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FERDINAND (LE CATHOLIQUE) · FERDINAND (DE PORTUGAL)

Il est incontestable que Ferdinand fut un prince d'éminentes qualités, qu'il était notamment prudent, circonspect et brave, en même temps qu'il était extrêmement rusé, avide du pouvoir absolu, politique d'un machiavélisme sans égal, et peu irréprochable dans sa vie privée. Un des principaux leviers de son pouvoir absolu fut l'établissement de l'Inquisition politique de l'Espagne (1). dont il obtint, par surprise, l'approbation du Pape Sixte IV en 1478. Ferdinand, comme plus tard son arrièrepetit-fils Philippe II, avec toutes les apparences extérieures d'un grand zèle pour l'Église catholique, était, au fond, et dans les questions de droit, l'ennemi des libertés de l'Église, l'Église devait, comme tout le reste, se subordonner à ses plans absolutistes. C'est ainsi qu'en 1509 il menaça de la peine de mort toute publication d'une bulle papale contre l'Inquisition espagnole, et ne se fit pas scrupule d'élever son fils naturel, âgé de six ans, au titre d'archevêque de Saragosse, bien entendu uniquement sous le rapport temporel, in temporalibus.

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influence prépondérante sur les affaires | Portugal, qui arracha aux Maures Ceuta, de leurs États, devint alors réellement boulevard de leur empire, et y fonda un régent de Castille, jusqu'au moment où évêché au milieu des infidèles. FerdiCharles-Quint, vers l'automne de 1517, nand naquit le 29 septembre 1402. arriva de Belgique pour prendre les Jeune encore, son innocence, sa dourênes du gouvernement. ceur, sa docilité et sa bienfaisance en faisaient un objet d'admiration pour tout le monde. Quoique souffrant, pendant vingt-cinq ans, d'infirmités apportées en naissant, il montra dès son bas âge une tendre piété et toutes les qualités du cœur, une grande vigueur d'esprit, une véritable énergie de caractère, et vécut, au milieu des séductions de la cour, sévère envers lui-même, exact, réglé, actif, équitable, accomplissant dans une juste mesure les obligations d'un chrétien et les devoirs d'un prince. La prière était son premier soin; dès l'âge de quatorze ans il disait chaque jour les heures canoniales; à minuit il se levait pour assister à matines. Tous les samedis et les veilles de grande fête il joignait le jeûne à la prière; il suivait scrupuleusement les cérémonies de la semaine sainte, et nourrissait durant cette grande semaine autant de pauvres qu'il comptait d'années. Il aimait à suivre, le cierge à la main, les processions du Saint-Sacrement lorsqu'on le portait aux malades. Il était plein de respect pour les personnes consacrées au service de Dieu et les choses saintes. Il soutenait selon ses moyens les églises et les couvents, se faisait inscrire dans toutes les confréries du royaume afin de participer aux prières des associés. Il priait et faisait dire des messes pour ses vétérans, pour les malades, les prisonniers, les voyageurs en danger. Il tenait à ce que sa suite et ses domestiques confessassent et communiassent annuellement. Le Pape lui avait accordé une indulgence plénière toutes les fois qu'un domestique restait sept ans avec lui ou mourait à son service. Il avait établi dans sa chapelle le rituel de Salisbury, dont il avait fait venir des ecclé

Cf. Prescott, Hist. de Ferdinand le Catholique et d'Isabelle, 2 vol., et Héfélé, le Cardinal Ximénės, Tubingue,

1844.

HÉFÉLÉ.

