Lamartine, 1. ciltCalmann Lévy, 1893 - 332 sayfa |
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Sayfa 94 - Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageux aquilons...
Sayfa 100 - Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux...
Sayfa 118 - Toi, dont le monde encore ignore le vrai nom, Esprit mystérieux, mortel, ange ou démon, Qui que tu sois, Byron, bon ou fatal génie, J'aime de tes concerts la sauvage harmonie Comme j'aime le bruit de la foudre et des vents Se mêlant dans l'orage à la voix des torrents...
Sayfa 154 - Le temps n'a pas cncor bruni l'étroite pierre, Et sous le vert tissu de la ronce et du lierre On distingue... un sceptre brisé. Ici gît... Point de nom ! demandez à la terre...
Sayfa 120 - Qu'un autre vous réponde, ô sages de la terre ! Laissez-moi mon erreur : j'aime, il faut que j'espère; Notre faible raison se trouble et se confond. Oui, la raison se tait; mais l'instinct vous répond.
Sayfa 150 - T'OI que j'ai recueilli sur sa bouche expirante •*• Avec son dernier souffle et son dernier adieu, Symbole deux fois saint, don d'une main mourante, Image de mon Dieu ; Que de pleurs ont coulé sur tes pieds que j'adore, Depuis l'heure sacrée où, du sein d'un martyr, Dans mes tremblantes mains tu passas, tiède encore De son dernier soupir...
Sayfa 99 - Un soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux.
Sayfa 100 - Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux; Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords, par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés...
Sayfa 152 - De la croix, où ton œil sonda ce grand mystère, Tu vis ta mère en pleurs et la nature en deuil ; Tu laissas, comme nous, tes amis sur la terre Et ton corps au cercueil! Au nom de cette mort, que ma faiblesse obtienne De rendre sur ton sein ce douloureux soupir: Quand mon heure viendra, souviens-toi de la tienne, 0 toi qui sais mourir!
Sayfa 155 - La gloire efface tout... tout, excepté le crime ! Mais son doigt me montrait le corps d'une victime, Un jeune homme, un héros d'un sang pur inondé. Le flot qui l'apportait passait, passait sans cesse; Et toujours en passant la vague vengeresse Lui jetait le nom de Condé...