cviij. cix. 2. CX. 3. Ce prince s'empare des villes de la Phocide, les détruit, et force leurs 346. Timoléon chasse de Syracuse le jeune Denys, et l'envoie à Corinthe . . .343. 3. Naissance d’Épicure , le 7 gamélion (12 janvier). 342. Naissance de Ménandre vers le même temps. 341. 338. Mort d'Isocrate, âgé de cent deux ans. 4. Timoléon meurt à Syracuse . 337. Mort de Philippe, roi de Macédoine 336. 2. Sac de Thèbes. 335. Passage d'Alexandre en Asie. Combat du Granique. 4. Bataille d'Issus . 333 Prise de Tyr . 332. Fondation d’Alexandrie. 2. Éclipse totale de lune, le 20 septembre, à 7 heures du soir.. 331. Bataille de Gaugamèle ou d'Arbeles, le 26 boédromion (3 octobre). 330. cxj. 1. . cxij. 1. cxij. . cxiij. 1. 2. cxiv. 1. 2. 3 Commencement de la période de Ca lippe, le 25 posidéon (20 décembre). 530. Philémon commence à donner ses comédies. 328. Défaite de Porus par Alexandre . 327. Mort d'Alexandre à Babylone, agé de trente-trois ans huit mois, le 29 324. Le même jour, Diogène le cynique meurt à Corinthe, âgé de quatre vingt-dix ans. Guerre lamiaque: Antipater est défait. 323. Aristote, après avoir enseigné treize ans au Lycée, s'enfuit à Chalcis, et y meurt. niens reçoivent la loi du vainqueur. 322. Demosthène, réfugié dans l'île de Ca laurie, est forcé de se donner la FIN DE LA PREMIÈRE TABLE. MOIS ATTIQUES. Depuis Théodore Gaza, savant Grec de Thessalonique, mort à Rome en 1478 , jusqu'à Édouard Corsini, le plus habile chronologiste de notre siècle, on n'a cessé de bouleverser l'ordre des anciens mois de l'année attique. L'abbé Barthelemy seul, écartant toute idée systématique, a rétabli cet ordre, par rapport au quatrième et cinquième mois, et a mis les autres dans leur véritable place. Il en donne des preuves convaincantes dans ses notes sur le marbre de Choiseul". Ce qui nous a paru remarquable, et bien propre à confirmer son opinion, c'est l'accord parfait qui se trouve là - dessus entre lui et un écrivain grec anonyme. A la vérité, celui-ci ne vivait qu'au temps de la prise de Constantinople par Mahomet II; mais il cite des auteurs plus anciens , d'après lesquels il rapporte la suite des mois attiques dans le même ordre qu'adopte l'abbé Barthelemy. L'écrit de cet anonyme est resté manuscrit, et se trouve dans la bibliothèque du roi, Manus. cod. gr. in-8°, coté n.° 1630. Rien ensuite n'était plus difficile que de fixer le jour de chaque fête. Appollonius et plusieurs anciens grammairiens avaient fait des ouvrages sur ce sujet; malheureusement ils ont tous péri , et on est réduit à un petit nombre de passages d'auteurs de l'antiquité, qui, la a Dissertation sur une ancienne inscription grecque. Paris, 1792 , plupart, ne sont ni clairs ni bien décisifs. Quoique Corsini s'en soit servi avec succès, il n'a pourtant pas réussi à déterminer le jour d'un grand nombre de fêtes dont le nom nous est parvenu. Nous avons été plus loin, en faisant usage d'un fragment de calendrier rustique, conservé parmi les marbres d'Oxford, que ce savant avait négligé, et d'après quelques nouvelles observations. page 88. Le rapport de l'année des Athéniens avec notre année solaire ne devait pas entrer dans notre travail. On observera seulement que ce peuple, pour faire correspondre ces deux années, a employé plusieurs cycles. Au temps de Solon, il y en avait un de quatre ans. Cléostrate et Harpalus en imaginèrent d'autres. Ce dernier fit adopter son Heccædécaétéride, ou période de seize ans, qui précéda l'Ennéadécaétéride , ou période de dixneuf ans, de Méton. Celle-ci fut réformée par Calippe , vers la mort d'Alexandre. L'année était d'abord purement lunaire, c'est-à-dire, de trois cent cinquante-quatre jours; ensuite civile et lunaire, de trois cent soixante. Elle commençait, avant Méton, au solstice d'hiver, et après lui, au solstice d'été. Afin de rendre plus sensible ce qui résulte d'un pareil changement dans la correspondance des mois attiques avec les nôtres, on a ajouté deux Tableaux qui y sont relatifs. Sans doute que cette matière aurait encore besoin de grands éclairsissemens ; mais ils nous entraîneraient trop loin; et nous renvoyons aux ouvrages des différens chronologistes, entre autres à celui de Dodwell, De veteribus Græcorum Romanorumque cyclis. N. B. Dans cette II.e Table, on a ajouté les jours de séance de l'Areopage, d'après Julius Pollux; et on a rejeté au bas des pages les fêtes dont le jour ne peut être fixé. 2 Myyos iscepévr. Mois commençant.. 1 Néoménie, et sacrifice à Hécate. Eisiteries, sacrifice et repas en commun, des ma- l'honneur du tuteur de Thésée. 10 11 Première Ecclésie, ou assemblée générale. 12 Cronies en l'honneur de Saturne. 13 . Μηνός μεσάτος. Milieu du Mois. 14 Les petites Panathénées annuelles, consa- la réunion des bourgs de l'Attique. gers. 21 Μηνός. φθίνονθος. Mois finissant. 26 27 en l'honneur de Minerve. Hécatombées, en l'honneur de Junon. |