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OFFRANDES faites par les rois de Lydie au temple de Delphes. II, 385.

et suiv.

Note sur leur poids et leur valeur. Ibid. 504.

OGYGÈS. (Voy. Déluge. )

OISEAUX : sont très-sensibles aux rigueurs des saisons. V, 550.

Leur départ et leur retour sont vers les équinoxes. Ibid. 351. Ceux qui peuplent les basse-cours des Grecs et que les saisons leur ramènent successivement. II, 459.

OISIVETÉ, notée d'infamie par Solon. Celui qui avait négligé de donner un métier à son fils était privé, dans sa vieillesse, des secours qu'il devait en attendre. I, 119.

OLBIUS, rivière d'Arcadie (Rophia). IV, 285.

OLEN, ancien poëte grec. VI, 368.

OLIGARCHIE. (Voy. Gouvernement.)

OLIVES, très-communes en Grèce : celles qu'on appelle colymbades sont les plus estimées. II, 463.

OLIVIER. Cécrops le transporte de l'Égypte dans l'Attique. I, 5.
L'Attique est couverte d'oliviers. V, 13.

On ne peut en arracher de son fonds que deux par an. V,

12.

Bouquets d'oliviers distribués en différens cantons, et appartenant au temple de Minerve. Ibid. 13.

Un de ces arbres consacré spécialement à Minerve. I, 96. II,

220.

OLYMPE, montagne qui bornait la Thessalie vers le nord. I, 188.

Arbres, arbrisseaux, grottes et plantes qu'on y trouve. III, 335 et 492.

Autre montagne du même nom, en Arcadie, appelée aussi Lycée. IV, 273.

OLYMPIADES (origine des ). III, 422.

OLYMPIAS, fontaine intermittente en Arcadie. IV, 278.

OLYMPIAS, femme de Philippe, roi de Macédoine. Fable au sujet de la naissance d'Alexandre; ce qui y avait donné lieu. Ibid. 327. OLYMPIE OU PISE, ville célèbre en Élide ( Miraca, village et ruines); sa situation. III, 425. ( Atlas, pl. 29 et 50.)

́Essai sur la topographie d'Olympic. ( Atlas, pl. 30.)

Divers spectacles qu'offraient les environs de cette ville pendant la célébration des jeux. Ibid. 452 et suiv.

Jeux olympiques institués par Hercule; rétablis, après une longue interruption, par les soins d'Iphitus, souverain d'un canton de

l'Élide. Ils se célébraient de quatre en quatre ans. C'est de ceux où l'athlète Corébus fut couronné que commence le calcul des olympiades. III, 421. VII, 121, Table des époques, à l'an 776. OLYNTHE, ville de la Chalcidique, dans la Macédoine, colonie grecque (Agio-Mama, village); sa situation, sa beauté. V, 130.

Prise et détruite par Philippe. Ibid. 137.

ONATAS, peintre et statuaire. III, 259.

ONGA, ancien nom de Minerve. IV, 78.

ONOMARQUE, chef des Phocéens, convertit en monnaie, en casques et en épées, le trésor sacré de Delphes. V, 90.

Est battu par Philippe et périt dans le combat. V, 95.

OPHIUSA, ancien nom de l'île de Rhodes : ce qu'il signifie. VI,

207.

OPISTODOME, édifice publique à Athènes ; son usage. II, 222.

OPLITE, ou soldat pesamment armé, avait un valet chez les Athéniens. II, 175.

Chez les Lacédémoniens, le soldat oplite était accompagné d'un ou de plusieurs Hilotes. IV, 96.

Opinion d'Iphicrate sur l'importance de cet ordre de soldats. II,

171.

OPONTE, ville de Locride ( Talanda ). III, 297.

OR: d'où les Grecs le tiraient. IV, 375.

Sa proportion avec l'argent. Ibid. 376. (Voy. Mines.)

ORACLE de Delphes, de Dodone, de Trophonius. (Voy. ces mots.) ORATEUR. L'unique devoir de l'orateur est d'éclairer les juges, en exposant simplement le fait. IV, 469.

