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spiritual points, neither will his Majesty suffer any interference in resolutions which are, or will incontestably be found to belong exclusively to the supreme power of sovereigns, which power comprises, without any exception, whatever is of human institution in the Christian Church, and has been introduced in the same by the express or tacit concession of the supreme power, whose concessions of that kind, like all other laws and grants, can, and indeed ought, to be modified by the legislative power, and even entirely abolished, as often as reasons of state, abuses, or any circumstances of the times, may require their modification or abolition.

3. Ad tertium. His Imperial Majesty flatters himself that, after mature reflection, the said Nuncio will say to himself whatever could be observed on this article.

4. His Majesty promises himself as much with regard to the fourth article; but finds himself under the necessity of making this additional observation, that his Majesty being incapable of commanding any of his subjects to do any thing that might be found fundamentally contrary to their conscience, his Majesty will know how to make himself obeyed by all, leaving, however, full liberty to all who may fancy that they cannot yield obedience to his Majesty consistently with their conscience, to remove out of the dominions of his Imperial Majesty, whithersoever they choose.

APPENDIX N.

Allocuzione di Gregorio P. P. XVI. al Sagro Collegio nel Concistoro segreto del 22 Luglio, 1842. Seguita di Documenti. Roma, 1842. Numero lxxi. pp. 149, 150.

Risposta data dal S. Padre il 7 Aprile, 1841, in cui annunziando la sua adhesione a due domande Imperiali esprime i motivi che ve l'hanno indotto, e torna a raccommandare in modo particolare i Greci-uniti.

Magna cum animi voluptate parique observantia accepimus litteras ab Imperiali et Regia Majestate Tua ad nos miesas

die 3 Decembris superioris anni per alterum ex Imperii Consiliariis, quem immatura morte in hac urbe sublatum nuper indoluimus. Cumque una simul allata fuerit epistola, qua Ven. Fr. Ignatius Ludovicus tunc episcopus Megarensis doctrinæ suæ integritatem, præcipuamque Nobis et Apostolicæ Sedi devotionem profitebatur, nil amplius distulimus, quin ipsum ad metropolitanam ecclesiam Mohiloviensem promovendum decerneremus: quod reapse in subsequuto mox con-sistorio calendis Martii perfectum est. Modo vero scripsimus ad Ven. Fr. Joannem Marcellum episcopum Podlachiensem, hortantes nimirum ac suadentes, ut ecclesiam suam sponte dimittat. Ita porro consentaneus ex parte nostra respondit exitus votis Majestatis Tuæ peculiari semel atque iterum missione patefactis. Hinc autem jure confidimus fore, ut vota item nostra pro Catholicis Imperiali ac Regiæ Tuæ dominationi permagno numero subjectis eum consequantur effectum, de quo data ipso Tuo nomine fides dubitare non sinit. Et sane cogimur hoc loco, Serenissime ac Potentissime Imperator et Rex, hærentem cordi nostro amaritudinem angoresque gravissimos, quibus indesinenter hujusmodi de causa divexamur, Majestati Tuæ aperte significare. Licet in ea conditione molestissime simus, ut nec aliquem istic habeamus qui nostram Sanctæque hujus Sedis personam gerat, nec facultas detur cum Episcopis vastissimæ ditionis Tuæ circa Ecclesiæ negotia libere communicandi, minime tamen nos latet quot quantisque ibidem malis Catholica religio jamdudum prematur. Id quidem pro ea, quam gloriæ Tibi ducis, æquitate animique magnitudine voluntati Tuæ prorsus alienum arbitramur. Attamen, ne singula percenseamus, id unum dicimus, Potentissime Imperator, quod aliunde exploratum satis est, talem nempe in variis dissitisque Imperii ac Regni provinciis agendi rationem adhiberi consuevisse, quæ certe Catholicæ Ecclesiæ incolumitati ac commodis plurimum adversatur. Hæc profecto ratio ut expectatum tamdiu nobis finem quantocius habeat, vel unico suprema auctoritatis Tuæ nutu vales efficere. Atque huc omnino spectant curæ, postulationes, precesque etiam nostræ, quibus apostolici ministerii solicitudine impulsi apud Imperialem et Regiam Majestatem Tuam majorem in modum vehementer instamus. Præ ceteris autem miserrimos Græci

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ritus Catholicos justitiæ ac clementiæ Tuæ studiosissime commendamus. Movet enim nos planeque conturbat asperrima eorum conditio unde in proximum discrimen adductam sentiunt suam in Catholica unitate constantiam. Illud tantummodo, Serenissime Imperator ac Rex, efflagitamus, ut libera ipsis et integra stet ejus fidei professio, in qua nati sunt atque instituti; cuique hactenus adhæserunt absque ullo detrimento externæ tranquillitatis et concordiæ, quæ ad Imperii bonum maxime confert. Merito proinde ab excelsa benignitate Tua validissimum præstolantur præsidium, quo ab tanta calamitate liberentur. Hanc et nos fiduciam de re, quæ in primis animum nostrum urget, ultro foventes, sane non prætermittimus multas Majestati Tuæ habere gratias pro desponso nobis studio, quod utique maximi facimus, ad temporalium nostrarum ditionum integritatem tutandam. Quod superest, Deum suppliciter obsecramus, ut Te, Potentissime Imperator et Rex, amplioribus augeat largitatis suæ donis, perfectaque nobiscum caritate conjungat.

