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soixante-seize ans. En pesant les cir- | s'être entendu avec Agrippa, le gou

constances de son temps et les difficultés de sa position, on est obligé de reconnaître que, malgré ses défauts, il montra un zèle sincère pour les intérêts de l'Église et un courage qui fit honte à plus d'un prélat de cour.

Voir Histoire du Pape Pie VII, par Artaud de Montor; Henrion, Histoire universelle de l'Église, t. XII; le Cardinal Fesch, archevêque de Lyon, par l'abbé Lyonnet, Lyon, 1841; Wachsmuth, Histoire de France durant la Révolution, 3o, 4o part., Hambourg, 1843-44; Thiers, Histoire du Consulat et de l'Empire, t. V, p. 228, t. XIII, p. 143.

SCHRÖDL.

verneur consentit au désir du saint et l'envoya à Rome (1). Festus se montra également ami de la légalité à l'occasion d'un conflit entre Agrippa et les Juifs (2). Malheureusement son administration fut troublée par ses combats contre de nombreuses hordes de brigands et de révoltés (3), et abrégée par sa prompte mort (4). Son successeur fut Albinus, qui ne lui ressembla pas (5).

BERNHARD.

FÊTE DE L'ANE, festum asinorum. Cette fête, comme celle des Fous (6), se rencontre au moyen âge dans certaines églises, surtout en France. Selon qu'on voulait représenter symboliquement l'entrée du Christ dans Jérusalem ou la fuite de la sainte famille en Égypte, on célébrait cette fête à des époques différentes; par exemple à Rouen c'était à Noël, à Beauvais le 4 juin. On eut, dans l'origine, de bonnes et pieuses intentions; mais peu à peu la chose fut tournée en ridicule et devint une pure mascarade. Ainsi on revêtit l'âne d'un surplis, et, à son entrée dans l'église, on chantait une prose comique en latin, dont chaque strophe se terminait par ce refrain: « Hé! sire âne (7)! »

FESTUS PORCIUS fut envoyé par l'empereur Néron, dans les premières années de son règne (vers l'an 60) (1), à la place du procurateur Félix, en Judée et dans les provinces subordonnées. Dès son arrivée en Palestine Festus fut assailli des prières du grand-prêtre et des premiers d'entre les Juifs, qui lui demandaient de faire revenir S. Paul à Jérusalem, les pétitionnaires espérant pouvoir faire en route assassiner l'Apôtre (2). Quoique Festus fût disposé à être agréable aux Juifs, il ne se permit pas la moindre illégalité dans le procès de l'Apôtre, et il l'aurait remis en liberté si celui-ci n'en avait appelé à César (3). Festus, pour rédiger le rapport nécessaire (4) et en même temps vraisemblablement pour flatter Agrippa II, fit comparaître S. Paul devant ce prince et sa sœur Bé-lebritatibus non instituendis, et surrénice. Ce fut dans cette circonstance que S. Paul parla d'une manière tellement inspirée que le roi ébranlé fut presque déterminé à devenir Chrétien; mais Festus s'imagina que le savoir de Paul l'avait mis hors de lui. Après

(1) Voy. FELIX.

(2) Act., 25, 3.
(3) Act., 25, 4-12.

(4) Ulpian., 1. 49, 6, de Libellis dimissorum.

Les Papes s'efforcèrent de bonne heure, ainsi que leurs légats et les évêques, d'abolir cette fête; toutefois elle se maintint en divers lieux jusqu'au quinzième siècle. A cette époque l'écrit de Nicolas de Clémangis, de Novis Ce

tout le concile de Bâle mirent un terme
à ces inconvenantes bouffonneries.
Cf. Schrökh, Hist. de l'Égl. chrét.,
(1) Act., 26, 1; 27, 1.
(2) Jos., Antiq., XX, 8, 11.
(3) Ibid., XX, 8, 10.

(4) Ibid., XX, 8, 11.

