...reprenais mon travail jusqu'à sept à huit heures. Ce qui me coûta le plus, ce fut de m'assujettir à sa laborieuse exactitude. Quand je sortais de son...lui-même replacés sur les tablettes. Lorsque je lui presentais un aperçu de mon travail, j'avais beau l'avertir que je l'avais tracé à la hâte : comment...

...reprenais mon travail jusqu'à sept à huit heures. Ce qui me coûta le plus, ce fut de in'assujétir à sa laborieuse exactitude. Quand je sortais de son...revenir à quatre , je laissais sur le bureau plusieurs volâmes ouverts , parce que je devais bientôt les consulter de nouveau ; je m'aperçus, dès le premier...

...reprenais mon travail jusqu'à sept à huit heures. Ce qui me coûta le plus , .ce fut de m'assujétir à sa laborieuse exactitude. Quand je sortais de son...que je devais bientôt les consulter de nouveau; je •m aperçus , dès le premier jour, que M. de Boze les avait lui-même replacés sur les tablettes....

...reprenais mon travail jusqu'à sept à huit heures. Ce qui me coûta le plus, ce fut de m'assujettir à sa laborieuse exactitude. Quand je sortais de son...nouveau ; je m'aperçus, dès le premier jour, que M. de Bo/e les avait lui-même replacés sur les tablettes. Lorsque je lui présentais un aperçu de mon...

...reprenais mon travail jusqu'à sept à huit heures. Ce qui me coûta le plus, ce fut de m'assujettir à sa laborieuse exactitude. Quand je sortais de son...pour y revenir à quatre, je laissais sur le bureau |ilusieurs volumes ouverts, parce que je devais bientôt les consulter de nouveau ; je m'aperçus dès...

...reprenais mon travail jusqu'à sept à huit heures. Ce qui me coûta le plus, ce fut de m'assujettir à sa laborieuse exactitude. Quand je sortais de son...deux heures pour y revenir à quatre, je laissais sur — 240 — le bureau plusieurs volumes ouverts, parce que je devais bientôt les consulter de nouveau...

...reprenais mon travail jusqifà sept ou huit heures. Ce qui me coûta le plus, ce fut de m'assujettirà sa laborieuse exactitude. Quand je sortais de son...bureau plusieurs volumes, ouverts parce que je devais bientot les consulter de nouveau, je m'aperçus, dès le premier jour, que M. de Boze les avait lui-même...

...reprenais mon travail jusqu'à sept ou huit heures. Ce qui me coûta le plus, ce fut de m'assujettir à sa laborieuse exactitude. Quand je sortais de son cabinet à deux heures , pour y reveuir à quatre, je laissais sur le bureau plusieurs volumes, ouverts parce que je devais bientôt...

...reprenais mon travail jusqu'à sept ou huit heures. Ce qui me coûta le plus, ce fut de m'assujettir à sa laborieuse exactitude. Quand je sortais de son...ouverts parce que je devais bientôt les consulter à nouveau ; je m'aperçus dès le premier jour que M. de Boze les avait luimême replacés sur les...

...écrit-il dans ses Mémoires, pour y revenir à quatre, je laissais sur le bureau plusieurs — 23 — volumes ouverts, parce que je devais bientôt les consulter de nouveau; je m'aperçus, dés le premier jour, que M. de Boze les avait lui-même replacés sur les tablettes. Lorsque je lui...