Religions de l'antiquité, considérés principalement dans leurs formes symboliques et mythologiques, 1. cilt,1. sayı

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Treuttel et Würtz, 1825
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 321 - La première de ces contrées est fameuse par ses sources de naphthe, et le sol y est chargé de substances résineuses. Le bitume y flotte à la surface des lacs, et souvent, quand il s'allume et qu'au milieu d'une nuit obscure on le voit tout à coup s'échapper en flammes brillantes, il offre un spectacle bien fait pour exalter l'imagination : des hommes grossiers encore et peu capables de remonter aux causes physiques devaient voir dans ces apparitions soudaines une manifestation immédiate de...
Sayfa 261 - D'ailleurs, pour la plupart, leurs véritables résidences ne sont-elles pas aux cieux? leurs fonctions, de présider au temps et à ses différentes divisions, de conduire la marche de l'année, des mois, des saisons et des jours? Et, pour ceux qui habitent les enfers, leur exacte corrélation, leurs luttes perpétuelles avec les habitans des cieux, cette opposition même des fils de la lumière et des enfans des ténèbres; enfin les Richis, les...
Sayfa 16 - Mais ce qu'il importe de remarquer, c'est que la sagesse de ces temps-là dominait et façonnait à la fois les esprits grossiers de la multitude par l'autorité de paroles et d'images également sensibles, auxquelles les Grecs appliquèrent indifféremment, dans la suite, le nom si riche et si divers de symbole. Ainsi, dans la haute antiquité, toute religion, tout culte, toute instruction morale ou philosophique se produisait sous la forme de symbole et d'emblème. Mais, si nous voulons une théorie...
Sayfa 154 - ... l'être par excellence, se révélant dans la félicité et dans la joie. Le monde est son nom , son image; mais cette existence première qui contient tout en soi, est seule réellement subsistante. Tous les phénomènes ont leur cause dans Brahm; pour lui, il n'est limité ni par le temps, ni par l'espace; il est impérissable, il est l'âme du monde, l'âme de chaque être en particulier. • Cet univers est Brahm , il vient de Brahm, il subsiste dans Brahm et il retournera dans Brahm.
Sayfa 380 - Alors vint l'opposition et la lutte, le combat de la lumière et des ténèbres, du bien et du mal. Ce combat, comme l'opposition dans laquelle seule le monde subsiste, est fini , de même que le monde. A la fin de la grande année, il se terminera dans l'amour et par sa médiation. Cet amour, ce médiateur, c'est Mitra -Mithras.
Sayfa 9 - , se résout en principe dans leur plus ancienne croyance, dont le polythéisme fut la première expression. Et quand la spéculation métaphysique, parvenue, vers la fin de l'Antiquité, à son plus haut résultat, posa cet autre axiome : « la nature, par la voie des symboles, produit sous des formes visibles ses invisibles conceptions, et la divinité se plaît à manifester par des images sensibles la vérité des idées...
Sayfa 181 - ... le père des mondes, y prit naissance par sa propre énergie '.... Ce dieu étant demeuré une année entière dans l'œuf divin (qui flottait sur les eaux), à la fin, par sa seule pensée, il le divisa en deux parties égales : de ces deux moitiés il forma le ciel et la terre , plaçant au milieu l'éther subtil, les huit régions du monde et le réceptacle permanent des eaux.
Sayfa 75 - Dieu créateur, sous la figure d'un_ hermaphrodite , avait à sa droite le soleil , à sa gauche , la lune; sur ses deux bras étendus en croix, on voyait une multitude d'anges ( ou génies ) , et les différentes parties du monde, le ciel, les montagnes, la mer, le fleuve (Gange) , l'Océan , les plantes , les animaux , la nature entière...
Sayfa ix - ... point encore là sans doute le dogme philosophique qui fait de l'univers un grand animal, encore moins la doctrine sublime de l'âme du monde ; mais peut-être en est-ce le germe déposé au fond du cœur de l'homme, et qui ne peut manquer de s'y développer. De là ces opinions populaires, que tout a vie dans le monde matériel, que tous les corps sont animés, que la pierre elle-même n'est point morte, et vit à sa manière. Bientôt l'imagination s'empare de ce panthéisme grossier, elle...
Sayfa 184 - VII, 43, et l'Explic. des pi. (JDG) déroba les védas qui avaient coulé de sa bouche. Satyavrata régnait dans ce temps-là : c'était un serviteur de l'esprit qui marche sur les eaux, si pieux que les eaux faisaient sa seule nourriture. Un jour que ce prince s'acquittait de ses ablutions dans la rivière...

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