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Tâge de dix-huit ans dans l'ordre de S., sanne, pour y convertir des sectaires

Dominique, et passa les années 13631394 soit comme novice, soit comme étudiant des sciences, soit comme professeur de littérature, de dialectique et de théologie, et comme prédicateur, dans différents couvents des Dominicains d'Espagne. Avant 1380 il composa une dialectique, et en 1380 même un traité sur le nouveau schisme de l'Église, qu'il dédia à Pierre, roi d'Aragon, et dans lequel il soutint la légitimité du Pape Clément VII,

grossiers qui adoraient le soleil et d'opiniâtres hérétiques qui avoisinaient l'Allemagne. Toutes les fois qu'il arrivait dans une ville, princes, nobles, évêques, prélats, clergé allaient solennellement au-devant de lui; le Pape Martin V luimême et les rois de France et d'Espagne vinrent à sa rencontre lorsqu'il se présenta pour prêcher dans les villes où ils résidaient. Entouré d'un cortège bril lant, l'humble missionnaire montait un pauvre ânon et entrait au milieu des acclamations populaires, toujours modeste d'attitude et recueilli en Dieu. Comme chacun voulait entendre le prédicateur inspiré, il était dans toutes ses pérégrinations suivi d'une immense multitude, et souvent son auditoire s'élevait à quatre-vingt mille personnes. Parmi cette foule attentive et émue on voyait des troupes de pénitents et de flagellants, qu'il ne faut pas confondre avec les flagellants hérétiques, et qui, loin de se permettre aucun désordre, aucune innovation, édifiaient la masse des peuples par leur piété et leurs œu vres de pénitence. Cependant l'illustre Gerson, qui n'était pas en général favo rable à ce genre d'austérités et de pra

En 1384-1385 il obtint le grade de docteur en théologie, à l'étude de laquelle il s'était livré avec ardeur. Lorsqu'après la mort du Pape Clément VII le cardinal Pierre de Luna fut monté sur le Saint-Siege sous le nom de Benoît XIII, le nouveau pontife attira Ferrier à sa cour, dans Avignon, et le choisit pour confesseur et maître du sacré palais, magister sacri palatii. Ferrier demeura dans cette position jusqu'en 1396 ou 1398. Étant alors tombé gravement malade, il eut une vision dans laquelle S. Dominique et S. François lui apparurent et lui donnèrent la mission de prêcher aux peuples, comme apôtre du dernier jugement. En vain Benoît XIII lui offrit un évêché et le chapeau de car-tiques de pénitence, engagea le saint, dinal; Ferrier suivit l'appel d'en haut, au nom du concile de Constance, à et fut nommé par le Pape, qui finit se débarrasser de ces troupes de flapar céder, missionnaire apostolique, gellants. muni de pouvoirs extraordinaires. Le monde et l'Église, divisés par le schisme, troublés par de nombreux désordres, avaient grandement besoin, à cette époque, d'un envoyé de Dieu muni de dons extraordinaires, sachant parler et agir, et tel parut Ferrier dès le premier jour jusqu'à celui de sa mort.

De 1396 ou 1398 jusqu'en 1419 cet infatigable missionnaire parcourut nonseulement presque toutes les provinces d'Espague, mais la France, l'Italie, l'Angleterre, l'Irlande et l'Écosse. Il prêcha aussi dans le diocèse de Lau

