L'esprit de l'Eglise, ou Considérations philosophiques sur l'histoire des conciles, depuis les apôtres jusqu'au grand schisme entre les Grecs et les Latins: sous l'empire de Charlemagne, 1. cilt

Ön Kapak
 

İçindekiler

Diğer baskılar - Tümünü görüntüle

Sık kullanılan terimler ve kelime öbekleri

Popüler pasajlar

Sayfa 254 - Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, engendré du Père, c'est-àdire de la substance du Père; Dieu de Dieu, lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu; engendré et non fait, consubstantiel au Père; par qui...
Sayfa 104 - II, in psalm. 5o), qu'il faut se confesser à Dieu, qui sait tout, et qui ne reproche jamais les fautes qu'on lui a révélées : « Je ne veux pas, ajoute-t-il, forcer « les hommes à découvrir leurs péchés à d'autres hommes.
Sayfa 254 - Dieu, engendré par le Père, c'est-à-dire de la substance du Père ; Dieu de Dieu, et lumière de lumière; Dieu véritable de Dieu véritable; engendré et non fait; consubstantiel au Père; par lequel toutes choses ont été faites au ciel et sur la terre; qui est descendu, s'est incarné , et s'est fait homme pour nous et pour notre salut ; qui a souffert ; qui est ressuscité le troisième jour; qui est monté au ciel ,. et qui viendra juger les vivans et les morts.
Sayfa viii - ... usurpations, soit d'une part, soit de l'autre, sont toujours punies, et tour à tour le despotisme désorganisé par la révolte, ou l'anarchie foulée aux pieds par la force brutale. (*) « La corruption des mœurs a été si grande, dit Bayle, tant parmi ceux qui ont vécu dans le monde que parmi ceux qui ont vécu hors du monde , que. plus on s'attache à donner des relations fidèles et véritables, plus on court risque de ne composer que des libelles diffamatoires.
Sayfa 253 - Nous croyons en un Dieu , père tout-puissant , qui a fait toutes les choses visibles et invisibles : et en un Seigneur Jésus-Christ, fils unique de Dieu, engendré par le Père, c'est-à-dire de la substance du Père ; Dieu de Dieu, et lumière de lumière; Dieu véritable de Dieu véritable; engendré et non fait; consubstantiel au Père; par lequel toutes choses ont été faites au ciel et sur la terre; qui est descendu, s'est...
Sayfa xiv - MON but principal a été d'écrire philosophiquement l'histoire politique de l'église, c'est-àdire de dévoiler les moyens dont se sont servis les divers clergés , les conciles et les papes pour fonder une théocratie universelle sur tous les peuples du monde civilisé; mais je n'ai pas dû pour cela négliger l'histoire du despotisme religieux que , pour arriver plus sûrement à ses fins , l'église vouloit en même temps établir sur les actions et les consciences de tous les fidèles. Quoique...
Sayfa xxvi - ... n'annoncer que de la théologie. » J'alléguerai pour excuse, outre la fatale confusion des deux pouvoirs, confusion dont il faut accuser , non les philosophes qui l'ont signalée mais les prêtres qui l'ont fait naître et qui l'entretiennent; j'alléguerai, dis«-je, la nécessité de donner à ces Considérations le degré d'utilité dont elles étoient susceptibles, en les dirigeant vers le but qui aujourd'hui n'est plu
Sayfa 3 - Françoise et de l'empire , je suis très-loin de croire que j'y ai épuisé cette intéressante matière ; il auroit fallu pour cela que je me fusse tracé un plan plus vaste que je n'ai fait, et que j'eusse eu les moyens de le bien remplir. Je n'ai eu d'autre projet dans cet ouvrage, que de présenter philosophiquement les époques de l'histoire ecclésiastique les plus défigurées par la partialité , c'est-à-dire les...
Sayfa iii - ... d'entre eux qui n'ont osé être vrais en quelques endroits de leurs ouvrages, qu'en adoptant les détours et les restrictions du mensonge; cette lecture est devenue sans intérêt. On aime mieux ignorer les faits que d'en être mal instruit. Cependant, la connoissance exacte de l'histoire ecclésiastique renferme des leçons de tous les genres, que l'on ne sauroit assez méditer, et dont l'application est d'une utilité incontestable.
Sayfa xxvi - ... latin. seulement, les passages qui offrent des détails dont la langue Françoise feroit trop ressortir l'indécence. Mais, le reproche que quelques personnes me » feront avec le plus d'aigreur ( car, c'est malheureusement l'esprit de parti plutôt que l'esprit de critique qui préside à l'examen des ouvrages modernes ), ce sera celui d'avoir ajouté des réflexions politiques à la narration de faits qui semhloient n'annoncer que de la théologie.

Kaynakça bilgileri