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Trois prêtresses annoncent ses décisions. Ibid. 353.

Comment les dieux leur dévoilent leurs secrets. Ibid. 354.

On consulte aussi l'oracle de Dodone par le moyen des sorts. Ibid. 355.

Réponse de cet oracle, conservée par les Athéniens. Ibid. 356. Encens que l'on brûle au temple de Dodone. Ibid.

Les premiers Grecs n'avaient pas d'autre oracle. I, 6—7. DOMICILIES à Athènes. Ce que c'est. II, 103.

DORCIS, général de Sparte. Les alliés refusent de lui obéir. I, 250. IV, 476.

DORIDE, canton de la Carie ( Atlas, pl. 21) dans l'Asie mineure, qui comprenait aussi plusieurs ìles de la mer Égée (la presqu'ile située entre le golfe de Stan-Co et celui de Simia).

DORIENS DE GRÈCE. On comprenait sous ce nom toutes les nations de la Grèce qui tiraient leur origine de Dorus, fils d'Hellen; telles que les Lacédémoniens, les Messéniens, les Argiens, les Corinthiens, etc., etc. et leurs colonies. ( Voyez Dorus et Ioniens. ) DORION, musicien célèbre, et chef de parti dans son art. III, 100. DORISCUS (plaine de), dans la Thrace, ou Xerxès fit la revue de l'armée innombrable qu'il destinait à conquérir la Grèce. ( Roumigiek.)

I, 179.

DORUS et ÉOLUS, fils de Deucalion, roi de Thessalie, et Ion, son petitfils, donnent leurs noms à trois grandes peuplades de la Grèce ; de là les trois principaux dialectes de la langue grecque, chacun desquels reçoit ensuite plusieurs subdivisions. VI, 176—177. DOSYTHÉUS, astronome. III, 192.

DRACON donne aux Athéniens des lois qui portent l'empreinte de la sévérité de son caractère. I, 91.

Il se retire dans l'île d'Égine, et y meurt. Ibid.

Son nom est prononcé avec respect dans les tribunaux d'Athènes. Ibid. 101. (Voyez Lois.)

DRAME. (Voyez Comédie, Tragédie, Théâtre.)

DYмÉ, ville d'Achaïe ( ruines). III, 417. Formée de huit bourgades. DYSPONTIUM, ville de l'Élide. III, 425.

E.

EACEs, tyran de Samos et père de Polycrate. VI, 262.

EAU DE MER mêlée dans la boisson. II, 475.

EAU LUSTRALE: Comme elle se faisait; ses usages. II, 351.

ECBATANE, une des capitales de la Perse. V, 123. (Voyez Suze et Per

sépolis.) (Hamadan, ville et ruines.)

ÉCHECS. Jeu des Grecs qui avait du rapport avec celui-ci. II, 317. ÉCLIPSE de lune et de soleil. Les astronomes grecs savaient les prédire.

III, 201.

ECLOGUE, petit poëme dont l'objet est de peindre les douceurs de la vie pastorale; ce genre de poésie prit son origine en Sicile, et fit peu de progrès dans la Grèce. VII, 46.

ÉCOLE D'ÉLÉE. Xénophane en fut le fondateur. III, 142.

Parménide, son disciple, donna d'excellentes lois à Élée sa patrie, Ibid. 143.

ÉCOLE D'LONIE: Son fondateur, philosophes qui en sont sortis. Ibid. 138. ÉCOLE D'ITALIE, philosophes qui en sont sortis. III, 139.

Pourquoi elle répandit plus de lumières que celle d'Ionie. Ibid. 141. ECOLE DE MÉGARE: son fondateur. III, 368.

Se livre avec excès aux subtilités de la métaphysique et de la logique. Ibid. 369.

ÉCOLES de peinture. III, 404.

ECPHANTUS, philosophe pythagoricien. III, 141.

ÉCRITEAUX placés à Athènes sur les portes des maisons pour en annoncer la vente ou la location. II, 331.

ÉCRITURE (art de l'), porté d'abord en Béotie par Cadmus le Phénicien. I, 12.

Matières sur lesquelles on traçait l'écriture. III, 132.