(5) Jos., Bell. Jud., II, 14, 1.

(6) Voy. FÊTE DES FOUS.

(7) Conf. Histoire du Comique grotesque, par Flægel, p. 167 sq.

t. XXVIII, p. 273; Meiners, Compa- | reusement attrapé, il fallait qu'il payât

raison, etc., du moyen áge, Part. II, p. 250; Du Cange, Gloss., s. v. Festum asinorum.

FÊTE DE S. GRÉGOIRE. Durant tout le moyen âge la jeunesse des écoles célébra une solennité qui, disait-on, se rattachait à l'antique fête païenne de Minerve, et qui tenait probablement son nom du Pape Grégoire Ier, dont la fête tombait le même jour que celle de la Jeunesse. Parmi les mascarades de toute espèce de cette cérémonie juvénile, on remarquait surtout la figure d'un enfant ou d'un étudiant travesti en évêque.

La fête des Innocents, également célébrée dans le moyen âge, ressemblait beaucoup à celle de S. Grégoire. Elle fut introduite à Saint-Gall par l'empereur Conrad Ier, visitant ce couvent en 912. Elle devint, sous l'évêque-abbé de Saint-Gall, Salomon III, une réjouissance pour les étudiants du couvent, se transforma en un spectacle burlesque et prit tout à fait la forme de la fête de S. Grégoire (1). Le dimanche avant la Ste Catherine tous les étudiants se réunissaient et nommaient au suffrage abbé de l'école celui qu'ils reconnaissaient pour le plus laborieux et le plus sage (ils élisaient un abbé, et non un évêque, Saint-Gall n'étant qu'un couvent). L'élu choisissait deux chapelains, montait avec eux sur une estrade, dansait et chantait: Eia, eia, virgo Deum genuit, et se faisait régaler par ses subordonnés. Le 13 décembre le recteur menait le jeune abbé à la porte de l'église, au chant du Te Deum, entonné par le chœur. Là l'abbé et ses chapelains ôtaient leurs souliers et leur longue robe, se mettaient à courir de toutes leurs forces à travers l'église jusqu'au maître-autel pour n'être pas atteints les autres étudiants; s'il était malheu

par

(1) Voir Histoire du canton de Saint-Gall, C'Arx, l. I, p. 115 et 124-125.

quatre bouteilles de vin et ne pouvait monter au maître-autel. S'il n'était pas atteint, il s'asseyait sur un trône près de l'autel, attendait la fin du choral et voyait jeter du haut de l'É glise sur les étudiants de l'eau, des pommes, des poires et d'autres ob jets. La veille et le jour des SS. Innocents l'abbé célébrait les vêpres et dirigeait la procession; puis il remontait sur l'estrade avec ses chapelains, chantait, en sautant, alternativement avec le choeur,, donnait la bénédiction au peuple et le renvoyait. Ces jours-là, toutes les fois que l'abbé entrait dans l'église, on lui donnait un prie-Dieu richement orné, et, pour se rendre à la prière du soir, il était accompagné par quatre élèves portant des torches. On comprend que pendant toute la durée de la fête la cuisine et la cave allaient grand train. Probablement la fête des Innocents et des Étudiants de S. Grégoire donna lieu à celle des Fous ou du SousDiacre, que le bas clergé célébrait le jour même des SS. Innocents. Le bas clergé élisait un évêque; celui-ci célébrait la grand'messe, pendant laquelle, en place de parfum, on l'encensait avec du vieux cuir brûlé et d'autres mauvaises odeurs. Les clercs s'asseyaient dans les stalles des chanoines et chantaient bruyamment: Deposuit potentes de sede et exaltavit humiles. La farce se continuait ensuite dans la rue avec le peuple. Ces spectacles inconvenants furent défendus par les conciles de Constance, de Bâle et de Trente, et tombèrent peu à peu. On comprend que ces plaisanteries, qui nous scandalisent, aient pu naître et être tolérées lorsque la foi était forte et simple, que tout partait du sentiment religieux, que les spectacles et les travestissements les plus comiques s'associaient sans grave inconvénient aux cérémonies religieuses, tant la piété était sincère et solide.

