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chambellan des ducs de Bretagne; 3o le fameux Tannegui, chambellan du roi, prévôt de Paris et grand maître de France.

Dès sa première jeunesse ce seigneur, qui devait acquérir un si sanglant renom parmi les chefs du parti des Armagnacs, se signala par de brillantes prouesses. Impatient de venger la mort de son frère aîné, il réunit une troupe de 400 hommes d'armes, descendit, en 1404, sur les côtes d'Angleterre, et revint en Bretagne chargé de butin. Ayant ensuite passé en France, il devint chambellan du duc d'Orléans; puis, après le meurtre de la rue Barbette (1407), il suivit en Italie Louis, duc d'Anjou, auquel il rendit d'éminents services.

A son retour, il s'attacha au dauphin Louis, duc de Guienne. Les princes auxquels le malheureux Charles VI laissait alors un pouvoir dont ils usaient d'une si déplorable façon, nommèrent Tannegui prévôt de Paris en 1413; bientôt après il devint aussi maréchal de Guienne. Dans l'exercice de ses fonctions de prévôt, il déploya, pour le soutien de la cause des Armagnacs, d'inflexibles rigueurs. Toutes les chaînes furent arrachées des rues et carrefours de Paris, les bourgeois furent désarmés, les femmes mêmes des Bourguignons bannis se virent expulsées et conduites à Orléans. Du Châtel se fit aussi, en 1416, l'instrument de la cruauté du duc d'Armagnac, lorsque les échafauds se teignirent du sang des bourgeois parisiens accusés d'intelligence avec le duc de Bourgogne, et que la Seine regorgea de cadavres. Une oppression si violente jointe à la rupture du traité de Montereau, déterminée par le comte d'Armagnac, Tannegui, et d'autres seigneurs dont la paix minait l'autorité, poussèrent enfin à bout les Parisiens. (Voyez LECLERC [Périnet]). Les Bourguignons furent introduits dans la ville. Averti du danger par les cris de victoire des conjurés, Tannegui eut le temps non-seulement de se sauver, mais encore d'emmener avec lui le dauphin Charles, dernier reje

ton du sang royal, dernière garantie du parti des Armagnacs. Sans donner au jeune prince le temps de s'habiller, il l'enveloppa dans la couverture de son lit, l'emporta dans ses bras jusqu'à la porte, le fit monter à cheval et s'enferma avec lui dans la Bastille. Après avoir rassemblé un corps de 1,600 hommes, il se hasarda bientôt ( 1er juin 1418) à pousser une sortie jusqu'à l'hôte! Saint-Paul, où il espérait surprendre et enlever le roi; mais son attente fut trompée. Voyant alors qu'il ne pouvait reprendre Paris, if alla rejoindre à Melun le dauphin qu'il y avait envoyé depuis peu de jours.

A cette époque du Châtel était le véritable chef des Armagnacs. Il portait le titre de capitaine et lieutenant de par monseigneur le dauphin, de tous les pays de France, Champagne, Brie, et de outre la rivière de Seine. Lorsque les deux partis sentirent le besoin d'une réconciliation ce fut lui que le dauphin envoya de Montereau à Bray-sur-Seine pour demander une conférence au duc de Bourgogne son oncle. Mais les conseillers du dauphin, qui redoutaient l'influence de Jean sans Peur, et dont le crédit et la fortune dépendaient de la continuation des troubles civils avaient depuis longtemps résolu la mort de ce prince. Quand il fut décidé à venir à Montereau, il dit à du Châtel, suivant Pierre de Fenin : Davegny (Tannegui), nous allons vers monseigneur le dauffin à vostre fiance... A quoi Davegny respondy: Mon trèsredouté seigneur, n'ayès doubte de riens; car monseigneur est bien content de vous, et se veut désormais gouverner par vous, et avec ce y avès de bons amis qui bien vous ayment. Ainsi s'en alla le duc Jehan à sa mort, en la compaignie de du Chastel lequel le trahy (*). » Arrivé à Montereau, et averti par des amis prudents, le prince dit encore à Tannegui : « Nous nous

