Les chroniques: ... poésies, 15. cilt

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Verdière, 1824
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 28 - JD .sitôt que nous pourrons apercevoir que vous vous ferez partie pour le roi d'Angleterre contre le roi de France notre souverain seigneur, nous vous relinquerons (abandonnerons) tous et mettrons hors de Bretagne.
Sayfa 15 - SIvray qui rst une petite ville du voisinage. JAB pour mariages, pour paix, ni pour aucune aventure qui jamais put advenir au royaume de France, par quelconque condition que ce fut; et auroient en leur ville coin pour forger florins et monnoie blanche et noire de telle forme et aloi comme ont ceux de Paris. Mais ce ne voulurent accorder les seigneurs de France qui là étoient, jusques à tant que le roi de France eu auroit été avisé ; et pour aller devers le roi donnèrent les seigneurs sauf-conduit...
Sayfa 237 - Bretaigne, en Bourgoingne, en France, en Picardie et en Normandie. Lesquelles victoires ont trop grandement adamagie vostre roiaume et les nobles qui y sont, et les ont tant enorgheillis que il ne prisent autant nulle nacion que la leur , par les grans reançons que il ont prises et heuwes; de quoy il sont enrichis et enhardis. Et ves ci on compaignon le seigneur de Clichon qui plus naturelement en porroit parler que je ne face, car il a este avoec iaux nourris d'enfance, si...
Sayfa 36 - JD sauroit gré, et en prendrais blâme; mais pour vous apaiser, et ma terre mettre en paix, je me composerai et mes gens aussi, que nous ne serons point guerroyés et aussi nous ne ferons point de guerre; et quand monseigneur sera revenu de sa prison, je orrai bien quand il se traira (rendra) en Angleterre; si lui signifierai cette composition; si m'en répondra sa volonté; et tantôt après vous répondrai.
Sayfa 307 - ... ou oserent onques assegurer sus certaine place entre le ville de Monstrueil et Calais pour iaux comparoir li un devant l'autre. Si demorerent les coses ensi et ne furent les triewes plus ralongies; mais la guerre renouvelee; et retournerent li François en France.
Sayfa 80 - Lou• vain et mené en Angleterre. Si ne pouvoit venir à finance nia rançon, tant lui demandoit-on grand argent. Toutefois un marchand de Flandre s'aventura et fit tant qu'il le ôta soutivement (subtilement) d'Angleterre : la manière en seroit trop longue à demener, si m'en passerai brièvement. Quand il fut venu en France, le roi lui rendit son office d'être maître des arbalétriers, et l'envoya à Abbeville, comme devant, pour garder les frontières; avec lui toujours deux cents lances;...

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