FERDINAND (PRINCE DE PORTUGAL), dont la vie et les souffrances ont été décrits d'une manière simple, fidèle et complète, par son secrétaire intime et son compagnon de souffrances, Jean Alvarez, et que Calderon a glorifiées dans ses poëmes, était fils de Jean Ier, roi de

(1) Voy. INQUISITION.

siastiques, des chantres, un maître des cérémonies, par souvenir pour sa pieuse mère, Philippine, fille du duc de Lancastre. L'exactitude qu'il faisait observer dans toutes les cérémonies de sa chapelle, il la portait en tout: ses affaires et ses occupations mondaines avaient leur temps marqué, comme la prière, la lecture de la Bible, et chaque chose l'absorbait tout entier. L'oisiveté lui était odieuse; toutefois il aimait à prendre part aux réjouissances et aux solennités instituées en l'honneur de Dieu et des saints. Sa tenue extérieure était toujours modeste, quoiqu'il sut parfaitement faire dans toute occasion Ice que dictaient les convenances. La simplicité de sa tenue se retrouvait dans celle de sa maison, et en même temps, à ne voir que les effets de sa bienfaisance, on l'aurait cru bien plus riche qu'il n'était. Il considérait comme une sainte obligation de venir en aide aux pauvres, aux opprimés, aux malades, surtout aux lépreux, de racheter les prisonniers, d'épargner toute espèce d'ennui et de réclamations aux voisins de ses propriétés. Quand il n'avait plus rien à donner il savait encore consoler par de douces paroles. Désireux d'être plus utile encore qu'il ne l'était aux pauvres, il accepta en 1434 le titre de grand-maître de l'ordre d'Avis, que son frère, le roi Édouard, lui conféra, avec dispense du Pape, parce que Ferdinand était laïque. En revanche il refusa la dignité de cardinal, que lui fit offrir le Pape Eugène, pour ne pas engager sa conscience et sa responsabilité. Le même motif lui imposait la plus extrême réserve quand il s'agissait de recommander quelqu'un des siens pour un emploi public. La meilleure recommandation à ses yeux était un service long et fidèle. Il était en effet pour tous les gens de sa maison comme un père tendre et plein de sollicitude, ne souffrant aucune concubine, surveillant ses pages et les au

tres jeunes gens de son service, de façon qu'il les conservait purs et chastes au moins jusqu'à leur vingtième année, les obligeant à remplir leurs devoirs, tenant à ce qu'ils fussent exacts à la prière, et, quand il fallait punir, le faisant avec calme, rarement en public, toujours avec mesure et suivant l'âge et l'état de chacun.

Il veillait strictement à ce qu'ils fussent ponctuellement payés, et leur accordait volontiers un plaisir permis, se promenant et chassant en général plus pour leur agrément que pour le sien. Il ne tolérait pas que personne souffrit du fait de ses gens; aussi, toutes les fois qu'il quittait un endroit, avaitil grand soin de faire réparer tous les dommages, de payer toutes les dettes, d'acquitter tous les frais résultant de sa présence et de celle de sa maison. Mais jamais la noblesse de ses sentiments et sa pitié ne permettaient qu'on encaissât pour lui aucun argent confisqué, aucune amende légale, tout comme il ne se permettait jamais à lui-même aucune parole blessante contre l'honneur du prochain. Son commerce réservé, aimable et bienveillant, ennemi de toute espèce de contention et de dispute, sa facilité à écouter chacun et à faire le sacrifice de son opinion à tout avis meilleur, lui ouvraient tous les cœurs. A toutes ces vertus s'ajoutait la chasteté de l'âme et du corps, qu'il conserva intacte jusqu'à sa mort, et qui en faisait un véritable ange sur la terre. En somme, toute sa vie se dépeignait et se résumait dans ce mot, qu'il répétait souvent: Le bien me plaît.

