Religions de l'antiquité: considérées principalement dans leurs formes symboliques et mythologiques ; ouvrage, 1. cilt,1. sayı

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Treuttel et Würtz, 1825 - 262 sayfa
 

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Sayfa 30 - On voit maintenant ce qui fait la différence du symbole et de l'allégorie. Celle-ci ne fait qu'indiquer une idée générale , distincte d'avec elle ; tandis que le symbole est l'idée même, rendue sensible et personnifiée. L'allégorie n'a rien d'instantané, ni de soudain; on la voit, puis l'on y cherche un sens caché : le symbole > au contraire , ne demande qu'un coup d'œil pour que l'idée qu'il représente nous saisisse sur-le-champ et s'empare de toutes les forces de notre âme. Ici ,...
Sayfa 277 - Phaedon. , p. aïo. même principe, sont répandus dans tout l'univers, et l'univers n'est autre chose qu'une grande manifestation du Très-Haut, où mille et mille formes de la substance unique circulent, se permutent, passent de la vie à la mort et de la mort à une vie nouvelle, où les dieux, les hommes et les mondes, les créations et les destructions...
Sayfa 7 - tout est l'image de la Divinité », se résout en principe dans leur plus ancienne croyance, dont le polythéisme fut la première expression. Et quand la spéculation métaphysique, parvenue, vers la fin de l'Antiquité, à son plus haut résultat, posa cet autre axiome : « la nature, par la voie des symboles, produit sous des formes visibles ses invisibles conceptions, et la divinité se plaît à manifester par des images sensibles la vérité des idées...
Sayfa 30 - ... seulement, tend à se confondre avec le symbole. C'est un champ ouvert aux combinaisons de l'esprit, et où la réflexion s'exerce librement pour développer des idées par des images qui leur conviennent. Ainsi l'allégorie a une allure plus libre; elle laisse place à la réflexion, pendant que le symbole maîtrise l'âme et lui commande avec la voix puissante de la nature et .de la nécessité.
Sayfa 191 - ... la cinquième en a deux , la sixième trois , la septième sept, et enfin la huitième réunit les seize degrés qui font une incarnation complète. Si l'on ajoute (je ne sais trop sur quel fondement) Mohani-Maya (ci-dessous, p.
Sayfa 38 - Par un effet nouveau de ces mêmes impressions, ils ne trouvaient, pour rendre leurs pensées, que des images empruntées à la nature ; et de là cette foule de récits où l'on voit figurer et agir, sous les traits et avec les facultés de l'homme, soit un élément physique, soit un phénomène naturel remarquable en soi. La langue aussi fut une mère féconde de dieux et de héros.
Sayfa 290 - Mais le divin prophète vint à leur secours, il confondit les faux docteurs autant par sa science que par sa force, et les contraignit à lui rendre hommage. Alors le bruit de sa vocation commença à s'étendre, et la doctrine de salut qu'il apportait, prêchée de toutes parts, prévalut peu à peu dans l'Hindoustan. On dit qu'avant sa mort, arrivée à l'âge de quatre-vingts ans, il annonça que sa doctrine en durerait cinq mille, mais qu'elle serait proscrite dans l'Inde, son berceau; que ses...
Sayfa 14 - Mais ce qu'il importe de remarquer, c'est que la sagesse de ces temps-là dominait et façonnait à la fois les esprits grossiers de la multitude par l'autorité de paroles et d'images également sensibles, auxquelles les Grecs appliquèrent indifféremment, dans la suite, le nom si riche et si divers de symbole. Ainsi, dans la haute Antiquité, toute religion, tout culte, toute instruction morale ou philosophique se produisait sous la forme de symbole et d'emblème. Mais, si nous voulons une théorie...
Sayfa 99 - Gyrène aux rivages de la Libye 3. Un phénomène également fort remarquable , c'est la liaison prolongée des oracles de la Grèce avec ceux des contrées étrangères, particulièrement avec les oracles des Branchides et d'Ammonium. Au reste, les premiers, comme on le voit par l'histoire du roi lydien Crésus, et par nombre d'exemples semblables, étendaient leur influence avec leur renommée bien au delà des limites de la patrie.
Sayfa 279 - Les âmes , dans le cours fatal de leurs migrations , parcourent incessamment tous les corps. Non-seulement rien , dans la nature , n'est absolument inanimé; mais toutes les sphères, tous les mondes , tous les règnes , jusqu'aux plantes et aux pierres elles-mêmes, sont peuplés d'esprits déchus d'une noble origine, et qui sans cesse tendent à y retourner. L'univers entier, sous ce point de vue, est comme un vaste purgatoire '. ; } |La doctrine morale des Hindous présente deux aspects divers...

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