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II. Zur Theorie der Serienspektren. PHYS. ZEITSCHR., IV, 1903, no 14, 406-408.

III. Über das Spektrum von Kalium. ANN. D. PHYSIK, XII, 1903, 444-446. IV. Sur la photographie des rayons infra-rouges. COMPTES RENDUS DE L'ACAD. D. SC., CXLIII, 1906, 167-169.

Vet VI. Sur l'origine des spectres en séries. IBID., CXLIV, 1907, 634-636; CXLV, 1907, 178-180.

VII. Magnetische Atomfelder und Serienspektren. ANN. D. PHYsik, XXV, 1908, 660-696.

VIII. Über die Spektren der Alkalien. PHYS. ZEITSCHR., IX, 1908, no 8, 244-245.

IX. Über ein neues Gesetz der Serienspektren. IBID., IX, 1908, no 16, 521-529.

X. On a new Law of series spectra. ASTROPHYS. JOURN., XXVIII, 1900, n° 3, 237-243.

XI. Les spectres de lignes et la constitution des atomes. REVUE GÉN. DES SCIENCES, XX, 1909, 171-175.

XII. Über einige anomale Zeeman-Effekte in Spektrum von Thorium. PHYS. ZEITSCHR., X, 1909, n° 9, 307-308.

XIII. Series in the Barium spectrum. ASTROPHYS. JOURN., XXIX, 1909, 243. XIV. Plaques pour la photographie du spectre infra-rouge. D'après le cahier de laboratoire de Ritz, par S. Cotton et P. Weiss.

XV. Über eine neue Methode zur Lösung gewisser Variationsprobleme der Mathematischen Physik. JOURN. FÜR DIE REINE UND ANGEWANDT MATHEM., CXXXV, 1908, H. 1, 1-61. Habilitations-schrift.

XVI. Über eine neue Methode zur Lösung gewisser Randwertaufgaben. GÖTTINGER NACHRICHTEN, MATH.-PHYSIK. KLASSE, 16 mai 1908, 236-248.

XVII. Theorie der Transversalschwingungen einer quadratischen Platte mit freien Rändern. ANN. D. PHYSIK, XXVIII, 1909, 737-786.

XVIII. Recherches critiques sur l'électrodynamique générale. ANN. DE CHIMIE ET DE PHYSIQUE, 8 série, XIII, 1908, 145-275.

XIX. Recherches critiques sur les théories électrodynamiques de Cl. Marwell et de H.-A. Lorentz. ARCHIVES DES SCIENCES PHYSIQUES ET NATURELLES, 4 période, XXVI, 1908, 209-236.

XX. Du rôle de l'Éther en Physique, SCIENTIA, III, 1908, no 6.

XXI et XXII. Die Gravitation. IBID, V, 1909, no 10. La Gravitation, traduction par l'auteur, IBID.

XXIII. Über die Grundlagen der Elektrodynamik und die Theorie der schwarzen Strahlung. PHYS. ZEITSCHR., IX, 1908, 903-907.

XXIV. Zum gegenwärtigen Stand des Strahlungsbroblems. PHYS. ZEITSCHR., IX, 1908, 903-907.

XXIV. Zum gegenwärtigen Stand des Strahlungsproblems. IBID., X, 1909, 224-225.

XXV. Zum gegenwärtigen Stand des Strahlungsproblems, von W. Ritz und A. Einstein. IBID., X, 1909, 323-324.

XXVI. Das Prinzip der Relativität in der Optik. Antrittsrede zur Habilitation.

XXVII. Extraits de lettres sur la rotation du plan de polarisation, l'absorption, les spectres en séries.

XXVIII. Spectres de bandes, d'après quelques notes manuscrites de Ritz et une conversation. Par P. Weiss.

N. N.

VII

L'ASTRONOMIE. ÉVOLUTION DES IDÉES ET DES MÉTHODES, par G. BIGOURDAN, Membre de l'Institut, Astronome à l'Observatoire de Paris. Paris, Ernest Flammarion, 1911. Un vol. in-12 de

vu-399 pages (1).

