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IN concluding this Continuous Sense of S. Paul's Epistles,' containing so much that will seem new, it is impossible to avoid the consciousness that it falls far short in exactness and lifelikeness of what was desired. Yet it is believed that for every vital part of it may be alleged some judgment or interpretation of approved teachers of the Church; and that in no place is any authoritative doctrine of the Church contravened. It would not be issued but with the conviction that, with whatever defects, it really represents to the English reader the unequivocal teaching of S. Paul throughout.

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NOTES AND METALEGOMENA.

NOTE A.

THE universal superstition and sensuality of the Empire—that which S. Paul felt, when at Athens, Tapwúveто тò пVEûμа aνTOÛ ἐν αὐτῷ θεωροῦντι κατείδωλον οὖσαν τὴν πόλιν, and said δεισιδαιμονεστέρους ὑμᾶς θεωρῶare perhaps nowhere so intensely exhibited as in the pages of Athenæus, writing in the reign of Commodus, the infamous son and successor of the philosophic and gentle Aurelius. Suetonius, Tacitus, and Dio Chrysostom, all friends of Pliny the younger, write as contemporaries; but the retrospect of Athenæus is even more revolting than their terrible personal witness. We may open Athenæus, and in every section have evidence of the most depressing kind that all true nobleness was departed, and that human nature was fast sinking to its lowest animal tendencies.

It would perhaps be wrong to transfer to these pages any considerable extracts of the Tenth, or the Twelfth, or above all the Thirteenth Book of the Deipnosophista. But Suetonius and Tacitus are more familiar to all. Among modern writers, it may be sufficient to name Dean Merivale's Sermons and Notes, on the Conversion of the Empire, and M. de Pressensé's Histoire des Trois Premiers Siècles de l'Église Chretienne, as furnishing ready information, with some guidance to the authorities.

The following (vol. i. pp. 208-214) may be quoted as a vindication in a brief form of the condemnation given in the Apostolic writings of the state of the heathen world. It may almost serve as an index.

'Si maintenant nous pénétrons dans l'intérieur de la famille Romaine sous les Césars, les hontes de la vie privée nous paraîtront égaler au moins les hontes de la vie publique. La famille au temps de la république, avait été mieux constituée à Rome

Il

qu'en Grèce. La femme dans ce dernier pays, avait toujours été placée très bas. Enfermée dans son gynécée, elle n'exerçait aucune influence et ne répandait aucun charme sur la vie de son mari. Le foyer domestique n'existait pas. Le mariage n'avait d'autre but que de favoriser et de régler l'accroissement des citoyens de la république; c'était dans d'autres relations, toujours coupables, souvent abominables, que l'homme cherchait un délassement à la vie publique. Il en fut autrement à Rome pendant l'époque de l'austérité républicaine. Le lien conjugal était considéré comme un lien sacré; la polygamie était interdite. est vrai que la femme était toute sa vie dans une sujétion complète, sois vis-à-vis de son père soit vis-à-vis de son époux. Dans le premier cas elle appartenait tellement à son père qu'il pouvait reprendre à son gré tout ce qu'il lui avait donné. Dans le second cas elle était, selon l'expression légale, sous la main de son mari. Il avait sur elle le droit de vie et de mort. Lui seul possédait. [Voir sur ce sujet le remarquable ouvrage de M. Laboulaye, Recherches sur la Condition des Femmes, liv. i. sect. i. et ii.] Toutefois sous la république, la femme était protégée par la censure et par l'opinion publique. La sainteté du mariage fut maintenue pendant longtemps; car d'après Denys d'Halicarnasse, cinq siècles se passèrent sans un seul divorce à Rome. Il est vrai que les désordes entraînés fatalement par l'esclavage relâchèrent en partie le lien conjugal. Néanmoins si l'on compare cette époque à la suivante, on est en droit d'affirmer que les mœurs étaient alors relativement pures. Le mariage fut la première institution atteinte par le débordement de corruption qui signala la fin de la république et qui dépassa toute borne sous l'empire. Constamment rompu par le divorce, il n'imposa plus aucune obligation; le droit d'en briser les liens au premier caprice l'anéantit en réalité. Sénèque parle d'une femme qui comptait les années, non par les noms des consuls, mais par ceux de ses maris. [Sénèque, De Benef. iii. 16.] La femme, selon l'énergique expression de Martial, était légalement adultère. ['Adultera lege est.' Martial, t. ii. p. 107, edit. Panckoucke.] La famille romaine en se corrompant n'en avait pas moins conservé son ancienne dureté. Le père avait toujours le droit d'exposer ses enfants, et il en usait largement.

Aucune couleur n'est assez forte pour peindre cette corruption. Nous ne l'essayerons pas, car il nous suffit d'indiquer ce qu'elle a de caractéristique. Ceux qui veulent étudier de près l'infamie de ces temps n'ont qu'à lire Juvénal, ce Tacite de la vie privée. La femme rivalise avec l'homme pour la licence. [Virorum licentiam æquaverunt,' Sén. ép. xciv.] La plupart du temps elle n'est qu'une courtisane éhontée dont on peut dire qu'elle a tout, excepté une âme pure. [Tacite, Annales, xiii. 45] Non contente d'avoir des amants de sa classe, la patricienne va en chercher dans la lie du peuple, parmi les esclaves et les gladiateurs. [In extrema plebe.' Pétrone, Satyric, c. 126. Tacite, Annales, xii. 53.] Quelquefois même, on vit des femmes combattre dans l'arène. Sævit et ipsa Venus.' Martial, i. 19] Juvénal, dans une image d'une effrayante beauté, nous peint d'un trait l'infamie de la femme de son temps, alors qu'il nous la montre passant en riant devant l'autel de la pudeur. [Juvénal, Sat. vi.] Clément d'Alexandrie nous représente la femme païenne avec un pinceau plus chaste, mais l'idée qu'il nous en donne dans son Pédagogue correspond parfaitement à la sixième satire de Juvénal. Somptueusement vêtue, inondée de parfums excitants [Clément d'Alex., Pædag. ii. 47. 116], toute fardée, elle ne se contente pas des peintures indécentes, qui remplissent sa demeure; elle les a fait encore reproduire jusque sur sa chaussure, [Pædag. ii. 2. 33.] Elle vit au sein d'un luxe impudique, tantôt occupée de causeries vaines et corruptrices, ouvrant l'oreille aux conseils de vieilles entremetteuses, entourée de bouffons et d'oiseaux rares; tantôt elle parcourt la ville en litière, se rend aux bains publics ou dans les boutiques où affluent les oisifs. Elle passe la nuit dans des festins où l'on perd toute retenue, et va jusqu'à s'enivrer. On dirait la personnification de l'adultère. Aussi cette femme élégante, 'enchaînée dans le vice par une chaîne d'or, comme Vénus,' couvre de ces brillants dehors la corruption la plus honteuse, 'semblable à ces temples égyptiens magnifiques en apparence, mais qui cachent au fond de leurs sanctuaires une hideuse divinité.' [Pædag. iii. 2. 4.] Pour ce qui concerne les mœurs des hommes, il ne serait pas possible d'essayer d'en donner même une idée. cette plaie incurable du paganisme

Les vices contre nature, hellénique, s'étaient dé

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