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bonne ou de la mauvaise rédaction de leurs actes dépend le sort du plus grand nombre des procès. Ils donnent la force de la loi aux contrats qu'ils reçoivent, et c'est avec raison qu'ils ont pu prendre pour devise: Lex est quodcumque notamus. Des abus graves ont été signalés, depuis peu d'années surtout, dans l'exercice de cette honorable profession. Le gouvernement les connait et l'ordonnance royale du 4 janvier 1843 est venue y médier, au moins à certains égards.

graphiques sembleraient devoir l'être également: aussi, comptait-on, chez les Grecs, jusqu'à 1,620 combinaisons destinées à cet usage; mais, au moyen de dispositions très ingénieuses, les modernes sont parvenus, à l'aide d'un nombre de signes relativement fort petit, à exprimer beaucoup plus de choses que ne le faisaient les anciens, et réellement tout ce qui, dans la musique, a besoin aujour re-d'hui d'être indiqué.

On nommait autrefois notaires apostoliques des officiers institués par le pape, dans les différents pays catholiques, pour les expéditions qui se faisaient, en cour de Rome, de collations de bénéfices. Leurs fonctions étaient bornées aux matières spirituelles et l'on ne peut les confondre avec les officiers publics qui ont conservé le nom de notaires.

Un très grand nombre d'ouvrages existent sur le notariat. Nous nous contenterons de mentionner ici le Traité des droits, priviléges et fonctions des conseillers du roi, notaires, etc., par Langloix (Paris, 1738, in-4°); le Parfait notaire, par Massé (Paris, 6° éd., 18271828, 3 vol. in-4°), et la nouvelle édition du Répertoire de la jurisprudence du notariat, par M. Rolland de Villargues, qui se publie en ce moment, ainsi que le Code du notariat du même auA. T-R.

teur.

NOTASIE, voy. HOLLANDE (Nouvelle-). Voy. aussi NOTUS.

NOTATION, ou PHONOGRAPHIE (de pan, son, voix, et papo, j'écris, je décris), art de représenter aux yeux et à l'intelligence le son musical et ses différentes modifications, de telle façon que l'exécutant reproduise ensuite, au moyen de la voix ou de l'instrument, les pensées écrites par le compositeur. C'est par là que commence l'étude de la musique (voy.), de même que pour apprendre à lire une langue, il faut, avant tout, connaitre la forme des lettres qui entrent dans la composition des mots, assembles eux-mêmes de manière à former des phrases et à exprimer des idées.

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Les signes de notation peuvent se diviser en trois classes, selon qu'ils ont rapport à la tonalité, à la durée, ou à des modifications moins essentielles, telles que le timbre, l'intensite, etc., qui se rattachent surtout à l'expression musi cale. Les signes de tonalité sont la por tée, les clefs, les accidents, les notes proprement dites, considérées uniquement quant à leur position sur la portee; les signes de durée sont les notes, envisagées sous le rapport de leur plus on moins grande prolongation, les silences, le point, les liaisons, les stanguettes ou barres verticales, les petites notes; les signes d'expression sont les accents, le gruppetto, le mordant, le lie et le detache; enfin, l'on peut former une 4o classe de certains signes de convention qui évitent au musicien la peine d'ecrire au long des intentions qui se representent souvent, et que, pour abreger, l'on exprime par des caracteres speciaux, tels sont les doubles barres, le renvoi et le guidon.

La portée étant réellement toute la base du système de notation moderne, nous lui consacrerons un article special. Au mot CLÉ, on a déjà explique quel était l'usage de ce signe; on se sert de trois clefs qui prennent le nom des notes qu'elles représentent, et sont disposees entre elles à intervalle de quinte.

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Les accidents phoniques, dont la nota-fa se pose sur la 4o ligne de la portee: tion doit donner une idée nette et precise, elle sert pour les voix et instruments de étant extrêmement nombreux, les signes basse; on la trouvait aussi autrefois sur la

3o ligne, et elle servait, en ce cas, pour les voix de baryton et instruments d'une étendue analogue; mais elle n'est plus d'usage que pour la transposition. La clef d'ut se place sur la 1re, la 3e et la 4 ligne dans le premier cas, elle sert pour les voix de soprane; dans le second, pour les voix de contralte et instruments correspondants, tels que la viole ou alto; dans le troisième, on l'emploie pour les voix de ténor ou taille, et accidentellement pour les instruments graves, lorsqu'ils se portent dans la région supérieure; autrefois, on plaçait aussi la clef d'ut sur la 2 ligne : elle servait alors pour les voix de mezzosoprane ou second dessus; elle serait aujourd'hui entièrement tombée en désuétude, si les compositeurs ne l'écrivaient encore dans les partitions, pour représenter la partie du cor anglais et certaines transpositions des cors ordinaires. La clef de sol ne se place plus que sur la 2 ligne, et sert pour les voix et instruments aigus; on la posait aussi autrefois sur la 1re ligne. D'après cela, on conçoit que ce serait une grave erreur de supposer que les notes de chaque clef fussent toujours à l'unisson les unes des autres. Ainsi, les trois ut suivants, sont chacun à des octaves différentes.

