Jacob dévoient visiter mon sommeil; mais je n'irois plus chercher une terre nouvelle qui n'a point été déchirée par le soc de la charrue ; il me faut à présent de vieux déserts qui me rendent à volonté les murs de Babylone ou les légions de... Oeuvres complètes - Sayfa 87François-René vicomte de Chateaubriand tarafından - 1831Tam görünüm - Bu kitap hakkında
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1811 - 386 sayfa
...serts qui me rendent à volonté les murs d« Babylone, ou les légions de Pharsale , grandia ossai des champs dont les sillons m'instruisent , et où...les sueurs de l'homme. . . Joseph me réveilla le i9 , à trois heures du matin , comme je le lui avois ordoaniié : nous sellâmes nos chevaux, et nous... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1812 - 454 sayfa
...sommeil ; mais je n'irois plus chercher une terre nouvelle qui n'a point été déchirée par le soe de la charrue ; il me faut à présent de vieux déserts...larmes et les sueurs de l'homme. Joseph me réveilla le 19,3 trois heures du matin , comme je le lui avois ordonné : nous sellâmes nos chevaux , et nous... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1822 - 432 sayfa
...qui nous porte incessamment aux chimères , îpsi slbi sornnia fingunt; mais, dans un âge. plus mur, l'esprit revient à des goûts plus solides : il veut...larmes et les sueurs de l'homme. Joseph me réveilla le i9, à trois heures du matin, comme je le lui avois ordonné : nous sellâmes nos chevaux, et nous... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 456 sayfa
...l'histoire. Je dormirois encore volontiers ;iu bord de l'Eurotas ou du Jourdain, si les ombres héroïques de trois cents Spartiates, ou les douze fils de Jacob...larmes et les sueurs de l'homme. Joseph me réveilla le \ 9 , à trois heures du matin , comme je le lui avois ordonné : nous sellâmes nos chevaux , et nous... | |
| François René vicomte de Chateaubriand - 1829 - 430 sayfa
...déserts qui me rendent à volonté les murs de Babylone, ou les légions de Pharsale, grandia ossal des champs dont les sillons m'instruisent, et où...suis, le sang, les larmes et les sueurs de l'homme. regard sur l'Eurotas : je ne pouvois me défendre de ce sentiment de tristesse qu'on éprouve en présence... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 402 sayfa
...Jourdain , si les ombres héroïques des trois cents Spartiates ou les douze fils de Jacob dévoient visiter mon sommeil; mais je n'irois plus chercher...sellâmes nos chevaux et nous partîmes. Je tournai la tète vers Sparte, et je jetai un dernier regard sur l'Eurotas : je ne pouvois me défendre de ce sentiment... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1838 - 618 sayfa
...déserts qui me rendent à volonté les murs de Babylone ou les légions de Pharsale , grandin otsa ! des champs dont les sillons m'instruisent , et où...sellâmes nos chevaux , et nous partîmes. Je tournai la tète vers Sparte, et je jetai un dernier regard sur l'Eurotas : je ne pouvois me défendre de ce sentiment... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1843 - 768 sayfa
...des trois cents Spartes ou les douze fils de Jacob dévoient visiter mon sommeil; mais je if ¡rois plus chercher une terre nouvelle qui n'a point été...que je suis, le sang, les larmes et les sueurs de 1 homme. tête vers Sparte , et je jetai un dernier regard sur l'Eurotas : je ne pouvois me défendre... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1848 - 456 sayfa
...déserts qui me rendent à volonté les murs de Babylonc ou les légions de Pharsale, gmndia ossa! dos champs dont les sillons m'instruisent, et où je retrouve,...réveilla le 19, à trois heures du matin, comme je le lui avais ordonné : nous sellâmes nos chevaux et nous partîmes. Je tournai la tête vers Sparte, et... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1852 - 396 sayfa
...des trois cents Spartiates ou les douze fils de Jacob devaient visiter mon sommeil ; mais je n'irais plus chercher une terre nouvelle qui n'a point été...Joseph me réveilla le 19, à trois heures du matin, nomae je le lui avais ordonné : nous sellâmes nos chevaux, et nous partîmes. Je tournai la tête... | |
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