Quoique toutes ces qualités semblassent le rendre plus apte à la vie du ciel qu'à celle de ce monde, il avait un cœur plein de bravoure, sensible à la gloire des armes; il était jaloux de se signaler à la guerre contre les Maures d'Afrique, en l'honneur du Christianisme. Le roi Édouard ayant consenti

à faire une expédition contre Tanger, | cheter par une rançon. On fit alors diFerdinand partit, avec son frère aîné verses tentatives pour sauver l'infant, Henri, à la tête des troupes, le 22 août soit en offrant de le racheter, soit en 1437, après avoir invoqué le ciel, dis- le faisant évader, soit en ayant recours tribué des aumônes, reçu les sacrements, aux armes; mais, trop lentes ou trop inrecommandé ses domestiques à la faveur certaines, elles échouèrent toutes et ne du roi, et fait écrire aux autorités de firent qu'empirer le sort du prince. Entous les lieux où il avait pu séjourner fin, le 25 mai 1438, il fut livré au roi de avec sa suite, afin qu'on lui mandât les Fez, ou plutôt à son cruel vizir Lazurac. dommages qu'on avait soufferts et qu'il Ferdinand, se recommandant aux prièpût en indemniser les habitants. L'hé- res des Portugais éplorés qui restaient roïque troupe portugaise fit des prodiges derrière lui, fut obligé d'entreprendre le de valeur contre les innombrables voyage sur une misérable jument, tandis hordes des Maures, entraînée qu'elle que ses compagnons de captivité, parmi était par les infants Henri et Ferdinand, lesquels le fidèle Alvarez, montaient de lequel, malgré son état maladif, tou- bonnes bêtes de somme. Le long de la jours à la tête de ses soldats, prit part route ils furent accueillis par les injuà tous les dangers et combattit avec le res, les chansons dérisoires, les coups courage d'un lion; mais les Portugais de pierre des Maures accourus de toutes étaient trop peu nombreux; ils durent parts; mais Ferdinand restait aussi plier, se résoudre à entrer en négocia- calme que s'il ne s'était pas agi de sa tion, à livrer Ceuta, et à laisser un in- personne. Après six jours de route ils fant en ôtage jusqu'à la remise de la parvinrent à Fez. Ce qu'ils avaient soufplace. Ferdinand se présenta spontané- fert jusqu'alors n'était qu'un faible prément comme otage, quoiqu'il prévît lude des supplices qu'on leur infligea tout ce qui l'attendait, et dès lors com- depuis ce moment. Chaque jour on les mença pour lui un long martyre, qui menaçait de les faire mourir; on les ne se termina qu'à sa mort et qu'il traînait d'un cachot dans un autre ; glorifia par sa persévérance. Zala ben le soir on les livrait en proie à la faim, Zala, émir de Tanger et d'Arzilla, le fit à la vermine, à la malpropreté, après d'abord conduire à Arzilla avec douze leur avoir fait passer le jour au milieu Portugais attachés à son service, parmi des plus durs traitements et des travaux lesquels se trouvait son secrétaire in- les plus ignobles et les plus accablants. time et son biographe Jean Alvarez. Les ulémas, interrogés chaque jour sur Ils eurent beaucoup à souffrir le long de le traitement qu'il fallait infliger à l'inla route des moqueries des Maures. fant, se rassemblaient dans la mosquée et imaginaient chaque fois de nouvelles cruautés. Les Maures eux-mêmes s'étonnaient de ce qu'un prince élevé si délicatement ne succombât point à tant de misère. De temps à autre, il est vrai, on le débarrassait de ses chaînes; on finit aussi par ne plus lui faire faire le service de palefrenier et de fossoyeur; mais les autres supplices n'en continuèrent pas moins, et ce qui le faisait le plus souffrir, c'était de ne plus partager les travaux de ses compagnons d'infortune.

Durant les sept mois de captivité que Ferdinand passa à Arzilla, il fut relativement traité avec assez de douceur, mais il fut presque constamment malade. Cependant l'infant Henri hésitait à rendre Ceuta, et les Cortès le confirmèrent dans cette résolution, parce que les Maures avaient été les premiers à rompre le traité. Ferdinand lui-même déclara hardiment devant Zala ben Zala que ce traité extorqué et rompu était un malheur, mais il proposa de se ra

ENCYCL. THEOL. CATH. — T. VIII.

