| Hippolyte Taine - 1894 - 290 sayfa
...commodes. — Nous avons tous connu, dans notre enfance, des intérieurs semblables ; il ya soixante ans, dans la petite noblesse, comme dans la bourgeoisie...avec cent louis par an, quelquefois avec cinquante. On se contentait d'une servante unique, payée trois francs par mois, en sabots, qui ne parlait que... | |
| 1894 - 648 sayfa
...Taine dans son discours de réception à l'Académie Française : « Il ya soixante ans, disait-il, dans la petite » noblesse comme dans la bourgeoisie...on n'avait » point de curiosités; on ne songeait point à voyager ; le corps, » moins délicat, ne redoutait pas le malaise ; l'esprit, moins » exigeant... | |
| 1895 - 1024 sayfa
...d'ici, à Vouziers, Taine va vous le dire en quelques ligues inoubliables : « Un ne s'iuquiétail ni d'élégance, ni de confortable ; on était dur...n'éprouvait pas l'ennui. Une famille entière vivait evrc cent louis par au, quelquefois avec cinquante. On se contentait d'une servante unique, payée... | |
| Léon Frémont - 1895 - 1028 sayfa
...quelques lieuet» d'ici, à Vouziers, Taine va vous ie dire eu quelques lignes inoubliables : <t Ou lie s'inquiétait ni d'élégance, ni de confortable ; on était dur aux intempéries, on n'avait poiut de curiosités ; on ne songeait pas à voyager ; lu corps, moius délient, ne redoutait pas le... | |
| 1894 - 650 sayfa
...Taine dans son discours de réception à l'Académie Française : « Il ya soixante ans, disait-il, dans la petite » noblesse comme dans la bourgeoisie...on n'avait » point de curiosités; on ne songeait point à voyager ; le corps, » moins délicat, ne redoutait pas le malaise ; l'esprit, moins » exigeant... | |
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