Études sur la philosophie dans le moyen-âge, 1. cilt

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Joubert, 1842
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 22 - Per Deum intelligo ens absolute infinitum, hoc est, substantiam constantem infinitis attributis, quorum unumquodque aeternam et infinitam essentiam exprimit.
Sayfa 39 - ... vidualis et singularis privatione omnis divisibilitatis « per se, et per accidens, et a quolibet alio divisa a quœ quidem negatio non est simplex, sed duplex , « quia est removens ab intra omnem plurificabilitatem et « diversitatem , et ab extra omnem identitatem.
Sayfa 113 - ... illusion et un piège. Un Dieu sans monde est tout aussi faux qu'un monde sans Dieu ; une cause sans effets qui la manifestent, ou une série indéfinie d'effets sans une cause première ; une substance qui ne se développerait jamais, ou un riche développement de phénomènes sans une substance qui...
Sayfa 326 - nee œternum , nee naturale. » Voilà enfin la conséquence dernière et inévitable du réalisme reconnue et avouée par la scolastique elle-même, par un de ses organes les plus éclairés , et qui repousse le système précisément à. cause de la conséquence. Ce fait ne devait pas être passé sous silence, comme il l'a été jusqu'à présent; il vient d'ailleurs confirmer tout ce que j'ai dit du caractère du réalisme. Il y avait au fond de la querelle des universaux une question sérieuse...
Sayfa 194 - ... branche pour une des racines de la science : d'ailleurs elle tient aux mathématiques, et l'on sait le cas qu'il faisait de ces dernières. Ainsi, dans l'optique il voyait deux choses : les faits externes d'abord, puis, par analogie, les faits internes de la perception. Ce rapprochement vient de ce qu'il regardait le sens de la vue comme le représentant le plus complet et, pour ainsi dire, le type de la faculté de connaître. « Le sens de la vue , dit M. de Gérando en parlant de Roger Bacon...
Sayfa 252 - Roscelin sur les parties ; il prétendait qu'elles n'ont point d'existence réelle, et je crois avoir suffisamment montré comment il faut le comprendre en cette occasion. Cette partie existe en tant qu'un tout distinct, et non pas comme portion d'un autre être , ce serait admettre l'unité continue. Écoutons encore |0ccam : « Toute substance « est elle-même et non une autre; il n'en est pas « de même de l'universel. » Peut-on rien trouver de plus conforme au nominalisme du xi
Sayfa 56 - Le cartésianisme a mis la dernière main à l'œuvre ; personne parmi les bons philosophes ne doute plus que les sceptiques n'aient raison de soutenir que les qualités des corps qui frappent nos sens ne sont que des apparences. Chacun de nous peut bien dire, je sens de la chaleur à la présence du feu, mais non pas, je sais que le feu est tel en lui-même qu'il me paraît.
Sayfa 53 - ... il est tellement dans cette opinion , qu'il condamne ouvertement ceux des scolastiques qui avançaient que l'intelligence humaine avait le pouvoir de produire les caractères universaux dans les objets. Je crois devoir citer ce passage important; il répond d'ailleurs aux attaques qu'on pourrait diriger contre Duns Scot par rapport aux entités. « Ubicumque est , « antequam in intellectu possibili habeat esse objective , « sive in re, sive infantasmate, sive habeat esse certum , « sive deductum...
Sayfa 155 - Hcec autem facta sunt antiquitus et nostris temporibus facta sunt, ut certum est; nisi sit instrumentum volandi quod non vidi, nec hominem qui vidisset cognovi, sed sapientem qui hoc artificium excogitavit explere cogno'eo.
Sayfa 249 - Ex istis sequitur quod non potest demons« trative probari quod Deus sit causa immediata alicujus « effectus. » Dans le premier de ces deux passages, l'existence de Dieu est mise en question ; dans le second, c'est le principe de causalité; il semble qu'Occam, prévoyant qu'on pourrait...

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