Introduite dans l'Attique, y fut bientôt destinée à perpétuer le souvenir des événemens remarquables. I, 12.

ÉCUYER, officier subalterne qui suivait partout l'officier-général, parmi les Grecs. II, 175.

Épaminondas redemande son bouclier à l'écuyer qui le suivait : pourquoi. II, 87.

ÉDIFICES PUBLICS: loi sage des Éphésiens sur leur construction. VI, 191. ÉDUCATION. Tous ceux qui, parmi les Grecs, méditèrent sur l'art de

gouverner les hommes, reconnurent que le sort des empires dé pend de l'institution de la jeunesse. IV, 161. V, 276.

Elle avait pour objet de procurer au corps la force qu'il doit avoir, à l'âme la perfection dont elle est susceptible. III, 1.

On ne devait prescrire aux enfans pendant les cinq premières années, aucun travail qui les appliquât. Ibid. 10.

Les plus anciens législateurs les assujettissaient à une institution commune. Ibid. 13.

Il faut qu'un enfant ne contracte aucune habitude que la raison ne puisse justifier un jour, et que les exemples, les conversations, les sciences, les exercices du corps, tout concoure à lui faire aimer et haïr de bonne heure ce qu'il doit aimer et haïr toute sa vie. Ibid. 15.

Chez les Athéniens elle commençait à la naissance de l'enfant, et
ne finissait qu'à la vingtième année. Ibid. 1 et 27.

Détail sur la manière dont on l'élevait dans ses premières années..
Ibid. 4 et 15.

Exercices du corps et de l'esprit auxquels on l'accoutumait ensuite.
Ibid. 16, 27 et suiv. I, 352. (Voy. tout le chapitre xxvi.)
Belle maxime d'un roi de Lacédémone sur l'éducation. III, 26.
(Voyez Lois de Solon.)

ÉDUCATION des filles à Athènes. III, 60.

Éducation des Spartiates. Ce qui se pratique à Sparte quand un enfant est né. IV, 163.

Jusqu'à l'âge de sept ans, il est laissé aux soins du père et de la mère, ensuite à ceux des magistrats. Ibid. 143 et 164.

Tous les enfans élevés en commun. Ibid. 159.

Exception pour l'héritier présomptif. Ibid. 130.

On leur inspire l'amour de la patrie. Ibid. 102; et la soumission. aux lois. Ibid. 109.

Ils sont très-surveillés et très-soumis. Ibid. 104.

Ils marchent en public en silence et avec gravité. Ibid. 104-105..
Assistent aux repas publics. Ibid. 105.

Ce qu'on leur apprend. Ibid. 167–168.

Exercice auxquels on les occupe. Ibid. 179.

Combats qu'ils se livrent dans le Plataniste. Ibid. 170.

Coups de fouet qu'on leur donne dans une fête de Diane. Ibid. 171.

Cet usage était contraire aux vues de Lycurgue. Ibid. 173.

Il leur était permis d'enlever, dans la campagne, ce qui était à leur. bienséance; pourquoi. Ibid. 112.

D'attaquer les Hilotes. (Voyez Cryptie.)

Éducation des filles à Sparte. Jeux et exercices auxquels on les accoutumait. IV, 103, 177, 244.

Les jeunes gens qui assistaient à ces jeux y faisaient souvent choix d'une épouse. Ibid. 178. (Voyez tout le chapitre XLVII. )

ÉGALITÉ DES FORTUNES. Plusieurs législateurs et philosophes se sont

Li

occupés de ce problème politique. (Voyez Phaléas de Chalcédoine, et Philolaüs de Corinthe.)

LGEE (mer). Voy. Mer.

ÉGÉE, roi d'Athènes, père de Thésée. I, 18 et suiv.

ÉGESTE, ville de Sicile, colonie grecque. Opprimée par ceux de Sélí

nonte et de Syracuse, elle implore l'assistance des Athéniens, et occasionne la malheureuse expédition de Sicile (Calatafimi, lieu en ruines). I, 315.

ÉGINE (île d'), dans la mer Saronique; guerre de se habitans contre les Athéniens. I, 189. ( Atlas, pl. 35.)

Réunis à ceux-ci, les Éginètes se distinguèrent au combat de Salamine. Ibid. 220.