(*) Mémoires de Pierre de Fenin, publiés par la Société de l'histoire de France, 1837, in-8, p. 112 et suiv.

fions en vostre parolle pour Dieu avisès bien que soiès seur de ce que nous avès dit qu'il soit vérité; vous feriès mal de nous traïr. » Et Davegny lui respondy : « Mon très-redouté seigneur, j'aymeroie mieulx à estre mort qu'eusse fait traïson à vous ne à aultre; n'aiès nul doubte de riens; car je vous certiffie que monseigneur ne vous veut nul mal.. Et le duc Jehan respondy: « Nous irons à la fiance de Dieu et de vous (*).» Jean sans Peur continua donc à marcher vers le pont « et tousjours le menoit du Chastel » (dimanche, 10 septembre 1429.) Le dauphin étant dans sa loge en charpente, destinée pour l'entrevue avec ses chevaliers, le gentilhomme breton fit hâter le pas au duc et au sire de Navailles, et les sépara ainsi du reste de la suite en les entraînant devant le dauphin... Au moment où le duc pliait le genou devant Charles, Tannegui le poussa par derrière et leva sur lui une hache d'armes avec laquelle il l'abattit; d'autres achevèrent la victime... En vain du Châtel chercha ensuite à se disculper du meurtre de l'homme qui, publiquement, avait déclaré se reposer en sa foi. En vain il prétendit que, dès le commencement du tumulte, il avait pris le dauphin dans ses bras et l'avait passé par-dessus les barrières du pont. Il est vrai que nul de ses contemporains ne se présenta pour relever son défi lorsqu'il s'offrit de maintenir son serment par les armes contre deux chevaliers; mais les témoignages recueillis par les historiens les plus consciencieux (**) ne permettent plus aucun doute sur son crime.

Après ce tragique événement, Tannegui conduisit le dauphin à Toulouse et trama bientôt une nouvelle trahison pour rattacher la Bretagne à son parti. Ce fut en effet à son instigation que les jeunes comtes de Penthièvre

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se saisirent perfidement de la personne du duc Jean VI. (Voyez Bretagne [ducs de ).

L'autorité presque absolue que du Châtel exerçait sur le dauphin, il la conserva quand Charles devint roi de Bourges; cependant la domination de ce farouche seigneur finit par fatiguer Charles VII. Un jour, dans une assemblée du conseil et en présence du roi, du Châtel tua de sa propre main le comte Guichard, dauphin d'Auvergne, dont il voyait avec colère le crédit naissant. Dès lors, bien que son crime demeurât impuni, il déclina grandement dans la faveur du roi, et le connétable de Richemond obtint enfin qu'il serait renvoyé à Beaucaire avec le titre de sénéchal. Charles VII se ressouvint cependant de lui en 1443, il le nomma grand sénéchal de Provence. Cinq ans après, il l'envoya à Rome en qualité d'ambassadeur. Tannegui mourut à son retour de cette mission, en 1449, à l'âge de quatre-vingts ans.

Tannegui du Châtel, vicomte de la Belliere, chambellan du roi et grand maître de son écurie, fils puîné d'Ollivier, chambellan du duc de Bretagne, succéda à la faveur de Tannegui son oncle auprès de Charles VII. Quand ce prince eut terminé sa misérable existence, du Châtel fut le seul courtisan qui ne quitta point le roi défunt pour le roi vivant: il resta près du corps de son bienfaiteur et dépensa lui-même pour ses obsèques trente mille écus, qui ne lui furent remboursés que dix ans après. Louis XI lui accorda cependant ensuite toute sa faveur, le nomma grand maître des écuries, gouverneur du Roussillon, chevalier de St-Michel, etc, et l'emplova tour à tour dans des guerres et des négociations. Tanneguí était au siége de Bouchain en 1477, lorsqu'un coup de fauconneau le tua au moment où Louis XI s'appuyait sur son épaule. Le roi lui-même se chargea du soin de ses obsèques, et le fit ensevelir à l'église Notre-Dame de Cléry. Le vicomte de la Bellière (il avait pris ce nom depuis son mariage avec Jeanne,

vicomtesse de la Bellière) ne laissa que des filles.