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Toutefois sa patience et son intrépidité demeuraient inébranlables. Lorsque ses fidèles compagnons le virent pour la première fois chargé de fers, poussé, battu par les gardiens, bafoué par la foule, marchant avec peine tant les chaînes qu'il portait dans les mains étaient lourdes, ils éclatèrent en sanglots et en gémissements. Mais lui leur dit avec calme « Vous voyez comme on me traite, priez Dieu pour moi! » « Je vous assure, dit-il une autre fois, que peu m'importe qu'ils me nomment chien, seigneur ou roi; leurs injures ne m'abattent pas plus que leurs éloges ne m'éleveraient; seulement, si Dieu le voulait, j'aimerais être libre parmi eux.» On n'entendit jamais sortir de sa bouche une parole sévère contre les Maures; il priait chaque jour pour leur conversion, exhortant les siens à en faire autant et à renoncer à tout sentiment de vengeance, comme de vrais Chrétiens souffrant pour la foi catholique. Devant Lazurac ses discours étaient toujours dignes et fermes; jamais il ne s'abaissa à aucune flatterie. Sollicité souvent de prendre secrètement la fuite, il dédaignait cette voie de salut, parce qu'il ne voulait pas se sauver sans ses compagnons. Il déclarait que c'était pour lui une plus grande joie de souffrir et de travailler avec eux que de régner sur le Portugal; mais ce qu'il eût préféré à tout, c'eut été de pouvoir concentrer tous les mauvais traitements sur lui seul. Enfin rien ne put lui faire perdre sa confiance en Dieu, sa patience et sa fermeté, même lorsqu'il vit s'affaiblir les dernières lueurs d'espérance, et tous les efforts des Portugais auprès de Lazurac échouer les uns après les autres. Les promesses de la vie future effacèrent de plus en plus dans son âme purifiée toute pensée mondaine, tout amour terrestre ; il n'y avait plus que trois motifs qui lui fissent désirer de vivre davantage : récompenser selon leur mérite ses fidèles

-compagnons de malheur; exciter les Chrétiens à conquérir l'empire des Maures (non dans des vues personnelles, car il leur avait depuis longtemps pardonné leur cruauté, et il les considérait comme les instruments de Dieu à son égard); enfin pousser le roi et tous ses frères à la délivrance des Chrétiens esclaves des Maures. Ce fut dans les quinze derniers mois de sa vie qu'il eut à subir les plus pénibles épreuves. Il fut violemment séparé de ses amis, jeté dans un effroyable cachot où ne pénétrait jamais la lumière du jour, où un homme pouvait à peine se mouvoir, et dont les immondices des lieux environnants empestaient l'air. Sa tête reposait sur un billot; le sol était sa couche. L'âme de Ferdinand sut se résigner à ce sort épouvantable, mais son corps dépérit promptement. Son unique occupation dans cette lamentable solitude était son commerce avec Dieu et la préparation à la mort. Cependant les siens trouvèrent moyen de lui parler en secret, de lui donner et d'en recevoir des paroles d'encouragement et d'espérance. Ils étaient parvenus à lui procurer nuit et jour de la lumière afin qu'il pût lire et prier. Il priait presque constamment à genoux; il dormait très-souvent dans cette posture. Toutes les semaines ou tous les quinze jours il recevait la visite de son confesseur. Il ajoutait encore des pénitences volontaires aux supplices de chaque jour. La plus grande pénitence pour lui était d'apprendre combien ses fidèles amis étaient maltraités; toutes les fois qu'il pouvait leur parler, il les suppliait, pour l'amour de Dieu, de lui pardonner le malheur qu'ils enduraient à cause de lui. Enfin parut l'ange de la délivrance au commencement de juin 1443. Vers la fin de la sixième année de sa captivité il fut atteint d'une dyssenterie mortelle. On ne lui permit néanmoins pas de changer de prison; seulement son médecin, son confesseur

