développa davantage encore les doctrines qu'il avait adoptées dans son écrit intitulé: Arbor vitæ crucifixæ. Cette controverse était intimement unie à toute l'opposition des spiritualistes.

On trouve beaucoup d'analogie avec les doctrines de l'Évangile éternel dans plusieurs hérétiques du temps, notamment chez Dulcin, qui, d'après la continuation de la Chronique de Guillaume de Nangis, soutenait opiniâtrément qu'au temps de la loi mosaïque le Père avait régné par sa puissance et sa justice; que, depuis la venue du Christ, c'était le Fils qui avait régné par sa sagesse, et depuis la descente du SaintEsprit, l'Esprit même, par son amour (1) Néander, Hist. eccl., vol. II, p. 842 sq. (2) Wadding, ann. 1297, n. 34.

et sa douceur. Il est inutile de relever | ici tous les points de ressemblance de ces doctrines avec celles des sectes grandes, petites, anciennes et nouvelles, du protestantisme. Quiconque connaît un peu leur histoire doit être frappé de ces constantes analogies.

HERGENRÖTHER.

ÉVANGILES et ACTES DES APÔTRES. L'Évangile, Edayov, la bonne nouvelle, dans le sens le plus large, est l'annonce de la Révélation de JésusChrist. D'après la langue du Nouveau Testament, l'annonce des vérités révélées et des faits qui en dépendent ne s'appelle Évangile qu'autant qu'elle porte avec elle les marques et les caractères de la vraie doctrine; autrement elle se nomme reρον εὐαγγέλιον (1).

Le Seigneur avait confié à ses Apôtres la mission d'apporter à toutes les nations la nouvelle du salut apparu en Jésus. Réaliser cette mission c'était évangéliser, ayyλéteta. De même l'Écriture sainte appelle Évangélistes, suzyyorai (2) ceux qui, par rapport à leur activité dans l'Église, sont distingués des Apôtres, des prophètes, des pasteurs, des docteurs, et qui sont revêtus d'un ministère ecclésiastique spécial. Tels étaient le diacre Philippe (3), Jean Marc, Silas, Apollon, Tite, Timothée. Ce n'est ni leur caractère de hérauts permanents de l'Évangile, ni la mission qu'ils avaient d'annoncer l'Évangile d'après sa teneur historique, qui leur a valu ce nom. Cette idée de l'Évangile considéré comme la partie historique de la Révélation est étrangère à l'Écriture sainte. Cependant, dans la langue de l'école, on n'appelle Évangiles que les quatre premiers livres du canon du Nouveau Testament, et leurs auteurs seuls sont appelés Évangélistes.

C'est sur eux que nous devons con

(1) Gal., 1, 6. (2) Eph., 4, 11. (3) Act., 21, 8.

centrer notre attention, toutefois en y comprenant les Actes des Apôtres comme seconde partie du troisième Évangile.

I. S. MATTHIEU, surnommé Lévi, auteur du premier Évangile, fils d'Alphée, un des douze Apôtres, était, avant sa vocation, fermier de l'impôt à Capharnaüm. Il paraît avoir prêché l'Évangile en Palestine longtemps encore après la mort du Christ. Il finit par se rendre dans des contrées plus éloignées. Parmi les diverses traditions qui le concernent, la plus vraisemblable est celle qui le fait terminer sa mission dans l'Arabie Heureuse : c'est là qu'il fut, dit-on, brûlé.

a) Occasion et but de son Evangile. D'après Eusèbe (1), S. Matthieu, ayant la pensée d'annoncer la bonne nouvelle hors de la Palestine, voulut, avant de se séparer de ses compatriotes, rédiger pour eux son Évangile, afin de suppléer à son absence, autant que possible. D'après S. Jérôme (2), cet Evangile était surtout destiné aux fidèles sortis du judaïsme.

b) Langue. S. Matthieu écrivit son Evangile en hébreu, c'est-à-dire en aramaïque, langue vulgaire de la Palestine. C'est ce que Papias apprit de la bouche du prêtre Jean (3), et ce que confirment S. Irénée (4) et Origène (5). Eusèbe lui-même le sait et le tient d'autres Pantène, dit-il (6), le plus ancien chef de l'école catéchétique d'Alexandrie, avait trouvé dans les Indes le texte hébraïque original du premier Évangile. » D'après cela on reproche injustement à Papias d'avoir été trompé par l'Évangile des Ébionites et d'y avoir puisé cette donnée. Cette double source

sources. «

(1) Hist. eccl., III, 24.

