A selection from the poetry and comedies of Alfred de Musset

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Ginn, 1895 - 282 sayfa
 

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Popüler pasajlar

Sayfa 266 - Ah, distinctly I remember it was in the bleak December, And each separate dying ember wrought its ghost upon the floor. Eagerly I wished the morrow; vainly I had sought to borrow From my books surcease of sorrow — sorrow for the lost Lenore, For the rare and radiant maiden whom the angels name Lenore, Nameless here for evermore.
Sayfa xxxiii - Look, where he comes ! Not poppy, nor mandragora, Nor all the drowsy syrups of the world, Shall ever medicine thee to that sweet sleep Which thou ow'dst yesterday.
Sayfa 24 - Quel que soit le souci que ta jeunesse endure, Laisse-la s'élargir, cette sainte blessure Que les noirs séraphins t'ont faite au fond du cœur; Rien ne nous rend si grands' qu'une grande douleur. Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Sayfa 250 - Qualis spelunca subito commota columba, Cui domus et dulces latebroso in pumice nidi, Fertur in arva volans, plausumque exterrita pennis 215 Dat tecto ingentem, mox aere lapsa quieto Radit iter liquidum, celeres neque commovet alas : Sic Mnestheus, sic ipsa fuga secat ultima Pristis Aequora, sic illam fert impetus ipse volantem.
Sayfa 42 - Tu demandes à Dieu de soulager ton âme ; Ton âme est immortelle, et ton cœur va guérir. Le regret d'un instant te trouble et te dévore ; Tu dis que le passé te voile l'avenir. Ne te plains pas d'hier ; laisse venir l'aurore. Ton âme est immortelle , et le temps va s'enfuir. Ton corps est abattu du mal de ta pensée ; Tu sens ton front peser et tes genoux fléchir. Tombe, agenouille-toi, créature insensée ; Ton âme est immortelle, et la mort va venir. Tes os dans le cercueil vont tomber...
Sayfa 243 - Sheer o'er the crystal battlements : from morn To noon he fell, from noon to dewy eve, A summer's day ; and with the setting sun Dropt from the zenith like a falling star...
Sayfa 247 - ... pendent sur tes eaux! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise :
Sayfa 3 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux; Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Sayfa 64 - Je ne puis ; — malgré moi l'infini me tourmente. Je n'y saurais songer sans crainte et sans espoir ; Et, quoi qu'on en ait dit, ma raison s'épouvante De ne pas le comprendre, et pourtant de le voir.
Sayfa 13 - Mais je hais les pleurards, les rêveurs à nacelles, Les amants de la nuit, des lacs, des cascatelles, Cette engeance sans nom, qui ne peut faire un pas Sans s'inonder de vers, de pleurs et d'agendas.

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