Les accidents sont des signes qui indiquent le déplacement momentané du lieu ordinaire où, dans la gamme diatonique, se rencontrent les semi-diatons; cette opération se fait de deux manières, savoir: en élevant la note inférieure d'un semi-diaton, ou bien en abaissant la note supérieure d'une semblable distance. Dans le premier cas, on place un signe, appelé diese, devant la note altérée ; dans le second, on fait usage d'un autre signe b, nommé bémol (voy. ces mots). Ces deux signes étendent leur influence sur la note qu'ils précèdent, quelle que soit la série de l'échelle générale où elle se rencontre; leur effet se perd de deux manières : 1o lorsque la portée se trouve traversée d'une barre verticale, ou stanguette, dont nous parlerons plus

loin; 2o par l'apparition d'un nouveau signe, qui porte le nom de bécarre (voy.) ce signe a le privilége de remettre la note diésée ou bémolisée dans son état primitif. Lorsqu'on veut que l'effet des dièses ou bémols s'étende à tout un morceau de musique, au lieu de placer ces signes devant les notes altérées accidentellement, on les disposera dans un ordre convenu, à la suite de la clef ; c'est ce qui s'appelle armer la clef. Si les notes modifiées par l'armure doivent être ramenées à leur position primitive dans le cours du morceau, on emploiera le bécarre; si elles doivent être de nouveau élevées ou abaissées d'un semi-diaton dans le sens où elles l'ont déjà été, on se servira du double dièse et du double bémol bb. Quand, ensuite, la note double diésée ou double bémolisée devra être ramenée à l'état indiqué par l'armure de la clef, on se servira, non plus du bécarre, mais du simple dièse et du simple bémol. En ce cas, quelques musiciens allemands font précéder le signe simple d'un bécarre.

Les notes proprement dites servent à la fois pour marquer l'intonation et la mesure. Sous le premier point de vue, leur téte, semblable à un zéro incliné, soit vide, soit remplie et placée sur les lignes ou interlignes, serait seule à considérer (voy. GAMME); mais, d'une autre part, la queue, dont elles sont accompagnées, détermine leur valeur quant à la durée. L'unitè rhythmique, dans la musique moderne, est la ronde ; les valeurs moindres qu'elle vont diminuant en proportion sous-multiple, ce qui produit la blanche P, la noire, la croche , la double-croche, la triple-croche la quadruple-croche et l'on peut, au besoin, aller au-delà dans la même progression: ces durées sont à la première, comme, 4, 1, 16, 32, 44, sont à l'unité. Dans la copie et la gravure, lorsque plusieurs croches se suivent, on les attache ensemble par un trait simple, double, triple, etc., selon qu'il s'agit de croches simples, doubles, etc., en ayant soin de ne jamais les disposer ainsi dans le milieu des mesures à deux et à quatre temps.

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Ces signes, qui correspondaient à la brève, à la longue et à la maxime, ne s'emploient presque plus à l'exception du premier. Lorsqu'une partie doit se taire pendant un certain nombre de pauses, on tire un trait oblique dans les lignes de la portée et au-dessus l'on écrit en chiffres le nombre de mesures qui doit être compté.

Dans la musique antérieure à 1550, | dans l'espace suivant, on obtient un bâton on employait, outre ces valeurs, la brève, de quatre pauses, lequel se redouble si double de la ronde, et formée par un carré l'on veut former le bâton de huit pauses. vide, ce qui l'a fait aussi nommer carrée; la longue, double de celle-ci, et qui s'en distinguait par la queue dont elle était accompagnée; enfin la maxime, double de la longue et formée d'un parallelogramme correspondant au double de la carrée, et, comme la longue, accompagnée d'une queue. La brève ou carrée est longtemps restée en usage dans la musique d'église, et servait même à désigner une mesure spéciale; on la nommait brève parce qu'elle était en effet l'une des plus petites valeurs, n'ayant au-dessous d'elle que la semi-brève, la minime et la semi-minime, répondant à nos ronde, blanche et noire: on ajouta plus tard la chrome, c'est-à-dire notre croche (voy.); quand ensuite on introduisit des valeurs plus petites, on abandonna l'usage des plus grandes. On voit d'après cela que les anciens compositeurs avaient au fond les mêmes moyens que nous d'exprimer les durées, et comme ces notes, qui par rapport aux nôtres paraissent si longues, marchaient avec rapidité dans l'exécution, il n'y avait réellement aucune différence.

