...cette passion de quoi on embrasse les enfants H peine encore nés, n'ayant ni mouvement en l'urne, ni forme reconnaissable au corps par où ils se puissent rendre aimables Je ne les ai pas souffert volontiers nourris prés de moi. » Mais il a su se faire chérir des siens,...

...pratique. Montaigne n'aimait pas les enfants quand ils étaient encore en bas âge. « Je ne puis coûter cette passion, dit-il, de quoi on embrasse les enfants...paternelle dont on les entoure doit grandir aussi. El quand les enfants sont parvenus à l'âge d'être initiés aux choses de la vie, Montaigne veut...

...'Amyot's translation of Plutarch's letter was published the next year. 'Je ne puis goûter cette passion, de quoi on embrasse les enfants à peine encore nés,...au corps par où ils se puissent rendre aimables." Essais : Liv. II. 8. (»'. e., neanmoins) ont justement dequoy estre regrettées, a qui les perd apres...

...cet égoïsme. On lui a reproché la phrase suivante : « Je ne puis recevoir cette passion de quoy on embrasse les enfants à peine encore nés, n'ayant...au corps par où ils se puissent rendre aimables et ne les ai pas souffert volontiers nourrir près de moi1. » Or cette phrase, d'apparence égoïste,...

...poupon : « je ne puis recevoir cette passion de quoy on embrasse les enfants à peine encore nez, n'ayant ni mouvement en l'âme, ni forme reconnaissable...au corps, par où ils se puissent rendre aimables > (II, viii, De l'affection... 366)'. N'accusons point ici cette barbarie que Montaigne lui-même dénonce...