Se met à la solde d'Artabaze. Ibid. 82 et suiv. font la paix. Ibid. 83. Est employé contre Philippe , et battu à Chéronée. VII, 84 et suiv. CHARiDÈME, général athénien envoyé au secours d'Olynthe : sa con duite. V, 132. Charilaüs , roi de Lacédémone. IV, 195. CHARONDAS, législateur de divers peuples de Sicile. V, 277. Belles maximes mises à la tête de son code. Ibid. 279. Chars. Leur usage défendu dans les états de Philippe ; pourquoi. Ibid. 197. (Voy. Course. ) Chasses. Détails sur les différentes chasses en Élide. IV, 3–8. Moyens imaginés par différens peuples pour prendre les animaux féroces. Ibid. 7 et 82. Curfs et soldats étrangers dans les armées athéniennes. II, 181. CHEMIN DE L'ÉCHELLE , route taillée sur une montagne d'Arcadie, près de Mantinée et qui conduisait de l'Arcadie dans l'Argolide ( Kaki-Scala). IV, 288. CHÊNe, son fruit était la nourriture des anciens habitans de l'Attique. I, 5. CHÉRÉMON, poëte dramatique, introduisit toutes les espèces de vers dans une de ses tragédies. VII, 40. Caéronée , ville de Béotie, célèbre par la bataille qu'y gagna Philippe. VII, 87. ( Atlas , pl. 25.) Et par le culte qu'on y rend au sceptre de Vulcain. III, 273. ( Capræna, bourg. ) CHERsoNÈSE TAURIQUB, aujourd'hui Crimée, presqu'ile entre le Palus Méotide et le Pont-Euxin. Sa fertilité, son commerce. II, 6. CHERSONÈSE DE THRACE (Atlas, pl. 9,) presqu'île entre la Propontide et la mer Égée ( presqu'ile de Gallipoli). Sa possession assure aux Athéniens la navigation de l'Hellespont. V, 170. Chevaux destinés à la course dans les jeux publics. III, 448 et 476. Chiens : il était défendu d'en avoir dans l'ile de Délos : pour quoi. IV, 81. Ceux de Laconie recherchés pour la chasse. IV, 5 et 81. Chilon de Lacédémone, un des sages de la Grèce. I, 98. Expira de joie en embrassant son fils vainqueur aux jeux olympi-, ques. III, 472. Cuio ou Chios, ile de la mer Égée, faisant partie de l'Ionie. Idée de cette île. VI, 174. (Atlas , pl. 38.) Produit des vins excellens. (Voy. Arvisia.) Ses habitans prétendent qu'Homère y est né. Ibid. 175. Leur puissance , leurs richesses , leur devinrent funestes Ibid. 176. Cairon ( le centaure), médecin célèbre de Thessalie. III, 331. Avait établi sa demeure dans un antre du Pélion , où ses descendans, possesseurs de ses secrets, traitaient gratuitement les malades. Ibid. 331-332. IV, 320. CHirurgie; partie essentielle de la médecine, et la seule qui, suivant les apparences, fût connue dans les temps éloignés. IV, 320. Du temps d'Hippocrate , ses opérations faisaient partie de la méde cine. VI, 245. CHæritus , poëte contemporain et rival d'Eschyle. Ibid. 21 et 62. Contribue à perfectionner les masques introduits par Eschyle. Ibid. 83. Choeur. (Voy. Théâtre.) Cuorége, chef des jeux scéniques à Athènes ; ses fonctions. II, 433. CURONOLOGIE. Incertitude de l'ancienne chronologie des Grecs. V, 392–393. (Voy. Olympiades.) Carisis , prêtresse de Junon à Argos. Sa négligence occasionne l'in cendie de l'ancien temple. IV, 306. CHRYSOPOLIS , petite ville d'Asie sur le Bosphore de Thrace, en face de Byzance (Scutari, petite ville). II, 38. CHRYSORRHOAS , rivière de l'Argolide, près de Trézène ( Rivière de Damala ). IV, 318. Chypre ou Cypre, île de la mer de Libye. I, 161. Cierges : de quoi ils étaient faits. II, 152. Les Athéniens entouraient les corps de cierges allumés dans la céré monie des funérailles. Ibid. Cigognes , respectées en Thessalie, qu'elles avaient délivrée des ser pens qui l'infestaient. III, 320. Cilicie, contrée de l'Asie-mineure (pays d'Itch-ül et d’Aladeuli). VI, 173. Ses exploits. Ibid. 255. Ibid. 1 Force Artaxerxès à demander la paix en suppliant. Ibid. 262. Meurt en Chypre. Ibid. 262. II, 376. Ibid. et