ORATEURS de l'état, à Athènes. II, 252.

Subissent un examen sur leur conduite. I, 103.

Sont chargés de discuter les lois. Ibid. 144.

Par où ils commencent. II, 256.

Doivent avoir des lumières profondes et une conduite irréprochable. Ibid. 256 et suiv.

Abus qu'ils font de leurs talens. Ibid. 260.

Sont exposés à voir attaquer leurs personnes ou leurs décrets. Ibid. 265.

Dans les gouvernemens démocratiques, ils égarent la multitude. V, 287.

Qui les a quelquefois immolés à sa fureur. IV, 299.

OKCHOMÈNE, ville d'Arcadie (Kalpaki, village et ruines); sa situation.

On y faisait des miroirs d'une pierre noirâtre qui se trouve aux environs. IV, 287.

Tombeau de Pénélope sur le chemin qui conduit de cette ville à Mantinée. Ibid.

ORCHOMÈNE, Ville de Béotie, prise et donnée aux Thébains par Philippe de Macédoine. V, 195.

ORÉE, ville d'Eubée (l'Oréo, bourg et port), place très-forte, et dont le territoire a de bons vignobles. II, 73.

ORESTE et PYLADE, célèbres par leur amitié. I, 53.

ORGE, espèce de blé qui réussit le mieux dans l'Attique. V, 15.

Où cultivée en premier lieu. Ibid. 469.

ORGYE, mesure de distance chez les Grecs. II, 71.

OROPE, ville entre l'Attique et la Béotie (Oropo, bourg), long-temps disputée entre les Athéniens et les Thébains. III, 253.

Vice qu'on attribue à ses habitans. Ibid. 295.

ORPHÉE, un des Argonautes. I, 16.

Aristote doutait de son existence. VII, 112.

Tradition fabuleuse de sa mort. II, 61.

ORPHELINS, élevés jusqu'à vingt ans aux dépens du public, à Athènes.

II, 194.

ORTHAGORAS règne avec modération à Sicyone. III, 396.

ORTHOGRAPHE. Les femmes d'Athènes la négligeaient. IV, 455.
OSSA (mont), en Thessalie. Arbres, arbrisseaux, grottes et plantes
qu'on y trouve. III, 335 et 336. ( Kissabo.)

OSTRACISME, exil de quelques années, prononcé par la nation contre
un citoyen trop puissant. C'était quelquefois le seul remède qui
pût sauver l'état. V, 266.

OTHRYADAS. Mort généreuse de ce Spartiate. IV, 304–305. (Voy. Périlaüs.)

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P.

PACHYNUM

ACHYNUM, promontoire de Sicile (cap Passaro), près duquel Dion fut accueilli d'une violente tempête. V, 484.

PACTOLE (le), fleuve de Lydie (Sart.) VI, 335.

PÆDOTRIBE, un des officiers employés dans les gymnases. II, 135.
PEONIE. (Voy. PEONIE ).

PAGE, ville et port de la Mégaride, sur la mer d'Alcyon (ruines).
II, 376.

PAGASE, port de la ville de Phères en Thessalie (Volo). III, 331. PAIN (art de préparer le ); où et par qui perfectionné. II, 464. PALESTRES. (Atlas, pl. 13.) Athènes en avait plusieurs. II, 147. Exercices auxquels on s'y livrait. Régime des athlètes. Ibid. 147 et 148.

Plan d'une palestre grecque. (Atlas, pl. 13.)

PALLANTIDES (les), famille puissante d'Athènes; mécontens de Thésée

I, 19.

Cherchent à s'emparer du pouvoir souverain, et forcent Thésée à se retirer. Ibid. 28.

PALLÈNE, presqu'ile sur le golfe Thermaïque (Cassandre). III, 340. PALUS-MEOTIDE ( mer d'Azof), grand lac ou mer à l'embouchure du Tanaïs; communique avec le Pont-Euxin, par le bosphore Cimmérien (Atlas, pl. 7).