et quelques Chrétiens purent venir le veiller tour à tour. Le matin de sa dernière journée son confesseur le trouva le visage illuminé, le sourire sur les lèvres, les yeux inondés de larmes et tournés vers le ciel. « Il lui semblait, dit-il à son confesseur, voir paraître la Mère de Dieu dans sa grâce et sa majesté, entourée de saints, venant lui annoncer que le jour même il serait reçu au ciel. » Le soir, après avoir confessé de nouveau et prononcé sa profession de foi, il rendit son esprit à Dieu. Lazurac ne put s'empêcher d'avouer que, s'il y avait quelque chose de bon dans le Christianisme, on l'aurait trouvé dans Ferdinand; que, si Ferdinand avait été un Maure, ses vertus l'auraient placé parmi les saints, car jamais il n'avait dit un mensonge, et, toutes les fois qu'il l'avait fait observer durant la nuit, on l'avait trouvé à genoux, priant, chacun d'ailleurs disant qu'il était innocent comme au jour de sa naissance et qu'il n'avait jamais connu de femme. Malgré cela il fit ouvrir son corps, en fit arracher les entrailles et le cœur, le fit embaumer et suspendre nu, la tête en bas, pendant quatre jours, aux portes de la ville. Quelques semaines après, plusieurs de ses compagnons d'infortune le suivirent dans la tombe. Les autres n'obtinrent leur liberté qu'après la mort de Lazurac. Parmi eux se trouvait son secrétaire, Jean Alvarez, qui apporta le cœur de son maître en Portugal, en 1451. Vingt-deux ans après on y transféra aussi le corps de Ferdinand, et on l'ensevelit avec pompe dans la sépulture royale du couvent de Batalha.

Voyez la Vie de S. Ferdinand, par J. Alvarez, dans les Bollandistes, au 5 juin; Vie de l'infant Ferdinand (Leben des standhaften Prinzen), Berlin et Stettin, 1827; Histoire du Portugal, par le Dr Henri Schæfer, Hambourg, 1839, t. II, pag. 332-336. SCHRÖDL.

FÉRIE, feria (de ferior, célébrer, reposer). On entendait par férie, dans l'antiquité chrétienne, un jour de repos durant lequel on s'abstenait de travailler. Déjà les Romains appelaient féries tous leurs jours de fête, et ils en avaient un grand nombre. Les Chrétiens conservèrent ce mot, et désignèrent ainsi nonseulement les dimanches et les jours de fête, mais encore tous ceux de la semaine, non pas qu'ils fussent tous solennisés, mais parce que, dans les premiers temps du Christianisme, l'année ecclésiastique commençait avec la fête de Pâques, qui était célébrée pendant toute une semaine, qu'on assistait tous les jours à l'office, qu'on s'abstenait de tout travail, et qu'on nommait par ce motif ces jours privilégiés dies feriati.

Comme chaque dimanche est consacré à la mémoire de la résurrection de Notre-Seigneur, et à ce point de vue est une sorte de commémoration du jour de Pâques, on nomma tous les jours de la semaine, à l'instar de ceux de la première semaine de l'année, féries, feria, les désignant dans l'ordre numérique à partir du dimanche, seconde, troisième férie, feria secunda, tertia, etc.; le premier jour de la semaine seul conserva le nom de jour du Seigneur, dies Dominica (1). Le dimanche paraît déjà dans l'Écriture sainte et dans les plus anciens Pères de l'Église comme tel, c'est-à-dire comme jour consacré au souvenir de la résurrection du Seigneur, tandis que le dernier, c'est-à-dire le septième jour de la semaine, est désigné par le nom habituel de l'Ancien et du Nouveau Testament sous le nom de sabbat, sabbatum. Les autres jours, depuis le dimanche jusqu'au samedi, furent appelés féries. Cette dénomination était vulgaire dès le temps de Tertullien. D'après le Bréviaire romain le Pape Sylvestre Ier renouvela spéciale

(1) Voy. DIMANCHE.

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