Les distractions de La Fontaine: le siècle de fer

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Société Libre d'Édition des Gens de Lettres, 1898 - 429 sayfa
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 384 - J'en use d'autre sorte, et me laissant guider, Souvent à marcher seul j'ose me hasarder. On me verra toujours pratiquer cet usage, Mon imitation n'est point un esclavage, Je ne prends que l'idée, et les tours et les lois, Que nos Maîtres suivaient eux-mêmes autrefois.
Sayfa 218 - Cette divinité , digne de vos autels , Et qui même en dormant fait du bien aux mortels , Par de calmes vapeurs mollement soutenue , La tête sur son bras, et son bras sur la nue , Laisse tomber des fleurs , et ne les répand pas ; Fleurs que les seuls zéphyrs font voler sur leurs pas.
Sayfa 425 - Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à compter sur quinze jours de vie. Voilà deux mois que je ne sors point, si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, comme j'en...
Sayfa 105 - Il ya en face un corps de logis à la moderne, que feu Monsieur a fait commencer: toutes ces trois pièces ne font, Dieu merci, nulle symétrie, et n'ont rapport ni convenance l'une avec l'autre; l'architecte a évité cela autant qu'il a pu. Ce qu'a fait faire François...
Sayfa 71 - Lorsque sur cette mer on vogue, à pleines voiles. Qu'on croit avoir pour soi les vents...
Sayfa 253 - II veut sur le théâtre, ainsi qu'à la campagne, La foule qui le suit, l'éclat qui l'accompagne : Grand en tout, il veut mettre en tout de la grandeur. La guerre fait sa joie et sa plus forte ardeur ; Ses divertissements ressentent tous la guerre : Ses concerts d'instruments ont le bruit du tonnerre, Et ses concerts de voix ressemblent aux éclats Qu'en un jour de combat font les cris des soldats.
Sayfa 290 - Irai-je en consumer les restes à me plaindre, Et, prodigue d'un temps par la Parque attendu, Le perdre à regretter celui que j'ai perdu ? Si le ciel me réserve encor quelque étincelle Du feu dont je brillais dans ma saison nouvelle, Je la dois employer, suffisamment instruit Que le plus beau couchant est voisin de la nuit.
Sayfa 292 - Si j'étais sage, Iris (mais c'est un privilège Que la nature accorde à bien peu d'entre nous), Si j'avais un esprit aussi réglé que vous, Je suivrais vos leçons, au moins en quelque chose : Les suivre en tout, c'est trop ; il faut qu'on se propose Un plan moins difficile à bien exécuter, Un chemin dont sans crime on se puisse écarter.
Sayfa 64 - Majesté : aussitôt les termes et les statues qui font partie de l'ornement du théâtre se meuvent, et il en sort, je ne sais comment, des Faunes et des Bacchantes qui font l'une des entrées du ballet. C'est une fort plaisante chose que de voir accoucher un terme, et danser l'enfant en venant au monde. Tout cela fait place à la comédie, dont le sujet est un homme arrêté par toute sorte de gens, sur le point d'aller18 à une assignation amoureuse.
Sayfa 253 - Quand j'entends le sifflet, je ne trouve jamais Le changement si prompt que je me le promets : Souvent au plus beau char le contre-poids résiste ; Un dieu pend à la corde, et crie au machiniste ; Un reste de forêt demeure dans la mer, Ou la moitié du ciel au milieu de l'enfer.

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