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XXIII. Contre ceux qui prétendent que ni les supplices du diable, ni ceux des hommes pervers ne seront éternels. XXIV. Contre ceux qui pensent qu'au jour du jugement Dieu pardonnera à tous les méchants sur l'intercession des

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saints. XXV. Si ceux d'entre les hérétiques qui ont été baptisés, et qui sont devenus mauvais par la suite en vivant dans le désordre, et ceux qui, régénérés par la foi catholique, ont passé ensuite à l'hérésie et au schisme, et entin ceux qui, sans renier la foi catholique, ont persisté dans le désordre, si tous ceux-là pourront échapper au supplice éternel par l'effet des sacrements. 240 XXVI. Ce qu'il faut entendre par ces paroles : Être sauvé comme par le feu et avoir Jésus-Christ pour fonde

ment.

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XXVII. Contre ceux qui croient qu'ils ne seront pas damnés, quoiqu'ayant persévéré dans le péché, parce qu'ils ont pratiqué l'aumône.

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LIVRE XXII.

(HAP. I. De la condition des anges et des hommes.

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11. De l'éternelle et immuable volonté de Dieu.
III. De la promesse d'une béatitude éternelle pour les saints
et d'un supplice éternel pour les impies.
IV. Contre les sages du monde qui pensent que les corps
terrestres des hommes ne pourront être transportés
dans le ciel.

267 V. De la résurrection des corps, que certains esprits ne veulent pas admettre, bien que proclamée par le monde entier.

269 VI. Que Rome a fait un dien de Romulus, parce qu'elle aimait en lui son fondateur; au lieu que l'Église a 272 aimé Jésus-Christ, parce qu'elle l'a cru Dieu. VII. Que si le monde a cru en Jésus-Christ, c'est l'ouvrage d'une vertu divine, et non d'une persuasion humaine.

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VIII. Des miracles qui ont été faits pour que le monde crût en Jésus-Christ et qui n'ont pas cessé depuis qu'il y eroit.

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IX. Que tous les miracles opérés par les martyrs au nom de Jésus-Christ sont autant de témoignages de la foi qu'ils ont eue en Jésus-Christ.

299 X. Combien sont plus dignes d'être honorés les martyrs, qui opèrent de tels miracles pour que l'on adore Dieu, que les démons qui ne font certains prodiges que pour se faire eux-mêmes adorer comme des dieux. 300 XI. Contre les platoniciens qui prétendent prouver par le poids des éléments qu'un corps terrestre ne peut demeurer dans le ciel.

303 XII. Contre les calomnies et les railleries des infidèles an sujet de la résurrection des corps. 307 XIII. Si les enfants avortés, étant compris au nombre des morts, ne le seront pas au nombre des ressuscités. 310 XIV. Si les enfants ressusciteront avec le même corps qu'ils avaient à l'âge où ils sont morts.

311 XV. Si la taille de Jésus-Christ sera le modèle de la taille de tous les hommes, lors de la résurrection. 312 XVI. Comment il faut entendre que les saints seront rendus 313

conformes à l'image du Fils de Dieu.

XVII. Si les femmes, en ressuscitant, garderont leur sexe. 314 XVIII. De l'homme parfait, c'est-à-dire de Jésus-Christ, et de son corps, c'est-à-dire de l'Église, qui en est la plé

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nitude. XIX. Que tous les défauts corporels, qui, pendant cette vie, sont contraires à la beauté de l'homme, disparaîtront à la résurrection, la substance naturelle du corps terrestre devant seule subsister, mais avec d'autres proportions d'une justesse accomplie. 319

XX. Qu'au jour de la résurrection, la substance de notre corps, de quelque manière qu'elle ait été dissipée, sera réunie intégralement.

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XXI. Du corps spirituel en qui sera renouvelée et transformée la chair des bienheureux. 325 XXII. Des misères et des maux de cette vie, qui sont des peines du péché du premier homme, et dont on ne peut être délivré que par la gràce de Jésus-Christ. XXIII. Des misères de cette vie qui sont propres aux bons indépendamment de celles qui leur sont communes avec

les méchants.

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XXIV. Des biens dont le Créateur a rempli cette vie, tout exposée qu'elle soit à la damnation. XXV. De l'obstination de quelques incrédules qui ne veulent

pas croire à la résurrection de la chair, admise aujourd'hui, selon les prédictions des livres saints, par le

monde entier.

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XXVI. Opinion de Porphyre sur le souverain bien. XXVII. Des opinions contraires de Platon et de Porphyre, lesquelles les eussent conduits à la vérité, si chacun d'eux 348 avait voulu céder quelque chose à l'autre.

XXVIII. Comment Platon, Labéon et même Varron auraient pu voir la vérité de la résurrection de la chair, s'ils avaient réuni leurs opinions en une seule.

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XXIX. De la nature de la vision par laquelle les saints connaîfront Dieu dans la vie future.

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XXX. De l'éternelle félicité de la Cité de Dieu et du sabbat

éternel.

FIN DE LA TABLE DES CHAPITRES.

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Imprimerie de Gustave GRATIOT, rue Mazarine, 30.