Œuvres complètes de P. J. de Béranger, 3. ciltH. Fournier aîné, 1837 |
Diðer baskýlar - Tümünü görüntüle
Sýk kullanýlan terimler ve kelime öbekleri
accusation amis arrêt avocats ayant pour titre baisez Baudouin Berville cause censure chanson ayant chanson intitulée chansonnier Chantres de paroisse charité Charles X Chypre ciel cœur Colibri condamnation cordon coupable couplet cour d'assises dansez débats défense délits diable en falbala Dieu Dupin Émile Debraux enfants gaîté gloire Gotton grace hélas homme île Maurice imprimer j'ai Jeanne-la-Rousse jugement justice l'accusation l'arrêt de renvoi l'auteur l'avocat Lève-toi liberté loi du 17 long-temps Louis XII Marchangy ménétrier de Meudon messieurs les jurés ministère public Missionnaires monsieur l'avocat-général Monsieur le président morale publique morale religieuse Nostradamus offense outrage par-ci par-là passé pauvre pensée personne peuple est partout Pierre-Jean de Béranger pleurez poëte prescription prévenu procès Psara publique et religieuse qu'un réimpression religion de l'état réquisitoire rien rois sacre serait seul sieur de Béranger soldat bleu talent tion tombeau Trala tribunal trône Vieux Drapeau Voici venir l'huissier Voilà voix
Popüler pasajlar
Sayfa 367 - Un Mort s'en allait tristement S'emparer de son dernier gîte; Un Curé s'en allait gaiement Enterrer ce Mort au plus vite.
Sayfa 258 - Mais dans Paris, plaidons : c'est là notre partage. Tes bénédictions dans le trouble croissant, Tu pourras les répandre et par vingt et par...
Sayfa 140 - Combien de temps une pensée, Vierge obscure, attend son époux ! Les sots la traitent d'insensée ; Le sage lui dit : Cachez-vous. Mais, la rencontrant loin du monde, Un fou qui croit au lendemain L'épouse ; elle devient féconde Pour le bonheur du genre humain.
Sayfa 257 - La déesse en entrant, qui voit la nappe mise, Admire un si bel ordre et reconnaît l'Eglise, Et, marchant à grands pas vers le lieu du repos, Au prélat sommeillant elle adresse ces mots :
Sayfa 27 - Sans vieillir, accablé de jours , La fin du monde est mon seul rêve. Chaque soir j'espère toujours ; Mais toujours le soleil se lève. Toujours, toujours, (bu:} Tourne la terre où moi je cours , Toujours, toujours, toujours, toujours.
Sayfa 128 - Que me font vos vins et vos blés , Votre gloire et votre industrie , Et vos orateurs assemblés? Dans vos murs ouverts à ses armes, Lorsque l'étranger s'engraissait, Comme un sot j'ai versé des larmes. Vieux vagabond, sa main me nourrissait. Comme un insecte fait pour nuire , Hommes, que ne m'écrasiez-vous? Ah! plutôt vous deviez m'instruire A travailler au bien de tous. Mis à l'abri du vent contraire , Le ver fût devenu fourmi. Je vous aurais chéris en frère. Vieux vagabond, je meurs votre...
Sayfa 162 - Humanité, règne! Voici ton âge, Que nie en vain la voix des vieux échos. Déjà les vents au bord le plus sauvage De ta pensée ont semé quelques mots. Paix au travail ! Paix au sol qu'il féconde ! Que par l'amour les hommes soient unis : Plus près des cieux qu'ils replacent le monde ; Que Dieu nous dise : Enfants, je vous bénis.
Sayfa 297 - Sur mon honneur et ma conscience, devant Dieu et devant les hommes, la déclaration du jury est : Oui, l'accusé..., etc. Non, l'accusé..., etc.
Sayfa 110 - Chateaubriand, pourquoi fuir ta patrie , Fuir son amour, notre encens et nos soins ? N'entends-tu pas la France qui s'écrie : Mon beau ciel pleure une étoile de moins...
Sayfa 127 - J'espérais voir de ma détresse ^ •'<"" L'hôpital adoucir la fin ; Mais tout est plein dans chaque hospice, Tant le peuple est infortuné ! La rue, hélas ! fut ma nourrice : Vieux vagabond, mourons où je suis né. Aux artisans, dans mon jeune âge, J'ai dit : Qu'on m'enseigne un métier. Va, nous n'avons pas trop d'ouvrage, Répondaient-ils, va mendier.