La sollicitude de Ferrier pour les divers besoins de ses auditeurs était admirable. Il emmenait avec lui, dans ses missions, des prêtres pour entendre les confessions et célébrer la sainte messe, des chantres et des orgues pour rehausser la dignité des offices divins, des notaires pour rédiger les actes résultant de la réconciliation des partis, des gens probes et sûrs pour pourvoir à la nour riture et au logement de tout ce monde. Dès que le pieux missionnaire paraissait, les ouvriers quittaient leurs ateliers, les professeurs suspendaient leurs cours; à

peine pouvait-on retenir les malades dans leurs lits. En effet, Dieu avait suscité un nouvel apôtre à son Église il parlait avec une force surnaturelle, un enthousiasme entraînant, une éloquence toute céleste, à la fois profonde ret lumineuse, et sa voix répondait si bien au mouvement de son cœur et W de son esprit qu'alternativement, et à son gré, elle changeait d'accent et devenait forte, douce, sérieuse, tendre et pénétrante. On croyait entendre non un homme, mais un ange. A peine ouvrait-il la bouche que les larmes coulaient de tous les yeux, surtout lorsqu'il parlait du jugement dernier, de la Passion du Sauveur et des châtiments éternels. Les pécheurs les plus endurcis, cédant à la véhémence de ses discours, étaient saisis de frayeur ou confessaient tout haut et publiquement leurs fautes; ceux que la haine et le désir de la vengeance aveuglaient s'é- | criaient tout à coup qu'ils voulaient pardonner à leurs ennemis; des milliers de gens vicieux de toute espèce, des hommes sans mœurs, des âmes dépravées, des courtisanes, des débauchés, des adultères, des usuriers, des meurtriers, se convertissaient à l'envi. En Espagne seulement il amena à la vraie foi vingtcinq mille Juifs et huit mille Sarrasins. On bâtissait de tous côtés, à sa voix, des couvents, des églises, des hôpitaux, des ponts. Un esprit de sainte et sincère réforme pénétrait chaque condition, car il ne faisait pas acception de personnes et offrait à chaque état le miroir de ses passions et de ses vices. Il n'oubliait pas les enfants et les catéchisait souvent.

Mais toutes ces merveilles de grâce n'étaient pas dues seulement à ses prédications; elles étaient encore l'effet, d'une part, de la puissance que Dieu lui avait départie de faire des miracles, et, de l'autre, de la sainteté même de sa vie. Semblable en tout aux Apôtres, il avait

comme eux le don des langues; car, quoiqu'il parlât toujours dans sa langue maternelle, le dialecte de Valence, les peuples divers le comprenaient, comme le témoignent Ranzam, le savant biographe du saint, son procès de canonisation, Nicolas de Clémengis et d'autres contemporains.

Sa journée se partageait d'ordinaire de la manière suivante : il dormait cinq heures sur un lit dur et misérable; le reste de la nuit était consacré à la prière et à la lecture de l'Écriture sainte; le matin, après l'office chanté, deux ou trois prédications de suite; puis il accueillait le peuple, qu'on ne pouvait empêcher de venir lui baiser la main; on lui amenait les malades, sur lesquels il faisait le signe de la croix, en disant: Super ægros manus imponent, et bene habebunt: Jesus, Mariæ filius, mundi salus et Dominus, qui te traxit ad fidem catholicam, te conservet in ea et beatum faciat, et ab hac infirmitate te liberare dignetur. Amen. Alors il prenait un maigre repas, composé d'un seul plat. A ce règlement quotidien, et nonobstant tous les tracas qu'entraînait pour lui cette vie de voyage, de changements incessants, de foules toujours renouvelées, il ajoutait des pratiques de pénitence, et notamment la discipline. Cependant il conserva jusqu'à la fin de sa vie la vigueur d'un esprit jeune et ardent, si bien que, malgré les infirmités de l'âge et sa faiblesse corporelle, il avait en prêchant tout le feu et la fraîcheur de la jeunesse.

Du reste, Ferrier n'échappa point au sort commun de la critique humaine. On lui reprocha notamment, outre le cortége des flagellants, d'annoncer le jugement dernier comme s'il était dans un avenir rapproché, et il fallut qu'il s'en expliquât auprès de Benoît XIII, qui, admettant la justification de Ferrier, lequel ne considérait cette détermination des temps que comme une opinion hu

1839.

SCHRÖDL.

