| 1835 - 350 sayfa
...nous les parfums du printemps ; Les vents étaient muets ; la plaine , était déserte ; Nous étions seuls, pensifs , et nous avions quinze ans. Je regardais..., Tant ce qui venait d'elle était plein de pudeur ! Nous nous tûmes long-temps ; ma main touchait la sienne. Je regardais rêver son front triste et... | |
| Alfred de Musset - 1841 - 456 sayfa
...nous les parfums du printemps ; Les vents étaient muets ; la plaine était déserte ; Nous étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pale et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur, et réfléchi... | |
| Alfred de Musset - 1849 - 428 sayfa
...nous les parfums du priirtemps; . Les vents étaient muets, la plaine était déserte; Nous étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais...au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une seour, Tant ce quf-vçnait d'elle était plein de pudeur! Nous nous tûmes longtemps; ma msinjoucnait^a... | |
| Comte Philippe Régis Denis de Keredern Trobriand - 1850 - 398 sayfa
...nous les parfums du printemps ; Les vents étaient muets ; la plaine était déserte ; Nous étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais...l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au inonde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur, Tant ce qui venait d'elle était plein de... | |
| Alfred de Musset - 1857 - 374 sayfa
...dit qu'elle a seize ans. — Elle est Américaine ; Mais, dans ce beau pays dont elle parle à peine, Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Faible et toujours souffrante, ainsi qu'un diadème Elle laisse à demi, sur son front orgueilleux,... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 sayfa
...à nous les parfums du printemps; Les vents étaient muets, la plaine était déserte ; Nous étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais...comme on aime une sœur, Tant ce qui venait d'elle étaii j'.lein de pudeur ! Nous nous tûmes longtemps ; ma main touchait la sienne, Je regardais rêver... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 376 sayfa
...dit qu'elle a seize ans. — Elle est Américaine ; Mais, dans ce beau pays dont elle parle à peine, Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé ld profondeur et réfléchi l'azur. Faible et toujours souffrante, ainsi qu'un diadème Elle laisse... | |
| Alfred de Musset - 1866 - 394 sayfa
...à nous les parfums du printemps; Les vents étaient muets, la plaine était déserte ; Nous étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais...Tant ce qui venait d'elle était plein de pudeur! Nous nous tûmes longtemps ; ma main touchait la sienne, Je regardais rêver son front triste et charmant,... | |
| Alfred de Musset, Paul de Musset - 1866 - 396 sayfa
...dit qu'elle a seize ans. — Elle est Américaine; Mais, dans ce beau pays dont elle parle à peine, Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Faible et toujours souffrante, ainsi qu'un diadème, Elle laisse à demi, sur son front orgueilleux,... | |
| Alfred de Musset - 1867 - 316 sayfa
...nous les parfums du printemps ; Les vents étaient muets, la plaine était déserte ; Nous étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais...l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au moiul-. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur, Tant ce qui venait d'elle était plein de... | |
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