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conscience gyve any contrary advise, I may.. be spared

to intermeddle therin:» Queen Eliz. Times, I. P. 24. p. 128. l. 1.M. de la Chaux. Apparemment le fils de celui qui fut Grand-Ecuyer de Charles-Quint.

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p. 153. l. 20. el Principe en Sicilia. Lors de ses démarches pour parvenir à l'Empire, Charles-Quint avoit fait

pro

mettre la vice-royauté de Naples à Frédéric Comte Palatin: «er ward däfur durch die Stelle eines kaiserlichen >Statthalters bei dem Reichsregiment entschädigt:» Ranke, Deutsche Gesch. I. p. 451.

p. 215. 1. 8. leeche. Ainsi Le Duc Christophe de Wurtemberg écrit au Rhingrave, qui étoit au service de France: im >>Reich erschallt ein gemeines Geschrey, als solle dein > Herr mit dem Pabst laichen :» Pfister, Herz. Christoph, I. p. 326.

p. 247. l. 17. Morillon: «jam dudum in Cardinalis amicitiam familiamque transierat, magnamque eâ ratione auctoritatem » apud Cardinalem invenerat, quod prudentiae atque eru»ditioni singularem atque indefessum in rebus agendis labo»>rem conjunxisset: » v. d. Haer, de init. tumult. p. 259. p. 284. 1. zu post. «stationariis equis sive postâ, ut dicimus : » Languet, Epp. secr. II. 152.

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p. 302. 1. avantdern. angaries. «Jus Angariarum et Parangia»rum: vulgo Belgice Hand- en Spandiensten: (Kluit,

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Primae Lineae Collegii Dipl. hist. politici, p. 73.)

p. 308. 1. dern. Utrecht. Habuere Trajectenses Brederodium >> vicinum infestissimum, cui summo conatu restiterunt, connivente colludenteque Principe Orangiae tunc tem>>poris eorum Gubernatore, nec quicquam ipsis deësse >> conqueruntur quam justum judicem: » Viglius ad Hopper. p. 571.

p. 423. l. 16. bougette.

Ainsi dans une Lettre de la Gouvernante Marguerite de Bourgogne: «Ce jourd'hui est venue la bagette d'Espagne, par laquelle j'ay receu lettres du Roy:» Mone, Anzeiger für Kunde der teutschen Vorzeit, 1836, p. 121.

p. 435. l. 8. P. S. de la Lettre cxIx.

Post data ist angekommen Monsieur de Marnet, kompt von der flot, zeigt an wie er sie zu Douvres verlassen, und acht man sie sollen als heut in Seeland ankommen; wird von nöten sein, wo E. L. mit und bey sein wollen, das Sie sich gar nichts saumen, sonder auffs fürderlichst die reise an die hand nemen, dan nhunmehr kein verzug bey dem handel sein will... Datum ut in literis.

TRADUCTION

DES PASSAGES EN ESPAGNOL'.

p. 35. l. 26. ... Et puis il y a l'émulation que v. M. sait, entre Mad. de Lorraine et Mad. de Parme; le mieux sera de les tenir séparées, parceque ces allées et venues et réunions ne peuvent donner aucun bon fruit; maintenant elle va en Lorraine; nous verrons quelle détermination elle prendra, et si elle laissera ses filles dans quelqu'endroit de ces Etats, ou si elle les amènera avec soi; mais certes, quelque part ́qu'elle puisse être, elles y seroient mieux qu'ici, et elle et ses filles, pour le service de v. M.

p. 52. 1. 14. L'affaire de la religion va, comme v. M. verra par les Lettres de Madame; elle fait ce qu'elle peut; dans quelques ministres elle désireroit voir plus de chaleur; et v. M. ne sauroit croire le bon effet que produit la recommandation si fréquente et si expresse de ces choses dans ses Lettres sur les affaires d'Etat; et ce que v. M. a écrit au Chancelier de Brabant n'a pas été inutile, et je supplie aussi v. M. de vouloir donner souvent des avertissements et de si vifs coups d'épérons par ses Lettres, ce dont nous ferons notre profit, autant que faire se pourra.