Il avait un frère, Guillaume, qui fut écuyer du dauphin, plus tard Louis XI, et se signala par sa valeur à la défense de Saint-Denis contre les Anglais, et au siége de Pontoise où il fut tué en 1441. Charles VII le fit ensevelir à l'abbave de St-Denis.

François, le frère aîné de Gillaume et de Tannegui, continua la postérité des sires du Châtel, Leslen, Lesourni, Poulmic, Lescoët, etc., laquelle, après s'être subdivisée en plusieurs rameaux, tels que ceux de Coëtangars et de Coëtelez, s'est perpétuée jusqu'à nos jours en Bretagne, où elle a encore des représentants.

Bien que M. Charles-Marie-Tannegui DUCHATEL, aujourd'hui ministre de l'intérieur, porte le prénom du seigneur breton et l'ait donné à son fils, il est certain qu'il n'a rien de commun avec les descendants de cette maison. Il est issu d'une famille de Normandie. Son père est M. Charles-JacquesNicolas Duchâtel, qui fut nommé conseiller d'État en 1801, créé comte en 1808, député de la Charente en 1827, pair de France en 1833, et qui s'est distingué comme jurisconsulte dans sa longue carrière administrative.

Le ministre actuel s'est occupé spécialement d'économie politique et de finances. Comme économiste, il a publié un ouvrage dont le titre seul fait l'éloge; il est intitulé: De la charité dans ses rapports avec l'état moral et le bien-être des classes inférieures de la société. Partisan des idées de Malthus, l'auteur pense que travail, économie et prudence dans le mariage, sont les moyens qui préserveront le pauvre de la misère. Comme administrateur, on lui doit l'enquête commerciale faite en 1834 et 1835 pour l'établissement d'un projet de douanes, 3 vol. in-4°, et le tome Ir des Documents historiques sur la France, publié en 1834, 1 vol. in-4°, et traitant du territoire, de la population, de l'agriculture, des mines, de l'industrie, du commerce, de la navigation, des colonies, de l'administra

tion centrale, des finances, des forces militaires, de la marine, de la justice et de l'instruction publique. Jusque-là, il n'avait paru aucun travail aussi complet en ce genre. Ce livre ouvre la voie aux ministres futurs qui voudront s'enquérir sérieusement des changements survenus dans la statistique de la France, et les signaler à l'attention publique.

DUCHATEL (Pierre), plus connu sous le nom latin de Castellanus, évêque d'Orléans et grand aumônier de France, naquit sur la fin du quinzième siècle, dans le diocèse de Langres. Orphelin à l'âge de six ans, il fut envoyé au college de Dijon, alors très-renommé, et y reçut les leçons du savant Turell, leçons dont il profita si bien qu'avant d'avoir atteint sa seizième année il enseigna le grec et le latin avec le plus grand succès. Attire à Bâle par la grande réputation d'Erasme, il se concilia l'estime et l'amitié de ce savant écrivain, auquel il rendit d'importants services pour la publication des éditions grecques et latines dont il était. alors occupé.

Ayant ensuite appris que Turell était accusé de sacrilége devant le parlement de Dijon, Duchâtel quitta tout pour se rendre dans cette ville, et eut le bonheur d'arracher, par son éloquence entraînante, son ancien maître à la mort qui le menaçait. Après avoir voyagé en Italie, où le spectacle de la cour papale lui inspira une répulsion qu'il conserva jusqu'a sa mort; après avoir ensuite visité l'Egypte, la Palestine et la Syrie, Duchâtel fut présenté par le cardinal du Bellay à François I, qui goûta fort les graces de son esprit et sa profonde érudition; il l'appela successivement à l'évêché de Tulle en 1539, à celui de Mâcon en 1544, à la grande aumônerie en 1547, au siége d'Orléans en 1551, et lui fit enfin donner le chapeau de cardinal.