FERTUM. Voyez IMPÔTS.

maine, le laissa tranquille. Ce qu'on au- | Hohenthal, Vincent Ferrier, Lipsia. rait pu lui reprocher plus sérieusement, c'était son attachement aux Papes d'Avignon, si on ne savait combien les jugements sur les Papes opposés les uns aux autres étaient partagés alors. Ce pendant il pressa souvent Benoît XIII de tout faire et même de déposer la tiare pour mettre un terme au schisme. Il en conféra avec l'empereur Sigismond, avec les rois de France et d'Aragon; il conseilla finalement (1415) à Ferdinand d'Aragon de s'affranchir de l'obédience de Benoît, dans le cas où il ne voudrait pas abdiquer, et, en effet, Benoît n'ayant pas abdiqué, Ferdinand renonça, le 6 janvier 1416, à son obédience, et le saint prononça un discours à cette occasion. Du reste, Ferrier n'assista pas au concile de Constance, et sa soumission à l'égard d'un Pape ne lui ferma jamais l'accès de l'autre : il était reçu dans l'obédience des deux Papes comme un envoyé du ciel.

Il est presque inutile de remarquer que le saint était journellement consulté par les cardinaux, les évêques, par toute la chrétienté; le concile de Constance même attendit avec joie, quoique en vain, sa venue, dans l'espoir de profiter de sa sagesse. Le Pape Martin V, élu chef suprême de l'Église, le confirma dans son titre de missionnaire apostolique; il en remplit les fonctions jusqu'à son dernier jour. Il mourut le 5 avril 1419 à Vannes, en Bretagne. Le Pape Calixte III le canonisa en 1455. Le saint laissa quelques écrits, outre ceux que nous avons cités en commençant. Cependant les Discours spirituels qu'on a sous son nom ne sont pas de lui, du moins quant à la forme; ce sont probablement des rédactions de ses auditeurs. Cf. Bolland. Surius, ad 5 april.; Nic. de Clémengis, Ep. ad Reginald. de Font.; Echard, de Script. ord. Præd., t. I, p. 763; Vincent Ferrier, de Louis Heller, Berlin, 1830; comte de

Le

férus (Jean) ou SAUVAGE, ou encore WILD en allemand, Franciscain de Mayence, prédicateur et exégète fameux, mort le 8 septembre 1554, à l'âge de soixante ans, est compté par les protestants parmi leurs soi-disants te moins de la vérité, et resta néanmoins toujours catholique et moine; il répondit même, dit-on, lors de l'occupation de Mayence par Albert, margrave de Brandebourg, qui cherchait à lui faire déposer le costume de son ordre: «Je porte depuis bien des années cet habit qui ne m'a jamais fait de mal; pourquoi l'ôterais-je ? » Ce qui a fait suspecter son orthodoxie ce sont ses commentaires bibliques, notamment son commentaire sur l'Evangile de S. Matthieu, dans lequel le savant Dominicain Soto nota soixante-sept passages qui demandent à être lus avec une grande prudence. Franciscain espagnol Michel Médina prit la défense de son confrère dans une apologie spéciale, et le savant P. Sal meron, de la Compagnie de Jésus, a fait un grand usage des commentaires de Férus dans ses écrits. Plusieurs de ses commentaires ont été mis à l'inder (quoique les commentaires sur l'Evangile de S. Matthieu et sur celui de $. Jean, expurgés, aient paru à Rome en 1577, et que l'index porte seulement. donec corrigatur). La faculté de theologie de Paris se prononça en 1559 pour la suppression du commentaire de S. Matthieu. Férus ayant dit qu'il avait quelquefois tiré une perle du fumier des novateurs, et s'étant en plusieurs points éloigné des opinions théologiens catholiques, ce double motif peut donner la clef des jugements por tés sur certains passages de ses écrits. Du reste, Du Pin remarque (1) que

communes des

(1) Nouv. Bibl., t. XVI, p 2, Amsterd., 1710.