comment. Ibid. 405. Mégaride. III, 280. et d'une mère qui fussent citoyens. II, 105. d'une suite d'aïeux qui eux-mêmes l'avaient été. V, 255. A quelâge à Athènes l'on jouissait des droits de citoyen. III, 58-59. Suivant Aristote, il ne faudrait accorder cette prérogative qu'à celui qui, libre de tout autre soin , serait uniquement consacré au service de la patrie; d'où il suivrait que le nom de citoyen ne conviendrait qu'imparfaitement aux enfans et aux vieillards décrépits, et nullement à ceux qui exercent des arts mécaniques. V, 256. Quelle espèce d'égalité doit régner entre les citoyens. On en n’admet aucune dans l'oligarchie; celle qu'on affecte dans la démocratie détruit toute subordination. V, 257. Des législateurs voulurent établir l'égalité des fortunes, et ne purent réussir. Ibid. 259. La liberté du citoyen ne consiste pas à faire tout ce qu'on veut, mais à n'ètre obligé de faire que ce qu'ordonnent les lois. Ibid. 358. CLAZOMÈNES , île de la mer Égée dans la rade de Smyrne (ile Saint-Jean et ruines dans le golfe de Smyrne); tire un grand profit de ses huiles. VI, 189. i CLEOMBROTE , roi de Sparte, vaincu et tué à Leuctres. II, 26–27. Comment on reçut la nouvelle de sa défaite à Sparte. Ibid. 28. Ibid. 131. Trait de sa légèreté. II, 263. Il perd la vie en Thracc. I, 308. du visage. III, 404. CLÉOSTRATE , de Ténédos , astronome. III, 192. CLEPSYDRE. Instrument qui réglait la durée des discours oratoires, et peut-être celle des tragédies. VI, 63. CLISTHÈNE, roi de Sicyone , adoré pour ses vertus, et redouté par son courage. III, 396. Vainqueur aux Jeux olympiques, y proclame un concours pour le mariage de sa fille. III, 397. CLISTHÈNB , d'Athènes , force Hippias d’abdiquer la tyrannie. I, 134. Raffermit la constitution établie par Solon. Ibid. 135. Ibid. 142. leurs sources ( Calivia de Carnese, village et ruines). IV, 281. CLONAS, poëte élégiaque. VII, 45. Cnide, ville grecque de l'Asie mineure dans la Doride (Porto. Genovèse et ruines), patrie de Ctésias et d'Eudoxe. VI, 195. le temple de la statue de Vénus, et par le bois sacré qui est auprès de ce temple. Ibid. 196. CROSSE , ville et port de l'île de Crète (Enadieh, couvent et ruines). Rivale de Gortyne; divers résultats de cette rivalité. Ibid. 227. VI, 216. Patrie d'Epimenide. I, 96. Cocyte, fleuve de l'Épire. III, 347. (Rivière qui se jette dans le port Glykis.) Se dévoue à la mort pour le salut de la patrie. Ibid. 49 et 71. Célèbre par COLCHIDB (la), ou Corchos, grande contrée de l'Asie , à l'est du Pont Euxin, célèbre par le voyage des Argonautes (la Mingrélie, le Guriel, et l'Imirette). II, 8. vie. VI, 27 descendre des Athéniens : pourquoi. (Coron, ville.) IV, 24. Colonies grecques , établies jusque dans les mers les plus éloignées ; quels furent les motifs de ces émigrations ; quels étaient les 394. VII, table iv. cantons connus sous les noms d’Éolide, d'Ionie de Doride. I, 72. VI, 176. partie de ces colonies. VI, 179. De Corinthe. III, 394. III , 438. possessions particulières qui étaient grevées d'hypothèques. V, 1. lesquelles étaient inscrits les noms des malades, leurs maladies , et les moyens de leurs guérisons. IV, 323. COLONNBS D'HERCULE, ou DÉTROIT DE CADIR, ou plutôt GADIR, qui sépare l'Europe de l'Afrique ou Libye ( détroit de Gibraltar), terme de la navigation des Grecs du côté de l'ouest. III, 208. Colophon, ville d'Ionie dans l'Asie mineure (il n'en existe plus rien), patrie de Xénophane. VI, 195. COLOTÈs , disciple de Pbidias. III, 429. COMBATS SINGULIERS , avaient souvent lieu entre les Grecs et les Troyens; mais la fuite n'était pas honteuse lorsque les forces n'étaient pas égales. I, 42 et 43. COMBATS gymniques des Athéniens. II, 433. Scéniques. Ibid. |