Le vertueux prélat fit usage de sa faveur pour protéger les lettres et ceux qui les cultivaient, défendre les droits de l'église gallicane contre les usurpations du saint-siege, et soustraire les protestants aux bûchers qu'on aliu

mait pour eux, et il contribua, avec Budé et du Bellay, à la fondation du college royal, aujourd'hui collége de France. Il fut frappé d'apoplexie dans la chaire de la cathédrale d'Orléans l'an 1552. On a de lui un ouvrage intitulé: Trépas, obsèques et enterrement de François 1er, dont l'original se trouve dans le volume 8517 du fonds Béthune, à la bibliothèque du roi; de plus, deux Oraisons funèbres de son protecteur. Sa vie, écrite par Galland, à été publiée par Baluze en 1674.

DU CHATELET (maison). La famille du Châtelet, originaire du duché de Lorraine, et qui se prétendait descendue d'une branche cadette de la maison souveraine à laquelle appartenait ce duché, a reçu toute son illustration des deux derniers personnages qu'elle a produits, la marquise du Châtelet, célèbre par sa liaison avec Voltaire, et le duc du Châtelet-Lomont, son fils.

Gabrielle - Émilie le Tonnelier de BRETEUIL naquit à Paris en 1706; son père, le baron de Breteuil, était introducteur des ambassadeurs; elle épousa, fort jeune, le marquis DU CHATELETLOMONT, lieutenant général et officier de mérite.

De bonne heure, elle s'était adonnée à l'étude de l'anglais, de l'italien et du latin, et elle avait commencé une traduction de Virgile, dont on conserve quelques fragments manuscrits. L'étude des sciences la captiva ensuite, et elle parvint à acquérir des connaissances étendues en astronomie, en physique et en géométrie. Elle concourut, en 1738, pour le prix de l'Académie des sciences sur une question relative à la nature du feu. Deux ans après, elle fit paraître ses Institutions de physique, auxquelles elle joignit une analyse de la philosophie de Leibnitz. Elle s'occupait en même temps d'un autre ouvrage qui devait ajouter à sa réputa tion parmi les savants : c'était la traduction du Livre des principes de Newton. Elle est encore auteur d'un Traité sur le bonheur, et on a publié d'elle plusieurs lettres au comte d'Argental. Elle mourut en couche, à

Lunéville, en 1749, à l'âge de quarante-trois ans.

Madame du Châtelet serait sans doute oubliée aujourd'hui si elle n'avait eu d'autre titre au souvenir de la postérité que son goût pour les travaux scientifiques. Ce sont les éloges de Voltaire, dont elle fut publiquement la maîtresse, qui ont assuré à son nom l'immortalité. Ce grand poëte qui, dans ses lettres, la désigne par le nom de belle et bonne, a composé, en son honneur, un grand nombre de pièces, où il lui attribue tous les dons et toutes les qualités.

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Madame du Deffand, l'a jugée avec moins d'indulgence: « Émilie, dit-elle, << travaille avec tant de soin à paraître « ce qu'elle n'est pas, qu'on ne sait plus « ce qu'elle est en effet. Elle est née « avec assez d'esprit; le désir de pa<< raître en avoir davantage lui a fait préférer l'étude des sciences abstrai« tes aux connaissances agréables. Elle croit, par cette singularité, parvenir « à une plus grande réputation et à « une supériorité décidée sur toutes « les femmes. >> Sans être aussi sévère que madame du Deffand, on peut penser que madame du Châtelet ne fut pas exempte de sécheresse et même de pédantisme, et que la femme préférée par Voltaire devait avoir moins de sensibilité que d'esprit.