Ce mariage du Prince d'Orange me fait de la peine et j'aurois

1 Plusieurs endroits dont je n'aurois pas réussi à découvrir le sens, m'ont été expliqués, avec une obligeance extrême, par M. le Chevalier DE BAZO, Chargé d'affaires du Gouvernement actuel de l'Espagne. La traduction est à peu près littérale. J'ai laissé en blanc les passages que je n'ai pas compris.

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beaucoup souhaité qu'il en eût parlé ici, avant d'en écrire à v. M., mais il doit savoir pourquoi il ne l'a pas fait : à la verité, je n'ai jamais vu chose en laquelle il m'ait donné mauvais soupçon de sa personne, plutôt le contraire; mais, ni pour l'Etat, ni pour la religion, j'eusse désiré qu'il se fût mis dans cette position; et v. M. verra, par la longue Lettre qu'on lui écrit là dessus, ce qui s'est passé, à quoi jc m'en remets.

p. 53. 1. 4. Quant à la religion, Madame se donne beaucoup de peine, et tous ceux du Conseil ; et certes, par dessus tous les autres, le Prince d'Orange et M. d'Egmont ont montré en tout ce qui a pu se connoître jusqu'à maintenant, une très-bonne volonté, et en cela l'on continue à pourvoir le plus possible aux désordres qui ont lieu et à punir ce qu'on peut. J'ai quelque espérance que le Prince d'Orange ne passera pas outre en cette affaire du mariage.

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p. 57. 1. 3. En quel mauvais état la Reine d'Angleterre se trouve pour entreprendre et tenter des choses nouvelles, et comme la Reine eût bien fait de ne pas entrer dans les nouveautés dans lesquelles elle est entrée, et de se marier avec quelqu'un qui eût eu du pouvoir pour la maintenir, et en se souvenant des conseils que v. M. lui avoit donnés et de l'obligation qu'elle lui avoit pour cela, et pour lui avoir sauvé la vie, et avoir été principalement cause de ce qu'elle a succedé à la Couronne; et du péril dans lequel elle se mettroit, si venant aux mains avec les François, ceux-ci gagnoient une bataille.

p. 57.1 12. Ce qui pour le moment presse le plus, est, si, ne sachant la Reine d'Angleterre prendre parti, et ne tenant pas conseil, et ne prenant pas celui qui seroit nécessaire pour arranger ses affaires, il surgissoit quelque révolte dans son royaume même, dont les François profiteroient pour mettre le pied en Angleterre et s'y affermir; ce qui seroit, sans aucun remède, notre extrême ruine; comme v. M. le sait mieux que moi. Et il est très-clair que, s'ils réussissoient dans une sédition pareille et que v. M. ne tâchoit pas d'y mettre la main, les auteurs, qui seroient apparemment Catholiques, auroient recours aux François; lesquels je crois eussent déjà essayé de causer là quelque trouble et de mettre le pied sur l'île de Wicht, ou dans quelque port de l'Angleterre, si v. M. n'avoit pas si expressément ordonné de dire à l'Evêque de Limoges que v. M. ne souffrira pas que les Fran

çois s'emparent de l'Angleterre, comme aussi a été dit ici à M. de la Forest; et, si les François n'eussent été si bas, tant à cause des troubles intérieurs que pour avoir été affoiblis par les guerres passées, qu'ils doivent craindre de donner occasion à v. M. de mouvoir quelque chose contr'eux, ce qui seroit leur ruine, je tiens pour certain qu'ils n'eussent tant tardé. Dans l'affaire des Evêques ici, la prompte résolution de v. M. est nécessaire, vû que les oppositions se renforcent chaque jour à Rome, comme l'Ambassadeur Vargas l'aura écrit à V. M., lequel est là, soit qu'il reste ambassadeur, soit dans un autre poste, un ministre très-utile de v. M. pour les affaires qui se peuvent offrir; d'autant plus que le Cardinal de Siguença est absent et qu'il (Vargas) est si docte et habile, et s'est occupé depuis tant d'années

des affaires de l'Italie. 20 Mai 60.

p. 61.1.9. J'ai eu avec son Alt. une conférence touchant la demeure des Espagnols ici: et l'on a tenté toutes les voies humainement possibles; mais enfin je ne vois nul expédient ni moyen par lequel, sans mettre ces Etats en péril manifeste de révolte subite, on puisse différer l'exécution de leur départ, si la saison le permet.

