Vie de Mme d'Youville, fondatrice des Soeurs de la Charité de Villemarie dans l'Ile de Montréal, en CanadaChez les Soeurs de la Charité, 1852 - 491 sayfa |
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12 août Archives de l'hôpital Archives du séminaire avaient avril ayant Beauharnois Bigot Canada Catalogue des membres chargée Châteauguay chrétienne cœur commu communauté compagnes compagnie de Saint-Sulpice confiance corps de Mme Cousturier dessein dévotion DIEU divine Providence donner Dufrost ecclésias ecclésiastiques écrivait effet enfin établissement eût filles fondatrice frères hospitaliers GÉNÉRAL DE VILLEMARIE gouverneur Héry Hocquart hôpital Ibid institut jour jusqu'à l'église l'esprit l'évêque l'hô l'hôpital de Villemarie l'hôpital général l'Hôtel-Dieu l'intendant l'Isle-Dieu Labroquerie Lajemmerais Lajonquière Leschassier Lescöat Madame d'Youville maison marine mars Médréac Mém Mémoire particulier ment mère Coutlée mère Despins mère Lemaire ministre Mme d'You Mme d'Youville Montgolfier Montréal mort mourut nauté Normant novices octobre œuvre paroisse pauvres PÈRE ÉTERNEL personnes pital Pontbriant prendre prêtre du séminaire Registres saint salle Sattin semblait séminaire de Saint-Sulpice séminaire de Villemarie servir Silvain SOEURS sœurs grises soin supérieur du séminaire tion Varennes Vaudreuil vertus Villema vocation Youville zèle
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Sayfa 139 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Sayfa 455 - Car j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'ai eu soif, et vous ne m'avez pas donné à boire; j'étais étranger, et vous ne m'avez pas recueilli; j'étais nu, et vous ne m'avez pas vêtu; j'étais malade et en prison, et vous ne m'avez pas visité.
Sayfa 177 - ... autrefois ; nation bienfaisante, qui donnez chaque jour au Canada de nouvelles preuves de votre libéralité ; — non, non, vous n'êtes pas nos ennemis, ni ceux de nos propriétés, que vos lois protègent, ni ceux de notre sainte religion, que vous respectez. Pardonnez donc ces premières défiances à un peuple qui n'avait pas encore le bonheur de vous connaître ; et si après avoir appris le bouleversement de l'État et la destruction du vrai culte en France, et après avoir goûté pendant...
Sayfa 176 - Nos conquérants, regardés d'un œil ombrageux et jaloux, n'inspiraient que de l'horreur et du saisissement. On ne pouvait se persuader que des hommes étrangers à notre sol, à notre langage, à nos lois, à nos usages et à notre culte, fussent jamais capables de rendre au Canada ce qu'il venait de perdre en changeant de maîtres. Nation généreuse, qui...
Sayfa 455 - Venez, les bénis de mon père; j'ai été pauvre, j'ai été infirme, j'ai été prisonnier, et vous m'avez soulagé : ce que vous avez fait au plus petit de mes frères, c'est à moi que vous l'avez fait.
Sayfa 199 - ... tous se hâtent de faire leur fortune avant la perte de » la colonie, que plusieurs peut-être désirent comme un » voile impénétrable de leur conduite.
Sayfa 12 - Jem merais, capitaine qui avait six enfants et pas un sol de bien, en a usé envers cette famille en vrai père. Il s'est privé de son nécessaire pour élever ces enfants et leur donner toute l'éducation possible.
Sayfa 321 - qui joignait à toutes les vertus sociales des « connaissances profondes et étendues, qui tenait
Sayfa 153 - J'ai parlé souvent avec respect sur ces dépenses à M. de Vaudreuil et à M. Bigot; chacun en rejette la faute sur son collègue. » Dans une autre lettre du même jour, 12 avril 1759, écrite à M. le Normand, intendant des colonies, Montcalm lui signalait encore les voleries immenses des ingénieurs du pays dans les travaux de fortifications et sur la main-d'œuvre, voleries certifiées par M. de Pontlevoy, ingénieur du roi...
Sayfa 329 - Md* d'You" ville, ma tante. A la fin de la visite, M** d'Youville, " regardant le jeune de Bleury, lui dit en le touchant " légèrement sur l'épaule : Tu mourras prêtre, mon petit