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Florent-Louis-Marie, duc DU CHATELET-LOMONT, né à Semur, en Bourgogne, en 1727, fut, à seize ans, nommé colonel du régiment de Navarre, et se trouva, en cette qualité, à la bataille d'Hastembeck. Nommé successivement ambassadeur en Autriche et en Angleterre, d'où il revint en 1770, il fut créé duc en 1777, et devint ensuite successivement colonel du régiment du roi, lieutenant général et colonel des gardes françaises. On attribua à quelques réformes intempestives, qu'il voulut introduire dans ce dernier régiment, l'esprit de révolte qui s'y manifesta à l'époque de la révolution. Nommé aux états généraux, du Châtelet vota le rachat de la dîme, demanda la responsabilité des ministres, et la vente de 400 mil

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lions de biens du clergé. Il fut accusé, en 1790, d'avoir touché, sans ordre, des sommes sur l'extraordinaire de la guerre; vota ensuite pour conférer au Paroi le droit de paix et de guerre; s'opposa, en 1791, à la réunion du comstat Venaissin, et signa la protestation du 12 septembre contre les réformes Copérées par l'Assemblée. Emprisonné après le 10 août, il fut condamné à mort en 1793, pour avoir participé au massacre des citoyens à l'attaque des Tuileries.

DUCHÉS. DUCHÉS - PAIRies.

Nous avons vu à l'article Duc comment ces officiers rendirent hérédi taires les fiefs qu'ils tenaient de la couronne. Dans les treizième et quatorzième siècles, quelques provinces et quelques fiefs furent encore érigés en duchés en faveur des princes du sang; on institua ensuite d'autres duchés en faveur des grandes familles. Ces duchés, comme nous l'avons dit plus haut, se divisaient en duchés-pairies et duchés non pairies, qui avaient le même rang comme fiefs de dignité, et comme juridictions seigneuriales de premier ordre. On a compté, depuis l'érection de la Bretagne en duché-pairie (1297), 119 créations de duchés-pairies, 45 de duchés simples, et 30 de duchés pairies non enregistrées.

Bien que l'office de duc et pair fut de sa nature un office civil, il y eut cependant quelques duchés - pairies érigées sous la condition de passer aux femmes à défaut de mâles. Ces duchés étaient appelés duchés-pairies males et femelles; il y en eut même quelques uns qui furent érigés pour des femmes et des filles, et qui étaient désignés sous le nom de duchés femelles.

tesse d'Artois fit fonction de pair en 1364, au sacre de Charles V. Il n'y avait plus que huit duchés-pairies à l'avénement de Heuri II; ce nombre, qui s'était élevé à dix-huit lorsque Henri IV monta sur le trône, s'augmenta considérablement sous les successeurs de ce prince, qui préférerent toujours une noblesse qui tenait d'eux son illustration, à l'ancienne noblesse qui avait placé leur famille sur le trône.

Nous croyons devoir donner ici la liste des duchés - pairies, des duchés simples et des duchés-pairies non enregistrées, créées en France depuis l'érection de la Bretagne en duche-pairie, en 1297, jusqu'à l'époque de la révolution. Nous ferons suivre ces listes de celle des ducs créés sous l'empire par Napoléon.

Duchés-pairies enregistrées.

Bretagne..
Bourbon..
Orleans..
Berry.
Anjou.
Auvergne.
Touraine
Bourgogne..
Chateau-Thierry.
Nemours
Valois...
Alençon..

Normandie..
Guienne
Nemours
Angoulême.
Vendôme..

Châtellerault...
Valois....
Guise...
Montpensier..
Aumale...
Montmorency...
Nevers..

Penthièvre.

Mercœur.

Uzès.....

Mayenne.. Saint-Fargeau Joyeuse..

Rethelois...
Piney-Luxembourg.

Elbeuf.

Les femmes qui possédaient une duché pairie remplissaient toutes les fonctions attachées à l'office de pair. Épernon.. Mahaut, comtesse d'Artois, assista en personne au parlement de 1314, pour y prendre part au jugement du comte de Flandre et de Louis le Hutin. Elle assista au sacre de Philippe V, en 1316, où elle fit les fonctions de pair, et y soutint, avec les autres, la couronne du roi son gendre. Une autre com

Retz.......
Halluin..
Montbazon.....
Ventadour....

Thouars (La Tremoille).
Beaufort..
Biron..
Aiguillon..

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