(2) Præf. ad comment. in Matth. et Catal. Script. eccl., c. 3.

(3) Eusèbe, Hist. eccl., III, 39.

(4) Contra Hares., III, 1,

(5) Eusèbe, Hist. eccl., V, 8 III, 24.

(6) Hist. eccl., V, 10.

ne permet pas de ramener tous les té- | vra l'essayer. Quand on sait que le second Évangéliste, S. Luc, avait réuni les matériaux de son livre avant l'an 60, et que son livre fut terminé, dans tous les cas, pendant la captivité de S. Paul à Rome, on est préalablement disposé à accorder plus de croyance à l'affirmation d'Eusèbe qu'à celle de S. Irénée. Or le premier dit que S. Matthieu écrivit avant de se rendre chez d'autres nations: quelle époque cela désigne-t-il ? Ordinairement on prend le concile des Apôtres (1) comme le point de départ de leur dispersion générale. Si ce temps n'a pas un privilége particulier que nous ignorons, on ne voit pas pourquoi une circonstance antérieure n'aurait pas été l'occasion de cette séparation. Il est probable d'ailleurs que les Apôtres, qu'aucun lien particulier n'attachait à la Palestine, ne sont pas restés vingt ans avant de réaliser la mission qu'ils avaient reçue de Jésus-Christ. Si nous voyons le Prince des Apôtres et l'évêque de Jérusalem demeurer dans la métropole du Christianisme, ainsi que l'Apôtre auquel fut confiée la Mère du Sauveur, il y a pour cela des motifs spéciaux. Il n'en est pas de même du séjour des autres Apôtres. La persécution ordonnée par le roi Hérode Agrippa, en 42 (2), persécution à laquelle S. Pierre parvint à se soustraire par la fuite, dut déterminer la dispersion des Apôtres, si elle n'avait pas déjà eu lieu auparavant. Avant la mort de ce roi ils n'eurent dans tous les cas aucune garantie contre le risque de devenir, comme S. Pierre, des victimes offertes au peuple de Jérusalem pour entretenir la popularité du prince. Après sa fuite Pierre se rendit donc

moignages au dire seul de Papias, lequel,
par extraordinaire, ne mériterait aucune
confiance parce qu'il serait tout à fait
destitué d'esprit, mávu aμxpòs tòv vouv (1).
πάνυ σμικρὸς
Nous pouvons d'autant moins donner
une réponse catégorique à la question
relative au traducteur de l'original hé-
breu que les anciens ont eux-mêmes
avoué leur ignorance à ce sujet. On
appuie de solides raisons l'opinion se-
lon laquelle S. Matthieu fut lui-même le
traducteur de son Évangile (2). Cette
opinion a surtout pour elle le caractère
spécial de ce livre.

c) Lieu et date de son apparition. On voit, d'après Eusèbe (3), que la Palestine fut la patrie de cet Évangile. Il n'y a pas de donnée certaine sur la date de son apparition; seulement on conclut avec raison, d'après S. Irénée (4), Eusèbe (5) et S. Jérôme (6), que S. Matthieu fut le premier évangéliste. Les dates de S. Irénée et d'Eusèbe sont sans aucun doute celles qui se rapprochent le plus de la vérité, mais toutefois elles donnent lieu à des explications très-diverses. D'après S. Irénée, le premier Évangile fut rédigé alors que S. Pierre et S. Paul prêchaient à Rome (7). D'après Eusèbe, au contraire, S. Matthieu écrivit avant de commencer ses voyages (8). Tant qu'une explication plausible et conforme à la connaissance que nous avons de ces temps sera possible, pour résoudre la contradiction qui ressort des termes de cette double donnée, on de

(1) Hag, Introd., II, 16.

(2) Thiersch, Essai pour rétablir le vrai point

de vue de la critique des écrits du Nouv. Test., à Rome, y annonça l'Evangile et fonda

p. 192 et 197.

(3) Hist. eccl., III, 24.

l'Église. C'est ici le point où arrive le

(4) Contra Hæres., III, 1; dans Eusèbe, Hist. témoignage de S. Irénée. Il parle encore, eccl., VI, 25.

(5) Hist. eccl., III, 24.

(6) Cal. Script. eccl., ap. 3.

(7) Loc. cit.

(8) Hist. eccl., III, 24.

il est vrai, de la personne de S. Paul:

(1) Act., 15.
(2) Act., 12.

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