Collection compléte des mémoires relatifs á l'histoire de France, depuis le régne de Philippe Auguste jusquáu commencement du dix-septiéme siécleFoucault, 1822 |
Diğer baskılar - Tümünü görüntüle
Sık kullanılan terimler ve kelime öbekleri
advertir advis allay Allemans arquebusiers artillerie asseuré aupres avecques avoient avois avoit ayse baillé bataille BLAISE DE MONTLUC Brissac c'estoit camp capitaine Charry cardinal cavallerie celuy cens ceste chasteau cheval chose combattre compagnie comte costé croy derriere desja dict Dieu droicte duc d'Albe duc de Florence Duno ennemis enseignes estant esté estions estoient estoit estre eust faict faisoit falloit fismes François fust gaigner Gascons gens de pied gentil gentilhomme gouverneur heure homme incontinent Italiens j'avois j'ay j'estois jamais jusques l'artillerie l'ennemy ledict ledit luy respondis m'en maistre Majesté mesmes messieurs monsieur d'Anguyen monsieur de Guyse monsieur de Strossi monsieur le mareschal Montalsin Montluc muraille n'avoit n'ay n'y avoit nuict parmy picques plustost pource pouvoit pres priay prince prins quatre quoy recognoistre remonstrer riviere Sainct Savillan seigneur seroit Sienois sieur Cornelio soldats sorte teste tost tousjours trouppe trouvay trouverent venoit verité vouloit voy-là
Popüler pasajlar
Sayfa 38 - Vous se« rez tousjours bon en une sorte et en autre. » II se baissa, et me fit cest honneur de m'emhrasser, et me fit sur l'heure chevalier, dont je me sentiray toute ma vie honoré, pour l'avoir esté en ce jour de bataille, et de la main d'un tel prince : malheureux fut celuy qui nous l'austa si pauvrement ! mais laissons cela.
Sayfa 480 - Il ne tiendra qu'à vous, capitaines ; faictes comme j'ay fait souvent : quittez la botte, et à beau pied à la teste de vos gens, montrez leur que vous voulez prendre la peine comme eux. Il n'ya diligence que vous ne fassiez, et serez suyvis faisant enfler le cœur et redoubler les forces aux plus recreus.
Sayfa 153 - Puis nous tournasmes descendre derrier l'abbaye, et nous en allasmes dans la ville. Et, encores que les ennemis tirassent fort, ils ne pouvoient rien voir, à cause de la grande obscurité de la nuict, et tiroient à coup perdu et à la fortune, laquelle nous rit pour lors. Elle ne fait pas tousjours ainsi, au moins à moy: il y en a de si heureux, que jamais le coup ne porte.
Sayfa 122 - ... j'envoiay le lieutenant du gouverneur de La Cisterne pour donner l'alarme par le fons à main gauche ; ce qui ne porta 'pas grand profit , d'autant que les ennemis n'en firent nul compte. Et comme nos gens furent sur un petit haut...
Sayfa 211 - ... ques au quinziesme de novembre ; dequoy vous avez « donné advis à Sa Majesté : cela .luy pourroit bien « avoir donné occasion de se refroidir à nous envoyer « le secours, veu le long chemin qu'il ya, et aussi que « nous nous approchons de l'hyver : les armées ne volent « point et ne vont point en poste; son secours sera,« et digne d'un grand prince, et respondant à l'amitié « qu'il vous porte, et bastant pour forcer vos ennemis:. « voy-là pourquoy c'est- chose qui ne peut estre...
Sayfa 287 - Roy; et puis que nous n'estions à eux , ils n'avoyent aussi puissance de capituler pour nous , et qu'il falloit qu'on capitulast de la part du Roy pour nous, et que je capitulasse seulement de la part du Roy; qu'il m'asseuroit que j'aurois tout ce que je demandois, et que, hors le service de l'Empereur, il feroit autant pour moy que pour le cardinal son...
Sayfa 231 - Allemans commençoient fort à pastir de vin, et le pain bien petit, car de chair il ne s'en parloit plus, sinon de quelque cheval, ou quelque asne, qu'on mettoit en vente à la boucherie, et d'argent il ne s'en parloit plus du tout : car monsieur de Strossi n'avoit nul moyen d'en y faire entrer: qui nous mettoit en crainte que les Allemans se joindroient avec la ville, pour entrer en composition.
Sayfa 296 - Apres je luy racontay que, s'il eust continué sa batterie, il n'en eust pas eu si bon marché; que les Gascons estoient d'une nation opiniastre, mais qu'ils estoient de chair et d'os comme les autres, qu'il falloit manger. Sur ce propos et autres nous nous entretinsmes jusques à ce que nous fusmes un mil au delà Sainct Lazare ; et là il dict au sieur Chiapin Vitello qu'il al la.
Sayfa 5 - Roy, et vis à vis de moy, me faisoit signe de la teste : qui me fist penser qu'il vouloit que je parlasse hardiment: ce que me donnoit plus de hardiesse, de laquelle je n'ay eu jamais faute , car la crainte ne me ferma jamais la bouche. « Sire, dis-je, nous sommes de cinq à six mille Gascons comptez , car vous sçavez que jamais les compagnies ne sont du tout complettes , aussi tout ne se peut jamais trouver...
Sayfa 166 - Or je ne demeuray guère oysif ou sur les cendres ; on ne m'en donna pas le loysir, comme aussi je n'en avois pas de volonté , m'estant tousjours proposé de parvenir par la voye des armes à toutes les poinctes d'honneur que les hommes peuvent atteindre. Songez, vous qui estes nez gentils-hommes , que Dieu vous a faicts naistre pour porter les armes . pour servir vostre prince, et non pas pour courre le lièvre ou faire l'amour.