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Cf. Manuel de l'Histoire de l'Église du D. Hortig, t. II, P. I, p. 310313.

SCHRÖDL.

FÊTE DES Fous. Voyez l'article précédent.

FÊTE-DIEU. Quoique cette fête soit célébrée dans toute la chrétienté avec la plus grande pompe, elle est une des solennités les plus récentes de l'Église. Elle n'a été connue ni dans les premiers siècles ni dans la première moitié du moyen âge. Elle doit son origine à une religieuse de Liége, nommée Julienne, qui vivait au treizième siècle. Cette religieuse, dit la légende (1), voyait souvent en rêve la lune dans son éclat, ayant toutefois à un de ses côtés un point obscur. Elle pria Dieu de lui expliquer cette vision. Dieu lui révéla que cette vision signifiait que l'absence d'une fête en l'honneur de l'auguste Sacrement de l'autel obscurcissait en quelque sorte le doux éclat de l'Église, et la religieuse fit part de cette révélation à plusieurs hommes connus par leur piété et leur savoir, entre autres à Jacques de Troyes, archidiacre de Liége, et à Hugues, provincial des Dominicains. Ces hommes de Dieu ajoutèrent foi au récit de Julienne, et insistèrent auprès de l'évêque de Liége pour qu'il instituât une fête du saint Sacrement. Celui-ci y consentit et ordonna qu'elle serait célébrée dans tout son diocèse en 1246. Cependant, étant mort peu de temps après, et la fête nouvelle rencontrant des oppositions, l'ordonnance serait probablement restée inexécutée si le provincial Hugues, cité plus haut, qui, dans l'intervalle, avait été créé cardinal-prêtre et légat du Pape en Allemagne, n'était venu à Liége et n'avait recommandé la fête nouvelle, non-seulement dans cette ville, mais encore dans toutes les églises de sa léga

(1) Act. SS., apud Bolland., 5 april.

tion, avant son retour à Rome en 1252.

La Providence voulut encore que Jacques de Troyes montât sur le siége apostolique sous le nom d'Urbain IV. Urbain, probablement aussi influencé par le miracle de Bolséna (1), promulgua en 1264 une bulle décrétant que la fête du saint Sacrement serait célébrée dans toute la chrétienté avec octave (2). Urbain mourut peu de temps après, et la bulle resta inexécutée (3) jusqu'en 1311, époque à laquelle le Pape Clément V la rappela au concile de Vienne. A dater de cette époque elle fut observée dans toute l'Église d'Occident; mais, d'après Martène (4), elle ne fut pas suivie en France avant 1318. Le concordat de 1801, entre le Saint-Siége et la France, ne maintint pas cette fête parmi les fêtes légalement chômées. Le concile de Trente explique le but de cette fête en répondant aux novateurs du seizième siècle, qui en avaient été scandalisés et l'avaient abrogée: Æquissimum est sacros aliquos statutos esse dies cum Christiani omnes singulari ac rara quadam significatione gratos et memores testentur animos erga communem Dominum et Redemptorem, pro tam ineffabili et plane divino beneficio quo mortis ejus victoria et triumphus repræsentatur. Atque sic quidem oportuit victricem veritatem de mendacio et hæresi triumphum agere, ut ejus adversarii, in conspectu tanti splendoris et in tanta universæ Ecclesiæ lætitia positi, vel debilitati et fracti tabescant, vel pudore affecti et confusi aliquando resipiscant (5). Jésus-Christ est aujourd'hui, hier, et dans toute l'é

(1) Voy. BOLSENA (messe de). (2) Clement., 1. III, tit. 16. (3) Bened. XIV, de Fest., p. I, c. 537. (4) De Ant. Eccl. Disc., c. 29.

