Œuvres de Voltaire, 6. ciltLefèvre, 1830 - 72 sayfa |
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ACTE affreux Agamemnon Aglaé aime Allez amour ANITUS ASSÉLI AURÉLIE barbare BARONNE BLAISE CATILINA Caton cendre Cérès César CÉTHÉGUS cher Chrysothémis Cicéron ciel CLYTEMNESTRE cœur COMTE consul courage crainte crime cruel d'Agamemnon d'Égisthe d'Électre d'Oreste daignez desseins destin dieux dois douleur DRIXA Égisthe ÉLECTRE enfants époux ÉRISE ÉTAN êtes Euripide femme fesait fille fils funeste fureur GENGIS GERMON gloire grace Grecs GRIPON Hélas homme hymen IDAMÉ indigne IPHISE j'ai j'en jour l'amour l'Orphelin LICTEURS lieux long-temps MADAME DURU mains maître malheureux MARQUISE MARTHE MÉLITUS mère monsieur mort mortels NANINE Nonnius OCTAR ORESTE Pammène parle père peuple Philippe Hombert pièce pitié pleurs Préneste punir PYLADE respect rien rois Romains Rome sais sang sauver SCÈNE secret seigneur sénat sentiments seul Socrate sœur Sophocle SOPHRONIME sort Sylla TERPANDRE théâtre tombeau tragédie traître tremble trépas tyran vainqueur vengeance venger veux Voilà vois Voltaire XANTIPPE yeux ZAMTI
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Sayfa 11 - C'est ainsi malheureusement que le genre humain est fait. Homère représente même les dieux riant de la mauvaise grâce de Vulcain, dans le temps qu'ils décident du destin du monde. Hector sourit de la peur de son fils Astyanax , tandis qu'Andromaque répand des larmes.
Sayfa 9 - Il est des nœuds secrets, il est des sympathies Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre et se laissent piquer Par ces je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer.
Sayfa 475 - Eh bien ! écoute-moi : Ne saurons-nous mourir que par l'ordre d'un roi? Les taureaux aux autels tombent en sacrifice; Les criminels tremblants sont traînés au supplice; Les mortels généreux disposent de leur sort : Pourquoi des mains d'un maître attendre ici la mort? L'homme était-il donc né pour tant de dépendance? De nos voisins...
Sayfa 9 - Son bras ne dompte point de peuples ni de lieux Dont il ne rende hommage au pouvoir de mes yeux ; Et de la même main dont il quitte l'épée, Fumante encor du sang des amis de Pompée, II trace des soupirs, et, d'un style plaintif, Dans son champ de victoire il se dit mon captif.
Sayfa 368 - Romains, j'aime la gloire, et ne veux point m'en taire ; Des travaux des humains c'est le digne salaire. Sénat, en vous servant il la faut acheter: Qui n'ose la vouloir, n'ose la mériter.
Sayfa 480 - J'aime, je l'avouerai, cet orgueil généreux Qui jamais n'a fléchi sous le joug amoureux. Phèdre en vain s'honorait des soupirs de Thésée: Pour moi, je suis plus fière, et fuis la gloire aisée D'arracher un hommage à mille autres offert, Et d'entrer dans un cœur de toutes parts ouvert.
Sayfa 278 - Et m'unir aux forfaits par les nœuds les plus saints. Ah! si j'ai quelques droits, s'il est vrai qu'il les craigne, Dans ce sang malheureux que sa main les...
Sayfa 430 - Eût tombé dans le piége à mes pas présenté ? Auprès du fils des rois si j'étais demeurée , La victime aux bourreaux allait être livrée, Je cessais d'être mère , et le même couteau Sur le corps de mon fils me plongeait au tombeau.
Sayfa 78 - COMTE. Ce préjugé fut toujours condamnable. J'estime plus un vertueux soldat, Qui de son sang sert son prince et l'État, Qu'un important, que sa lâche industrie Engraisse en paix du sang de la patrie. LA MARQUISE.
Sayfa 7 - Dans cette autre foule, beaucoup plus nombreuse, de brochures dont on est inondé, il en parut une dans ce temps-là qui mérite d'être distinguée. C'est une dissertation ingénieuse et approfondie d'un académicien de La Rochelle...