PAMISUS, fleuve de Messénie, dont les eaux sont très-pures. IV, 25. (Spirnazza, rivière.)

PAMPHILE, peintre, établit des écoles de dessin. I, 345-346.

Dirige celle de Sicyone; il eut pour disciples Mélanthe et Apelle. III, 405.

PAMPHILIE, contrée de l'Asie mineure soumise au roi de Perse (livas d'Hamid et de Tekieh, et pays de Versak et d'Alanieh ). VI,

182.

PAMPHUS, ancien poëte grec. VII, 38.

PAN, fort honoré chez les Arcadiens, avait un temple sur le mont Lycée. IV, 274.

PANATHÉNÉES: ordre suivi dans ces fêtes de Minerve. II, 436— 441.

PANCRACE, exercice composé de la lutte et du pugilat. III, 469.
PANDION, roi d'Athènes. I, 12.

PANÉNUS, peintre, frère de Phidias. I, 543. III, 429.

PANGÉE (mont), en Macédoine, sur les confins de la Thrace (Castagnatz, montagne); ses mines d'or, exploitées dès les temps les plus anciens, rouvertes et fouillées utilement par Philippe de Macédoine. IV, 376.

PANOPÉE OU PHANOPÉE, ville sur les confins de la Phocide et de la Béotie (Agios-Blasios, village et ruines). II 416.

PANORME, port de l'Attique ( Rafii ou du Tailleur). V, 33.

PANTARCÈS, ami de Phidias, qui avait gravé le nom de ce beau jeune homme sur un des doigts du Jupiter d'Olympie. III, 429.

PANTHER. (Voy. Abradate.)

PANTHÉES (figures); ce que c'est. VI, 446.

PANTICAPÉE, capitale des états de Leucon, dans la Chersonèse-Taurique

(Kertch). II, 4.

Fournissait beaucoup de blé à l'Attique. IV, 367.

PAPHLAGONIE, contrée de l'Asie mineure sur le Pont-Euxin (liva de Kastamoni, et partie de celui de Boli). VI, 173.

PARADIS, noms que les Perses donnaient aux parcs ou jardins du roi et des grands de la cour. V, 123.

PARALOS, canton de l'Attique, situé à l'orient et au midi d'Athènes (Mésogia). V, 34.

PARAPOTAMIES, ville de Phocide. II, 417.

PARASANGE, mesure itinéraire chez les Perses; son évaluation. VI, 183.

PARASITES, officiers publics à Athènes; leurs fonctions et leurs droits. II, 358.

Autre acception de ce mot; en Grèce on donnait le nom de Parasites à ces oisifs qui s'établissent chez les gens riches pour faire les honneurs de la maison et amuser les convives. II, 453. III. 115. PARIENS. Des arbitres de Paros rétablirent l'ordre dans Milet. V1, 548.

Les Pariens s'unirent à Darius, et furent défaits à Marathon. Ibid.

Assiégés dans leur ville par Miltiade, ils manquèrent à la parole qu'ils lui avaient donnée de se rendre. Ibid. 349.

Restés dans l'alliance de Xerxès, ils demeurent dans l'inaction au port de Cythnos. Ibid.

Furent enfin soumis par les Athéniens. Ibid. 350.

Leurs prêtres sacrifient aux Grâces sans couronnes et sans musique; pourquoi. VI, 350.

PARMENIDE d'Élée, sophiste. I, 340.

Disciple de Xénophane, donna d'excellentes lois à sa patrie. III, 143.

Son système de la nature. Ibid. 170.

Divise la terre en cinq zones. Ibid. 206.

PARMÉNION, général de Philippe de Macédoine; témoignage que ce prince rend de ses talens militaires. II, 168.

Envoyé en ambassade à Athènes; son éloge. V, 168.`

PARIS, fils de Priam, enlève IIélène, reine de Sparte. 1, 38.

PARNASSE, montagne de la Phocide, sous laquelle était la ville de

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