Le titre de l'ouvrage exprime fort bien le but de l'auteur, qui ne cherche pas à nous donner un traité élémentaire d'astronomie, moins encore un manuel résumant l'histoire de cette science. Le lecteur est supposé posséder ces notions. Il y aurait évidemment quelque ridicule à parler de l'évolution des idées et des méthodes d'une science, à un interlocuteur qui ne connaîtrait pas les premiers principes de cette science; mais à l'occasion de l'évolution des idées et des méthodes en astronomie on pourrait parfaitement se livrer à des recherches et des discussions historiques. M. Bigourdan a préféré agir autrement. Il admet les faits comme prouvés et en tire les conséquences. Astronome de profession, membre de l'Institut, il jouit aussi d'une réputation d'historien d'excellent aloi. Si j'écrivais ici pour les historiens de métier, je le chicanerais cependant sur l'un ou l'autre point de détail; mais ce serait peut-être m'exposer à déprécier, dans l'esprit de quelques lecteurs, un ouvrage somme toute excellent, et dont mes critiques ne modifieraient aucune conclusion importante. Voici le plan suivi :

Livre I. Les origines de l'astronomie. Ch. 1. Les premières observations célestes; Ch. 2. Les planètes et le zodiaque; Ch. 3. L'Astrologie, son influence capitale sur le développement de l'Astronomie; Ch. 4. Les anciennes cosmogonies.

Livre II. La mesure du temps et le calendrier. Chap. 1. Les grandes divisions du temps année, mois, décade et semaine. Ch. 2. Le calendrier; Ch. 3. Histoire de l'heure (du gnomon au chronomètre).

Livre III. Les instruments et les moyens d'observation. Ch. 1. Les instruments primitifs; Ch. 2. Les instruments de la période Alexandrine; Ch. 3. Les instruments du moyen àge et du commencement des temps modernes ; Ch. 4. L'invention et les perfectionnements des lunettes; Ch. 5. Les micromètres;

(1) Ce volume fait partie de la collection intitulée: BIBLIOTHÈQUE DE PHILOSOPHIE SCIENTIFIQUE.

III SÉRIE. T. XX.

40

Ch. 6. Application des lunettes et des micromètres au quart de cercle. Instruments modernes.

Livre IV. La forme et la grandeur de la terre. Ses premières représentations. Ch. 1. La forme et la grandeur de la Terre d'après les anciens; Ch. 2. Les premières mesures de la Terre d'Eratosthène aux Arabes; Ch. 3. Représentation de la Terre. Les premières cartes géographiques; Ch. 4. Le problème des longitudes; Ch. 5. Les premières mesures de la Terre chez les modernes. Les méthodes; Ch. 6. La grandeur et la figure de la Terre au XVIIIe siècle, d'après la méthode géométrique ; Ch. 7. Les mesures géodésiques du XIXe siècle. Méthodes modernes ; Ch. 8. La figure de la Terre, d'après la méthode dynanique; Ch. 9. Mouvements divers de l'axe de la Terre.

Livre V. Astronomie mathématique ou de position. Ch. 1. Apparition de l'Astronomie mathématique en Chaldée. Son avortement; Ch. 2. Naissance de l'Astronomie mathématique en Grèce ; Ch. 3. L'Astronomie mathématique chez les Grecs de la période Alexandrine; Ch. 4. L'Astronomie mathématique au Moyen Age. Astronomie romaine. Astronomie arabe; Ch. 5. Renaissance de l'Astronomie mathématique en Occident, jusqu'à Copernic; Ch. 6. La découverte des lois de Kepler; Ch. 7. Découverte de la gravitation, base de l'Astronomie mathématique moderne; Ch. 8. Les dimensions du système solaire.

L'ouvrage de M. Bigourdan est enrichi de 50 illustrations, dont plusieurs reproduisent des gravures, ou même parfois une page fac-simile, d'ouvrages célèbres: telle la première édition du De Revolutionibus Orbium Coelestium de Copernic, par exemple.

Un bon point enfin, pour la manière toute objective et vraiment impartiale dont, à la page 330, est rappelée la condamnation de Galilée et les polémiques qu'elle souleva.

H. B.

VIII

PETIT TRAITÉ D'ASTRONOMIE PRATIQUE, par le C' CH. HENRIONNET, à l'usage de l'astronome amateur, avec une préface de C. Flammarion. Une broch. in-8° de 49 pages. Paris, Gauthier-Villars, 1911.

