| 430 sayfa
...mien. Quand je l'épousai, je savais ce que je faisais. Sa dot n'était pas grosse, mais cela m 'allait comme une bague au doigt. Pour faucher ses prés,...traverse , pas de charrette cassée, pas de bœuf estiopié dans les ornières, on allait et venait de mon grenier à son champ , comme de ma chambre... | |
| 1835 - 794 sayfa
...femme , les choses iraient tout autrement. Figure-toi que le bien de Louise se trouve enchevêtré dans le mien. Quand je l'épousai, je savais bien ce que je faisais. Sa dote n'était pas grosse , mais cela m'allait comme une bague an doigt. Pour faucher ses prés , il... | |
| George Sand - 1838 - 620 sayfa
...femme, les choses iraient tout autrement. Figure-toi que le bien- de Louise se trouve enchevêtré dans le mien. Quand je l'épousai, je savais bien...pas grosse, mais cela m'allait comme une bague au doigl. Pour faucher ses prés, il n'y avait qu'un fossé à sauter ; pour serrer ses moissons, il n'y... | |
| Louis Blanc - 1850 - 254 sayfa
...femme, les choses iraient tout autrement. Figure-toi que le bien de Louise se trouvait enchevêtré dans le mien. Quand je l'épousai, je savais bien...qu'un fossé à sauter; pour serrer ses moissons, H n'y avait pas de chemin de traverse, pas de charrette cassée, pas de bœuf estropié dans les ornières;... | |
| Louis Blanc - 1866 - 822 sayfa
...femme, les choses iraient tout autrement. Figure-toi que le bien de Louise se trouvait enchevêtré dans le mien. Quand je l'épousai, je savais bien...Pour faucher ses prés, il n'y avait qu'un fossé ;'i sauter; pour serrer ses moissons, il n'y avait pas de chemin de traverse, pas de charrette cassée,... | |
| George Sand - 1869 - 288 sayfa
...femme, les choses iraient tout autrement. Figure-toi que le bien de Louir-e se trouve enchevêtré dans le mien. Quand je l'épousai, je savais bien...serrer ses moissons, il n'y avait pas de chemin de traverseras de charrette cassée, pas de bœuf estropié dans les ornières ; on allait et venait de... | |
| Jean Joseph Louis Blanc - 1880 - 686 sayfa
...femme, les choses iraient tout autrement. Figure-toi que le bien de Louise se trouvait enchevêtré dans le mien. Quand je l'épousai, je savais bien...m'allait comme une bague au doigt. Pour faucher ses près, il n'y avait qu'un fossé à sauter ; pour serrer ses moissons, il n'y avait pas de chemin de... | |
| |