(5) Sess. XIII, c. 5, de Euchar.

ternité, la voie, la vérité et la vie, la | ancienne que la fête (1). A la messe

porte du salut, le cep de la grâce, le Médiateur éternel entre Dieu et les hommes. Or il est mystérieusement présent dans le saint Sacrement de l'autel. Il convient donc de lui consacrer un jour spécial, comme au sanctuaire même et au sommaire de notre foi. Sans doute chaque messe est une fête qui exprime notre reconnaissance; mais le besoin qui consacre certains jours à exprimer plus particulièrement un sentiment de joie religieuse se fait précisément sentir ici. Cette cérémonie solennelle doit suppléer à tout ce que la faiblesse humaine néglige dans la célébration journalière de la sainte messe, comme le disait déjà dans sa bulle le pieux Pape Urbain IV.

La Fête-Dieu a été célébrée, dès l'origine, le premier jeudi après l'octave de la Pentecôte. La pensée que le Jeudi saint, anniversaire de l'institution de l'Eucharistie, est la veille du jour de la mort du Seigneur, et par conséquent n'est pas propre à une cérémonie joyeuse et triomphale, comme le demandait la commémoration de la très-sainte Eucharistie, porta probablement le Pape Urbain IV à la fixer au premier jeudi après la clôture des trois plus grandes solennités de l'année (Noël, Pâques, la Pentecôte). L'Eglise la nomme Festum corporis Christi, fête du très-saint Sacrement. Le nom de Fête-Dieu, ellipse pour Fête de Dieu, s'explique de lui-même, puisque c'est le jour où l'Église honore spécialement Dieu présent dans la sainte Eucharistie. Ce qui la caractérise spécialement, c'est la procession solennelle (1). Le très-saint Sacrement est exposé pendant la messe, le jour même et durant tout l'octave, ainsi qu'au salut. Le concile de Sens de 1320 parle déjà de cette exposition, qui est peut-être aussi

(1) Voy. FÊTE-DIEU (procession de la).

on chante l'hymne Lauda, Sion! comme séquence. Dans certaines églises on donne la bénédiction avec l'ostensoir durant le chant du Lauda, Sion (2), par exemple dans le diocèse de Strasbourg.

Fr.-X. SCHMID.

FÊTE-DIEU (PROCESSION DE LA). Cette procession théophorique est la plus solennelle de toute l'année; elle est aussi ancienne que l'exposition du saint Sacrement qui a lieu ce jour-là. Dans toutes les paroisses où les Catholiques peuvent exercer sans obstacle leur culte, on fait la procession, soit le jour même de la Fête-Dieu, soit le dimanche suivant, ou un autre jour de l'octave, ou, exceptionnellement, un des dimanches suivants, non-seulement dans l'église, mais au dehors, dans les rues des villes et des bourgs, dans les champs autour des villages : Ubi processio S. Sacramenti in ejus festo die vel per octavam, ea quæ decet solenni pompa, nequiverit haberi, designabit episcopus, pro suo arbitrio et prudentia, unicuique ecclesiæ aliquam ex sequentibus dominicis, in qua, celebrata missa cum commemoratione S. Sacramenti, juxta rubricarum præscriptam formam, solemnis illius processio peragi pos sit (3). Dans certaines églises on la fait même deux ou trois fois, le jour même, le dimanche suivant et à la fin de l'octave. Elle se distingue des autres processions par une pompe toute particulière. En outre il est d'usage, dans beaucoup d'églises (quoiqu'il n'en soit pas question dans le Rituel romain ni dans Thiers), de déposer, pendant la procession, le saint Sacrement sur quatre

(1) Cf. Thiers, Traité de l'Exposition, 1, 2,

C. 2.

(2) Rit. Bamberg. (3) S. R., c. 8, mart. 1749.