ÉGIRE, une des principales villes de l'Achaïe. III. 409. (Xylo-Castro,

ruines.)

EGIUM, ou plutôt EGIUM, ville où s'assemblaient les états de l'Achaïe (Vostitza, petite ville et ruines). Ibid. 411. ( Atlas, pl. 28. ) ÉGYPTE (l'), grande contrée de l'Afrique ou Libye, soumise au roi de Perse. I, 147.

Soulevée contre Artaxerxès, est puissamment secondée par les Athéniens. Ibid. 258.

Fournissait à la Grèce du papier et des voiles de vaisseaux. III, 380. ÉGYPTIENS, premiers législateurs des Grecs. I, 2.

Firent changer de face à l'Argolide, à l'Arcadie, et aux régions voisines. Ibid.

C'est à eux que les Grecs doivent les noms de leurs dieux. I, 7; et leurs notions sur le cours des astres. III, 191.

Époque à laquelle ils font remonter leur connaissance de la peinture et de la sculpture. III. 402.

Consultés sur les règlemens des Jeux olympiques. Ibid. 423. ELAÏUS, mont d'Arcadie où l'on voit la grotte de Cérès la Noire. IV, 276.

ELATÉE, ville principale de la Phocide. (Elefia, village et ruines). II, 417. Prise par Philippe de Macédoine. VII, 81.

ELATIES, ville de Thessalie sur le Pénée. III, 334.

ELÉE, ville d'Italie, colonie des Phocéens (Castello à mare della Brucca, petite ville). VI, 182.

ÉLÉGIE, espèce de poëme destiné dans son origine à peindre, tantôt les désastres d'une nation ou les infortunes d'un grand personnage, tantôt la mort d'un parent, d'un ami. Dans la suite elle exprima les tourmens de l'amour. VII, 41.

Quelle est l'espèce de vers ou de style qui convient à l'élégie. 1bid.

Quels sont les auteurs qui s'y sont distingués. Ibid. 42 et suiv. ÉLÉMENS. Observations sur les quatre élémens, sur la forme de leurs parties. V, 339.

Sur leurs principes de mouvement et de repos. Ibid. 340.
Propriétés essentielles aux élémens. Ibid. 341.

Empedocle en admettait quatre. III, 161.

ÉLEUSIS, ville de l'Attique (Lessina, village et ruines), célèbre paz son temple et les mystères de Cérès qu'on y célébrait. V, 460. Sa distance d'Athènes. Ibid.

Situation du temple. V, 465.

Ses quatre principaux ministres. Ibid. 466.

Ses prêtresses. Ibid. 468.

Le second des archontes préside aux fètes, qui durent plusieurs jours, dont le sixième est le plus brillant. Ibid. 463 et 469.

Quel était à Éleusis le lieu de la scène, tant pour les cérémonies que pour les spectacles. Ibid. 489.

Avantage que promettait l'initiation aux mystères. Ibid. 461.
Socrate et Diogène refusèrent de se faire initier. Ibid. 462.

Les Athéniens la font recevoir de bonne heure à leurs enfans.
III, 6.

Quelles étaient les cérémonies de cette initiation. V, 471.

Autres cérémonies observées dans ces mystères. II, 445.

Ceux qui en troublaient l'ordre punis de mort, ou condamnés à de fortes amendes. V, 464.

Note sur une formule usitée dans l'initiation. Ibid. 490.

Doctrine sacrée qu'on y enseignait. Ibid. 475 et suiv. Note sur cette doctrine. Ibid. 492.

ÉLIDE, province du Péloponèse (la partie occidentale de la Morée); situation de ce pays. III, 418. ( Atlas, pl. 29.)

Forme de son gouvernement. Ibid. 419.

ELIS, capitale de l'Elide ( Kalos copi, village et ruines); sa situation; comment elle s'est formée. III, 418-419. ( Ailas, pl. 29.) Son port. Ibid. 425.

EMIGRATIONS. Pourquoi étaient fréquentes chez les Grecs. IV,

210.

EMMÉLIE, nom que les Grecs donnaient à la danse tragique; ce qu'il désigne. VI, 76

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