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ekrnales, i Lark Lutz is de vcsikrer ce que devar de la EN DUS fi, saber. On ne doit point COOL IN SCO UNS 170e etike an prochain, ni s'aNandouer à Tatac je tele sorte foon en oublie hitra. Tus je repos, ce ne doit pas aimer Toste, zais s'occuper à la recherche du vrai, afin de prodKI SHIVER de cette connaissance et Je ne la pus MT KA ERres; et, dans faction, il

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ye kut cela n'est que vizite, mais le travail qui

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l'accompagne, lorsqu'il contribue au salut de ceux qui nous sont soumis. C'est ce qui a fait dire à l'Apôtre que « Celui qui désire l'épiscopat désire une bonne œuvre (1 Tim., шII, 1). » L'épiscopat est en effet un nom de charge, et non pas de dignité, comme l'indique l'étymologie'. Il consiste à veiller sur ses subordonnés et à en avoir soin, de sorte que celui-là n'est pas évêque qui aime à gouverner, sans se soucier d'être utile à ceux qu'il gouverne. Tout le monde peut s'appliquer à la recherche de la vérité, en quoi consiste le repos louable de la vie contemplative; mais, pour les fonctions de l'Église, quand on serait capable de les remplir, il est toujours honteux de les désirer. Il ne faut qu'aimer la vérité pour embrasser le saint repos de la contemplation; mais ce doit être la charité et la nécessité qui nous engagent dans l'action, en sorte que, si personne ne nous impose ce fardeau, il faut vaquer à la recherche et à la contemplation de la vérité, et si on nous l'impose, il faut s'y soumettre par charité et par nécessité. Et alors même il ne faut pas abandonner tout à fait les douceurs de la contemplation, de peur que, privés de cet appui, nous ne succombions sous le fardeau du gouvernement.

1 Episcopus, d'izimas, formé d'iamzaion, veiller sur.
* Comp. saint Augustin, Epist., XLVIII, n. 2.

CHAPITRE XX.

Les membres de la Cité de Dieu ne sont heureux ici-bas qu'en espérance.

Puis donc que le souverain bien de la Cité de Dieu consiste dans la paix, non cette paix que traver sent les mortels entre la naissance et la mort, mais celle où ils demeurent, devenus immortels et à l'abri de tout mal, qui peut nier que cette vie future ne soit très-heureuse, et que celle que nous menons ici-bas, quelques biens temporels qui l'accompagnent, ne soit en comparaison três-misérable? Et cependant, quiconque s'y conduit de telle sorte qu'il en rap porte l'usage à celle qu'il aime avec ardeur et qu'l espère avec fermeté, on peut avec raison l'appeler heureux, même dès ce monde, plutôt, il est vrai, parce qu'il espère l'autre vie que parce qu'il possede celle-ci. La possession de ce qu'il y a de meilleur en cette vie, sans l'espérance de l'autre, est au fond une fausse beatitude et une grande misère. En effet, on n'y jouit pas des vrais biens de l'âme, puisque cette Sagesse n'est pas véritable, qui, dans les choses mêmes qu'elle discerne avec prudence, qu'elle accomplit avec force, qu'elle réprime avec tempérance et qu'elle ordonne avec justice, ne se propose pas la fin suprême où Dieu sera tout en tous par une éternité certaine et par une parfaite paix.

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APITRE IL

Dien se s

espérance

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CHAPITRE XXI.

Que, d'après les définitions aimises dans la République dé
Cicéron, il n'y a jamais eu đẻ républiqué parmi les
Romains.

Il s'agit maintenant de m'acquitter en peu de
mots de la promesse que j'ai faite au second livre de
cet ouvrage et de montrer que, selon les définitions
dont Scipion se sert dans la République de Cicéron,
il n'y a jamais eu de république parmi les Romains.
Il définit en deux mots la république : la chose du
peuple. Si cette définition est vraie, il n'y a jamais
eu de république romaine; car jamais le gouverne-
ment de Rome n'a été la chose du peuple. Comment,
en effet, Scipion a-t-il défini le peuple? & C'est, dit-il,
une société fondée sur des droits reconnus et sur la
communauté des intérêts.» Or, il explique ensuite
ce qu'il entend par ces droits, lorsqu'il dit qu'une
république ne peut être gouvernée sans justice. Là
donc où il n'y a point de justice, il n'y a point de
droit. Comme on fait justement ce qu'on a droit de
faire, il est impossible qu'on ne soit pas injuste
quand on agit sans droit. En effet, il ne faut pas ap-
peler droits les établissements injustes des hommes,
puisqu'eux-mêmes ne nomment droit que ce qui
vient de la source de la justice, et rejettent comme
fausse cette maxime de quelques-uns, que le droit
du plus fort consiste dans ce qui lui est utile 2. Ainsi,

! Chap. 21.

2 C'est la doctrine et ce sont les expressions du sophiste Thrasymaque dans le premier livre de la République de Platon.

LA CIE DE DIET.

n'y a point de vraie justice, il ne peut y ami je soorte kaže sr des droits reconnus et sur la evozzzane des intérêts, et par conséquent il ne peut y avoir de pere. Sil n'y a point de peuple. *ny a poczt aussi de chose du peuple; il ne reste.

petpie, qu'une multitude telle quelle Şu Drtie pas ce nom. Puis done que la repa

boque est a chose Ja peuple, et qu'il n'y a point de penge, si n'est associé pour se gouverner par k St. Ne d'alleurs il n'y a point de droit où il RVA POZ. Justice, L. s'ensuit nécessairement qu'i yapet e pastice, il n'y a point de république. Conserves maintenant la definition de la justice: c'est ce verta qui fait rendre à chacun ce qui lui Appartevel. Or, quelle est cette justice qui ôte l'homme à Depot & soumettre à d'infames démons? Est-ce la rendre à chacun ce qui lui appartient? Un homme qu de un bois de terre à celui qui l'a acheté, pour Je Jonner a ce n'y a point de droit, est injuste euben se soustrait soi-même à Dieu, son souverain Signeur et Créateur, pour servir les ma

hus esprits, serait juste!

Dans cette même Republique, on soutient forte ment le parti de la justice contre l'injustice; et dit que sans elle une république ne pouvait ni croitre comme en parlant d'abord pour l'injustice, on avait ni s'établir, puisqu'il est injuste que des hommes soient assujettis à d'autres hommes, on répond, au nom de la justice, que cela est juste, parce que la servitude est avantageuse à ceux qui la subissent, quand les autres n'en abusent pas, en ce qu'elle leur éte la puissance de mal faire. Pour appuyer cette rai

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