autels ou reposoirs richement ornés,
d'y chanter, à chaque fois, le commen-
cement d'un des quatre évangiles, quel-
ques oraisons, et, avant de passer ou
tre, de donner la bénédiction. Le clergé
se déploie dans toute sa pompe, les
fidèles parent leurs maisons, ornent
les rues que traverse la procession, y
placent des arbres, y jettent du sable,
des fleurs, des herbes odorantes; les
jeunes filles précèdent le saint Sacre-
ment, vêtues de blanc, ceintes de
couronnes, portant des bannières, la
statue de la Vierge; la jeunesse des éco-
les marche ensuite, des cierges à la main;
les corporations suivent leurs bannières,
les confréries la statue ou l'image de leur
patron; les soldats font la haie, présen-
tent les armes, mettent genou en terre;
on tire des salves d'artillerie. Pendant
la marche on prie tantôt en silence,
tantôt à haute voix ; on chante les hym-
nes en l'honneur de l'Eucharistie, le
Pange, lingua, le Sacris solemniis, le
Verbum supernum prodiens, etc., etc.,
soit en latin, soit en langue vulgaire.
Toute cette solennité a pour but d'ex-
primer la reconnaissance de l'Église et
des fidèles pour toutes les grâces que
Dieu leur a accordées dans le Sacre-
ment de l'autel, en même temps qu'elle
fait éclater aux yeux du monde le dé-
vouement des cœurs chrétiens qui se
donnent à Dieu comme Dieu s'est
donné à tous. Clergé et fidèles ne doi-
vent avoir qu'une pensée, qu'un senti-
ment: « Vivre pour Jésus, mourir pour
Jésus, être à Jésus, qu'on meure ou
qu'on vive!» Tout, dans cette fête,
est un symbole de cette charité ardente
et pure. Les vêtements blancs des jeu-
nes filles expriment qu'elles veulent
conserver fidèlement leur innocence,
pour l'amour de Dieu et avec l'aide du
Dieu toujours présent dans la sainte
Eucharistie. Les désirs de la terre ne
doivent pas les égarer; elles aspirent à
la couronne qui ne se flétrit pas, que le

Seigneur réserve à ceux qui lui appartiennent. Le chant des Évangiles aux quatre reposoirs rappelle aux fidèles que les quatre Évangélistes sont les témoins irrécusables de l'Eucharistie, dont les trois premiers racontent l'institution, dont S. Jean expose les effets, et qu'ainsi leur foi au dogme enseigné par l'Église repose sur d'inébranlables bases.

Il peut y avoir quelque relation d'ailleurs entre l'usage de l'Église d'Alet, qui dépose le saint Sacrement sur deux ou trois autels, lit des oraisons et continue la procession sans donner la bénédiction (1), avec l'usage qu'on avait au moyen âge de placer les quatre Évangiles sur l'autel (2).

Fr.-X. SCHMID. FÊTE PATRONALE (patrocinium), fête célébrée en l'honneur du patron particulier d'une église. Cette espèce de fête est aussi ancienne dans l'Église chrétienne que le culte des saints. Dès la plus haute antiquité il fut d'usage de bâtir des églises ou de construire des autels sur les tombeaux des martyrs et d'y honorer leurs reliques. De là provint la coutume, quand on bâtissait une église, de choisir, comme objet d'un culte particulier, le saint dont les reliques étaient conservées dans cette église. Ainsi les Chrétiens de Smyrne célébrèrent la fête de S. Polycarpe; ainsi les Romains firent mémoire de S. Pierre et de S. Paul; d'autres localités honorèrent le souvenir des martyrs qui avaient conquis la palme céleste dans leur enceinte, et dont les reliques étaient conservées comme de précieux trésors. On consacra aussi des églises en l'honneur des mystères de la religion (par exemple de la Transfiguration, de l'Ascension). Telle fut l'église que Ste Hé

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