Jusqu'à présent, par le sage gouvernement de Madame, les affaires sont à l'extérieur fort pacifiques, et, quant à la démonstration extérieure, le point de la religion commne lorsque v. M. étoit ici; et l'on ne s'apperçoit pas de quelque plus grand mal en cela parmi la Noblesse ni aussi dans la généralité du peuple, qu'il n'y en avoit alors: et ceux qui sont entachés' s'absentent et prennent la fuite; ce qui n'est pas mauvais signe. Je ne dis pas que, si les révoltes en France eussent continué, les affaires ici n'eussent pu recevoir de l'altération, ou bien aussi que nous ne pourrions l'avoir chez nous sans cela, d'autant plus que nous sommes si affoiblis et nécessiteux, comme v. M. sait, ce qui par fois nous fait perdre et le courage et l'espoir.

Le Prince d'Orange et le Cte d'Egmont déclarent avec force que, quand même ils auroient la meilleure volonté du monde de servir v. M. en cette affaire, en gardant encore le commandement des Espagnols, ils n'oseroient l'entreprendre, en cas que ces troupes retournassent; pour ne pas perdre et leur crédit et leur réputation auprès des Etats, avec lesquels ils doivent vivre; et la première chose que

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feroient les villes fortes seroit de fermer les portes et de désobéir à Madame, en tout ce qui là dessus leur auroit été commandé; perdant ainsi tout d'un coup toute retenue, et se rendant ainsi coupable de délit.

p. 63. 1. 23. Puisque je n'ai plus rien entendu concernant cette affaire du mariage du Prince d'Orange, cela n'a pas dû se passer comme vous m'avez écrit que vous aviez espoir que cela se passeroit; et certes je m'en serois fort réjoui.

p. 63. 1. 27. Le Prince d'Orange s'étonne de ce que depuis tant de mois v. M. a répondu quant à son mariage avec la fille de Maurice, disant qu'elle n'y répond point, vù qu'elle estime que la démarche a cessé, laquelle il dit être encore sur pied, et qu'il espère la réponse sur ce dont il a dit vouloir être avant tout informé; savoir, quelle seroit la volonté de la demoiselle quant à la religion; et ceci sera seulement pour que v. M. sache ce qui se passe, puisque Madame a écrit si amplement les considératious qu'il y a sur ce sujet.

p. 64.1.8. Vous m'avez écrit que vous espériez que l'affaire du mariage du Prince d'Orange ne passeroit pas outre. Et pour cette cause, et parceque je voyois qu'on n'en écrivoit plus, j'ai cru pour sûr que cela avoit cessé; de quoi je me réjouissois beaucoup, vû que c'eût été mieux et que ce que j'eusse tant désiré eût été fait. Mais si néanmoins la chose a eu lieu, je ne sais qu'en dire, mais je le remets à ma soeur, qui, puis qu'elle est à proximité, verra mieux ce qui pourra se faire en cela, ou si l'on pourra encore y mettre obstacle, et quand il n'y aura d'autre remède, (pourra) donner la permission; mais quand cela sera fait, le mieux seroit de l'observer, parceque je ne sais comment le Prince a pu trouver bon de se marier avec la fille de celui qui a traité sa M. de glorieuse mémoire, comme (a fait) le Duc Maurice.

il se

p. 64. 1. 21. J'eusse désiré que ce voyage du dit Prince eût pu être évité, et de même celui de beaucoup d'autres de ces (membres des) Etats que le Comte a invité: mais il est si ferme en cela que l'on ne pourroit y contredire sans quelque scandale, et, à ce que je vois, i détermine à partir sous peu, vu que les nôces seront en novembre. Là le Prince pense qu'on reviendra à parler du mariage, et il dit que, quand même v. M. ne s'y fût pas entremise, jamais, pour sa propre

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