les commentaires de Férus sont, non des notes sèches et arides, mais des dissertations étendues et éloquentes, faciles et judicieuses, qui expliquent le sens littéral de l'Écriture, y rattachent le dogme et la morale, et prouvent que leur auteur a lu et imité les saints Pères. Jöcher donne dans son Lexique des Savants, sous le titre de JEAN WILD, un catalogue des nombreux écrits de Férus, souvent lus par les Catholiques et les protestants, composés en général de commentaires sur l'Ancien et le Nouveau Testament, et de sermons. On y remarque surtout ses commentaires sur le Pentateuque, le livre de Josué, le livre des Rois, Job, l'Ecclésiaste, les Lamentations de Jérémie, les Psaumes 30 et 67 de David. Voir aussi Rer. Mogunt. Nic. Serarii, S. J., t. I, p. 128, Francof. ad Monum, 1722; Auberti Miræi Scriptores, sæc. XVI, in Bibl. eccles. J.-A. Fabricii, Hamburgi, 1718; Continuation de l'Histoire de l'Église de Fleury ad

ann. 1554.

Un autre FÉRUS, George, Jésuite, qui fut trente ans prédicateur dans l'église de l'université de Prague, et qui mourut en 1655, s'est fait connaître par la traduction d'une foule d'histoires de saints et d'écrits ascétiques en langue bohême.

SCHRÖDL.

FESCH (Joseph), beau-frère de la mère de Napoléon, archevêque de Lyon et cardinal, dont le père, François Fesch, descendant d'une famille ancienne et considérée de Bâle, était venu, en qualité d'officier d'un régiment suisse, en Corse, naquit à Ajaccio en 1763 et fut, dès l'âge de treize ans, envoyé au petit séminaire d'Aix, en Provence. La révolution française interrompit sa carrière ecclésiastique. Les circonstances lui firent accepter pendant un certain temps les fonctions de commissaire des guerres; cependant, plus tard,

ENCYCL. THÉOL. CATII.-T. VIII.

il quitta l'habit laïque, reprit l'état ecclésiastique et devint chanoine de Bastia. Napoléon, lors de la conclusion du Concordat, auquel Fesch avait concouru, le nomma archevêque de Lyon (1802). Le 17 janvier 1803 il fut créé cardinal avec plusieurs autres prélats français. Napoléon, voulant rendre à l'ambassade de France à Rome son ancienne splendeur, et donner en même temps au Pape une preuve de son respect particulier, envoya son oncle en qualité de ministre plénipotentiaire et lui donna pour secrétaire de légation M. de Chateaubriand. « Ayez du tact, » dit Napoléon au cardinal partant pour son nouveau poste ; et le cardinal ne se distingua pas précisément par cette qualité diplomatique. Toutefois il ne manqua jamais au respect dû au Saint-Siége, et son séjour à Rome exerça même sur lui une influence avantageuse pour l'avenir. Ce fut surtout à ses instances que Napoléon dut la résolution prise par Pie VII de venir couronner l'empereur à Paris. Le cardinal accompagna le Pape durant son voyage en France, l'assista durant la cérémonie du sacre, et le reçut de la manière la plus brillante à son passage à Lyon, lors de son retour à Rome. Il reprit alors ses fonctions de ministre plénipotentiaire près du Saint-Siége et les conserva jusqu'en mai 1806; il avait été dans l'intervalle (1804-1806) nommé grand-aumônier, sénateur, supérieur des missions françaises, primicier du chapitre de SaintDenis, préfet d'une congrégation romaine et élevé encore à d'autres hon

neurs.