Le contenu de cette brochure répond mal à son titre. On y trouvera des conseils et des renseignements pratiques puisés

dans l'expérience personnelle de l'auteur, et destinés à guider les premiers pas de l'astronome amateur. Voici les principaux. « D'abord, il est indispensable d'étudier le ciel, comme les sages antiques l'étudièrent, c'est-à-dire sans livres, sans instruments, de se familiariser avec les astres les plus brillants, d'apprendre à distinguer de suite les constellations qui ne peuvent échapper à l'attention comme les Pléiades, Orion, la Grande Ourse >>. Après quoi on lira les livres de M. Flammarion, « aucun autre ne saurait les égaler pour le penseur, pour le philosophe astronome ». En même temps, on s'armera « d'une jumelle sérieuse, d'une certaine force ». Quant à la lunette astronomique qui suivra... un 108 vaut mieux qu'un 95, un 95 qu'un 81, ... qu'un 57 ». « Le premier soin, dès qu'on a un instrument, c'est d'étudier toutes les fenêtres de son appartement, de connaître sans broncher la direction exacte de chacune d'elles, et cela avec une petite boussole. Puis de rechercher celle qui est le mieux exposée au midi et qui a l'horizon le plus découvert. C'est là qu'on fera les observations les plus intéressantes... » Suivent quelques détails pratiques de l'observateur » et des renseignements utiles sur le parti que l'on peut tirer d'une lunette de 108 mm. d'ouverture. Enfin, si l'on a pris goût « aux choses du ciel », si l'on est « fervent », on lira la brochure de M. E. Amigues, A travers le ciel. Prix 60 centimes. « Ouvrage très simple, très bien conçu et où est mentionné, plutôt sommairement, tout ce qu'un amateur peut espérer saisir de mécanique céleste. »

M. C. Flammarion trouve ce programme admirable et est << particulièrement heureux de présenter ce manuel au lecteur». E. O.

IX

Université de Gand. ANNUAIRE MÉTÉOROLOGIQUE de la Station de géographie mathématique, année météorologique, mars 1910février 1911, publié par les soins de L. N. VANDEVYVER, professeur à l'Université de Gand, Directeur de la Station. - Roulers, J. De Meester, 1911.

Ce volume est le quatrième d'une collection dont nos lecteurs connaissent la valeur et l'intérêt. Il résume, en tableaux et en diagrammes, l'ensemble des observations faites au cours de

l'année météorologique (1 mars 1910-28 février 1911). On y a joint un parallèle entre les résultats obtenus pendant les trois années antérieures et ceux qui sont consignés dans la présente publication.

Deux notices scientifiques terminent le volume.

La première est consacrée à la Mesure de la pression du vent, à l'aide d'un appareil nouveau imaginé par M. Vandevyver. Le principe est celui des anémomètres mesureurs de pression un tube manométrique est orienté, l'ouverture face au vent, par une girouette d'une construction spéciale; mais le mode de transmission des pressions à l'enregistreur, et les précautions prises pour assurer la sensibilité de l'appareil et son fonctionnement régulier en font une application originale qui promet d'excellents résultats. Cet anémomètre a été breveté et est construit en France par la maison Richard, rue Mélingue, 25, Paris. La seconde notice a pour titre Prisme à trois positions pour salle magnétique. Elle décrit une disposition ingénieuse permettant de lire, grâce au jeu d'un prisme à réflexion totale dressé sur un plateau mobile, le déclinomètre, le bifilaire et la balance. magnétique, à l'aide d'une seule lunette et sans que l'observateur ait à se déplacer. On réalise ainsi une économie d'argent et on gagne du temps.

J. T.

X

Où SOMMES-NOUS ? par l'abbé MOREUX, directeur de l'Observatoire de Bourges. Un vol. in-8° de 95 pages.-Paris, 5, rue Bayart.

« Grand roi, cesse de vaincre ou je cesse d'écrire », disait Boileau à Louis XIV. Ce n'était là qu'une boutade de courtisan ; mais elle relevait de cette pensée qu'il est parfois malaisé de suivre à la course une activité qui se développe incessamment ; et tel est un peu, toutes proportions gardées, notre cas vis-à-vis des écrits, d'ailleurs toujours attachants, qui se succèdent sans cesse sous la plume infatigable du savant abbé Moreux.

A peine avions-nous envoyé au présent recueil l'analyse de Quelques heures dans le ciel, que nous recevions une nouvelle publication astronomique illustrée du mème auteur. A la vérité, celui-ci la faisait pressentir à la fin de cette dernière étude,

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