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P. 338,

P.342,

P. 354,

No 101.

philologiques,

I. 13, 15, 16, au lieu d'un C, un G.
1. 12, de G.

1. dernière, La. 42,

P. 365, note 2, 1. 6, heb. quæst.,

,עלוה, 29 .1

P. 368,

22,

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de C.

Ca. 42.

lib. quæs.

עלומה

dix générations,

PRIX DE LA COLLECTION DES ANNALES.

Les 12 premiers volumes, terminés par une table générale, coûtent 72 fr., au lieu de 120 fr., pris au bureau.

Chacun des volumes suivans 8 fr. 50, pris au bureau.

L'abonnement par an, 20 fr.

N. B. Il faut être abonné pour avoir droit à la diminution de prix exprimée ci-dessus.

TABLE

DES ARTICLES CONTENUS DANS LE DIX-SEPTIÈME VOLUME.
(Voir à la fin du volume la table des matières,)

Des hospices d'enfans trouvés en Europe, et principalement en France, par
M. REMACLE; par M. J. Jacquemet.

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dais.

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Voyage en Abyssinie en 1835 - 1837, dans le pays des Galla, de Choa et

d'Ifat, précédé d'une excursion dans l'Arabie-Heureuse et accompagné

d'une carte de ces diverses contrées, par M. ED. COMBES et M. TAMISIER,

par A. BONNETTY.

Dictionnaire de diplomatique ou cours philologique et historique d'antiqui-
tés civiles et ecclésiastiques (11 article), par A. BONNETTY.
Lithographie offrant les caractères chinois et égyptiens, ayant servi à former
les G sémitiques. G de trente-cinq alphabets sémitiques,
G grecs

anciens.

-

-

- Formation du C latin capital.
Lithographie offrant le C latin capital des manuscrits. - C minuscule des
diplômes, etc.

260

297

369

Compte rendu à nos abonnés ; de l'influence des tra vaux des Annales.
Table générale des matières, des auteurs et des ouvrages.

RAULT.

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Mission de S. Lazare, de sainte Marie Madeleine et de leurs compagnons. -Mission de saint Trophyme à Arles, et de saint Eutrope à Orange.Mission de saint Pothin et de saint Irénée à Lyon.-Vie de saint Irénée, évêque de Lyon, premier docteur de l'Eglise de France et martyr.

I. Une tradition reçue en Provence, où elle est regardée comme incontestable, nous dit qu'après que S. Pierre eut été mis en prison, S. Etienne lapidé, et que S. Jacques eut eu la tête tranchée (l'an 35 de notre ère), d'autres disciples enfermés dans des barques furent abandonnés à la merci des ondes; et parmi ceux-ci, sainte Marthe, S. Maximin, l'un des soixante et douze disciples, sainte Marie Madeleine, Marcelle et beaucoup d'autres. Dieu n'abandonna pas ses fidèles serviteurs exposés aussi inhumainement : ils arrivèrent heureusement par la grâce

Nous avons cru rendre service à nos lecteurs en insérant, sur les premiers tems de l'Eglise chrétienne de France, cet article que nous devons à la bienveillance et à la profonde érudition de M. le marquis de Fortia. On verra, dans le second article surtout, comment le noble académicien répare des omissions, relève des inexactitudes dans les Bénédictins eux-mêmes, et résout quelques difficultés qui jetaient un jour douteux sur le berceau du Christianisme dans notre pays. A. B.

divine à Marseille, où ils descendirent. Ils entrèrent dans la ville, y prêchèrent hautement l'Evangile, et convertirent un grand nombre de Gentils, qui, brisant les idoles de leurs fausses divinités, bâtirent des temples qu'ils consacrèrent au vrai Dieu, créateur du ciel et de la terre. Lazare fut choisi pour évêque à Marseille, et Maximin à Aix1. L'histoire de Lazare, premier évêque de Marseille, est adoptée et détaillée dans l'antiquité de l'église de Marseille, par l'évêque de cette ville, Belzunce '.

3

Baronius dit en effet 3 que l'an 35 de notre ère, c'est-à-dire deux ans après la mort de saint Etienne et de saint Jacques, Lazare, Marie Madeleine, Marthe et leur suivante Marcelle, poursuivis par une violente haine des Juifs, non-seulement furent chassés de Jérusalem, mais furent placés avec Maximin, disciple de Jésus-Christ, sur un navire dépourvu de rames. Ainsi exposés à un péril auquel ils semblaient ne pouvoir échapper, une providence divine les conduisit à Marseille. Joseph d'Arimathie était avec eux. Ce noble décurion continua sa navigation de Gaule en Bretagne 4, où il mourut après avoir preché l'Evangile.

Ce même Baronius parle ensuite 5 d'une tradition qui faisait aller Lazare et Marie Madeleine à Ephèse; mais il refuse d'admettre cette tradition, comme contraire à celle qu'il a déjà reçue. Henri de Sponde, évêque de Pamiez, dans son abréviation de Baronius, dit aussi que l'opinion des Latins doit être préférée à celle des Grecs, et que Madeleine et Lazare sont venus dans les Gaules, où leurs corps sont encore aujourd'hui. Cependant Baillet, critique très-éclairé, a fait un long et savant traité où, s'appuyant principalement sur le silence de Grégoire de Tours qui ne parle point de cette histoire, il rejette la

Histoire de l'église d'Avignon, pár Nouguier. Avignon, 1660, p. 3. • Cet ouvrage a été imprimé à Marseille, en 1747. Voyez Tillemont, Mémoires pour servir à l'histoire ecclésiastique. Paris 1701, iv, 231 et 705. 3 Annales, Anno 35, § 5, il cite Acta Magd. et Sociorum.

4 Baronius cite ici une histoire manuscrite d'Angleterre, consérvéé à la Bibliothèque du Vatican.

↳ Anno 44, chap. 29, il cite ici notation. in martyrol. Rom. die 22, julii. 6 Traduite en français par Coppin. Paris 1655, année 44, chap. 11, p. 99.

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