Napoléon, irrité de ce que le Pape refusait d'expulser de ses États les Russes, les Suédois, les Anglais et les Sardes, avait besoin d'un ministre séculier dont il pût se servir vis-à-vis du Pape avec moins de ménagement que son oncle; aussi avait-il destiné le cardinal à un autre poste, et l'électeur archichance

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lier de l'empire, de Dalberg, déclara son coadjuteur et son successeur le cardinal Fesch,« dont la famille, disait-il, avait anciennement bien mérité de l'Église d'Allemagne, et qui était en position de maintenir l'électorat ecclésiastique.» Le cardinal se conduisit avec dignité : il refusa son consentement au projet dicté par l'empereur. Trois ans plus tard, Pie VII ayant été traîné à Savonne et refusant énergiquement d'instituer les évêques nommés par Napoléon, le cardinal Fesch refusa l'archevêché de Paris, que lui offrait son neveu, faisant suffisamment entendre par là qu'il ne prenait aucune part aux vues et aux actes de l'empereur vis-à-vis du Pape.

d'une fois sa mauvaise humeur et l'avait renvoyé un jour, en lui disant : « Taisez-vous; vous êtes un ignorant. Où avez-vous étudié la théologie? »

Le cardinal se dédommagea de cette disgrâce en dirigeant son diocèse, auquel il rendit de vrais services en ranimant partout le zèle catholique, en rétablissant toute espèce d'institutions ecclésiastiques et de corporations religieuses. Après la chute de Napoléon, le cardinal trouva un refuge à Rome, où Pie VII l'accueillit volontiers. « Qu'il vienne, qu'il vienne! dit le Pape; Pie VII ne peut oublier le ton courageux avec lequel on a prêté le serment prescrit par Pie IV!» Mais. au retour de l'empereur de l'île d'Elbe et après sa rentrée dans Paris, le cardinal quitta Rome et vint rejoindre son neveu. Le triomphe de Napoléon fut court, et le cardinal Fesch se retrouva dans la nécessité de redemander un asile à Rome, où Pie VII le reçut généreusement une seconde fois. Quelques cardinaux demandaient qu'on enfermât au château Saint-Ange ce prélat qui avait eu tant hâte de se réconcilier avec son neveu; mais Pie VII rejeta l'a

Malheureusement, dans la commission ecclésiastique instituée le 16 novembre 1809 et renouvelée en janvier 1811, que présidait le cardinal et à l'aide de laquelle Napoléon espérait couvrir ses mesures arbitraires et despotiques, tourner à son avantage le préjudice que causait à l'Église sa position hostile à l'égard du Pape, le cardinal acquiesca aux réponses sollicitées par l'empereur et qui ne pouvaient qu'attrister le pontife captif, Enfin la commission, qui ne pou-vis de ces zélateurs si hardis en temps vait naturellement contribuer à rétablir l'ordre, proposa la convocation d'un concile national, qui fut en effet appelé et ouvert le 17 juin 1811. Le cardinal Fesch fut élu président du concile et se conduisit dès le principe avec noblesse et fermeté. Il lut à haute et intelligible voix la profession de foi de l'Église catholique romaine et jura fidélité et obéissance au Pape, suivant la formule du serment prescrit par Pie IV; après quoi les autres prélats déposèrent le même serment entre les mains du président. Dans le courant des conférences du concile le cardinal répondit si peu à l'attente de l'empereur qu'il tomba en pleine disgrâce. Il la supporta sans peine. L'empereur, qu'irritait toute contradiction, lui avait déjà fait sentir plus

de paix. Le Pape laissa également au cardinal son titre d'archevêque de Lyon, quoiqu'il eût volontiers pourvu à ce siége, qui fut géré par un administrateur durant toute la vie du cardinal. En 1824 toutefois le Pape Léon XII lui retira la juridiction ecclésiastique de son diocèse. Le cardinal continua à résider à Rome, menant une vie tout à fait retirée et digne d'un prélat catholique. Au commencement de mai 1818 il pria la cour romaine d'intervenir auprès du gouvernement anglais pour en obtenir l'autorisation d'envoyer un prêtre à l'empereur, et en effet l'année suivante il eut, ainsi que le Pape Pie VII, la conso-* lation de faire partir deux prêtres pour Sainte-Hélène. Le cardinal mourut à Rome, le 13 mai 1839, à l'âge de

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