Datum Romæ apud S. Petrum, etc.

APPENDIX O.

Extract from Le Moniteur Belge, Journal Officiel de Samedi, 16 Novembre, 1850.

Speech of the Minister of Foreign Affairs in the Séance de la Chambre des Représentans, du 15 Novembre 1850.

Messieurs, l'honorable M. de Perceval m'a adressé une interpellation pour savoir quelle a été l'attitude du gouvernement à la suite de l'allocution prononcée par le Saint-Père le 20 Mai dernier. Je crois ne pouvoir mieux répondre à la demande de l'honorable préopinant qu'en donnant lecture à la chambre de la dépêche qui a été adressé le 14 Juin dernier à notre chargé d'affaires à Rome avec invitation d'en remettre la copie au cardinal prosecrétaire d'Etat, suivant les usages diplomatiques.

Le gouvernement ne pouvait accepter l'appréciation qui avait été faite dans l'allocution, de l'état des choses en Belgique, appréciation si peu conforme à la réalité. Il a cru de son devoir de protester immédiatement.

Voici le texte de la dépêche qui a été adressée à notre chargé d'affaires :

"Bruxelles, le 14 Juin, 1850.

"Monsieur le Chargé d'Affaires,

"Le journal Français, l'Univers, publie, et plusieurs de nos journaux reproduisent l'allocution prononcée par notre SaintPère dans le consistoire secret du 20 Mai, 1850, allocution dont le texte Latin vient de me parvenir avec votre lettre du 25, numéro d'ordre 72.

"Ce document a naturellement appelé l'attention du gouvernement du Roi ; j'ajouterai qu'il a excité à un haut degré sa surprise.

"Assurément, il n'entre pas dans ma pensée d'ouvrir une controverse qui serait presque impossible, aucun fait précis n'étant articulé. Je dirai plus: Si les paroles du Souverain Pontife ne devaient être entendues que de la Belgique, le gouvernement pourrait se référer à ce qui est ici de notoriété publique; mais ces paroles sont destinées à avoir un grand retentissement dans beaucoup de pays où la situation de la Belgique n'est peut-être pas suffisamment connue; dès lors, il n'est pas permis au gouvernement Belge de garder le silence; et une explication est devenue nécessaire.

"Voici ce qu'on lit dans l'allocution de Sa Sainteté :

"Nous ne pouvons maintenant nous défendre dans notre solicitude paternelle envers l'illustre nation des Belges, qui s'est toujours fait remarquer par son zèle pour la religion Catholique, de témoigner publiquement notre douleur à la vue des périls qui menacent chez elle la religion Catholique, Nous avons la confiance que son Roi sérénissime, et tous ceux qui, dans ce royaume, tiennent le timon des affaires, réfléchiront dans leur sagesse combien l'Eglise Catholique et sa doctrine servent à la tranquillité et à la prospérité temporelle des peuples; qu'ils voudront conserver dans son intégrité

la force salutaire de cette même Eglise et considérer comme leur tâche la plus importante celle de protéger et de défendre les saints prélats et les ministres de l'Eglise.""

"La nature des allégations dirigées contre la Belgique, allégations tout à la fois si graves et si vagues, peut nous autoriser à n'y voir qu'une première impression, et non pas une opinion définitive. Cette impression, on peut l'expliquer par le langage et l'attitude de la presse et d'une partie des orateurs de l'opposition en Belgique; mais elle ne saurait résister à un examen quelque peu sérieux.

"On parle des périls qui menacent parmi nous la Religion Catholique; on espère que le Roi et son gouvernement s'appliqueront à protéger et défendre les saints prélats et les ministres de l'Eglise. Mais ces périls, où sont-ils ? Comment et par qui la religion Catholique est-elle menacée? Comment, pourquoi et contre qui y a-t-il lieu de défendre et de protéger les saints prélats et les ministres de l'Eglise? La Belgique a-t-elle cessé d'offrir l'exemple d'un peuple chez lequel la Religion ne rencontre que des sympathies et du respect? A-t-elle cessé d'assurer à l'Eglise ces libertés et au clergé ces garanties morales et matérielles, que ne leur donne assurément au même dégré aucune des autres nations dont il est parlé avec tant d'éloges dans l'allocution pontificale? La discussion récente de la loi sur l'enseignement moyen, n'a-t-elle pas prouvé combien le gouvernement a sincèrement à cœur les intérêts de la religion, la dignité et l'autorité morale de ses ministres ?

"Les chambres, à leur tour, ne se sont-elles pas montrées animées des mêmes sentiments? N'ont-elles pas voté à une imposante majorité cette loi toute constitutionnelle ?

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Qu'on ne perde pas de vue que celle-ci a uniquement pour but de régler l'instruction publique donnée aux frais de l'Etat; et que tous les établissements privés, laïques ou religieux, restent complétement libres et en dehors de son action. Loin d'exclure ou de restreindre l'enseignement religieux dans les établissements publics, elle doit avoir, au contraire, pour effet d'en assurer et d'en étendre, en ce qui les concerne, la bienfaisante influence.

“Dans la situation actuelle des choses, les établissements

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