Autant pour introduire de la variété dans les compositions musicales, que pour donner aux exécutants le temps de reprendre haleine, on a imaginé les instants de repos appelés silences. Ces signes correspondent aux durées des notes; ainsi, la pause ayant en silence la même durée que la ronde ou l'unité, la demi-pause, le soupir, le demisoupir 7, le quart de soupir 4, le demiquart ou 16o de soupir, le 32o de soupir vont décroissant de moitié, et répondent aux blanche, noire, croche, etc. La pause a la propriété particulière de s'employer pour le silence d'une mesure entière quelles que soient d'ailleurs les durées qui entrent dans sa composition. Eu réunissant la pause et la demi-pause de manière à ce que ces deux signes se touchent et occupent l'espace compris entre deux lignes, on obtient une figure qui a la valeur de deux pauses et que l'on nomme bâton de deux mesures ou de deux pauses. En prolongeant ce bâton

Le point augmentatif n'est à vrai dire qu'un signe d'abréviation; il indique que la note à la droite de laquelle il se trouve placé doit être prolongée de la moitié de sa durée ordinaire. Ainsi, par exemple, une blanche suivie d'un point équivaut en durée à une bianche plus une noire. Le point représente donc ici la noire; venant après celle-ci, il représente la croche, et ainsi de suite. Le point a le même effet à la suite des silences; cependant ou n'en fait jamais usage à la suite de la demi-pause, sans autre motif que l'ha bitude. On trouve fort souvent dans la musique moderne des notes suivies de deux points; en ce cas le second point augmente la valeur du premier dans le même sens que celui-ci avait augmenté la durée de la note; une blanche survie de deux points équivaudra par conséquent à une blanche, une noire et une croche. Il n'est pas d'usage d'employer le double point après les silences; cependant on peut le faire.

La liaison ou plus exactement la lgature s'emploie pour un usage analogue à celui du point augmentatif, et le remplace dans le cas où le prolongement d'une note a lieu, non dans la mesure même où celle-ci se trouve, mais dans la mesure qui suit immédiatement. Elle sert d'ailleurs à réunir en une seule articulation deux notes égales ou inégales en durée, mas d'une même valeur tonale, c'est-à-dire placées sur un même degré, et qui, en raison des divisions de mesure, ne sauraient être exprimées par un signe unique.

Lesstanguettes sont des barres qui cou

Dent la portée en sens vertical et servent marquer les divisions de la mesure (voy. e dernier mot).

Les petites notes sont des notes orlinaires écrites en caractères plus fins et ui n'ont point par elles-mêmes de valeur éterminée dans la composition de la meure; elles empruntent leur valeur aux otes qui les précèdent et qui les suivent; leur omission même n'altérerait pas trop ensiblement la pensée du compositeur. Les accents sont des signes d'expreson qui indiquent les variations d'innsité que l'on doit donner à une ou lusieurs notes: le premier de ces signes, rmé de deux lignes droites s'unissant à extrémité et formant un angle très aigu, dique, si l'angle est tourné vers la droi>, que le son doit être peu à peu diinué; tourné dans l'autre sens il arque au contraire que le son doit être gmenté de la réunion de ces deux gnes, on en forme un troisième - qui dique l'augmentation suivie de la diinution. Ces signes s'étendent selon le soin à des traits ou passages d'une cerEine étendue. On voit encore ce même gne tourné ainsi A; dans ce cas, il anonce le passage subit du fort au doux tr une seule et même note.

D'autres accents s'expriment dans la usique par des mots complets ou abrésempruntés à la langue italienne, et qui ant aussi faciles à reconnaître qu'à inrpréter; ils se trouvent presque tous idiqués au mot ABRÉVIATION.

Un accent d'un usage fort commun st la ligne courbe que nous avons nomée plus haut ligature, et que nous apelons ici plus spécialement liaison; elle rt à indiquer qu'une série tonale plus a moins étendue doit être coulée, c'est-dire rendue dans le chant par un seul oup de gosier, dans les instruments par n seul coup de langue, d'archet, etc. Les points placés au-dessus ou auessous des notes, en dehors de la portée, orment l'accent contraire, et annoncent ue chacune d'elles doit être détachée et rticulée séparément. Si l'on veut que ette articulation ait une grande vigueur tque le son de chaque note soit sec et paaisse absolument isolé de la note voisine, n allonge les points en forme de clous.

D'autres signes d'expression concernent plus spécialement l'agrément du chant. Tels sont le port de voix, l'appogiature (voy.), le gruppetto, le trille (voy. CADENCE), le mordant et les broderies (voy. FIORITURES).

Avant de terminer ce qui regarde les signes d'expression, il importe de remarquer que fort souvent le compositeur se dispense de les écrire, laissant à l'exécutant le soin de les placer là où il le juge convenable, d'après ce qu'enseigne à cet égard l'étude, l'observation et aussi l'inspiration, qui joue un si grand rôle dans. toute exécution musicale.

Il ne nous reste plus qu'à parler des signes de convention. La double barre verticale, traversant la portée, se place à la fin et quelquefois dans le courant d'un morceau de musique; elle indique que la pièce est terminée, soit dans son entier, soit dans une de ses parties.

Lorsque la double barre est accompagnée de points tant à droite qu'à gauche, ces points indiquent que l'exécutant, arrivé là, doit reprendre depuis le commencement ou depuis la dernière double barre avec points qu'il aura rencontrée. Il doit ensuite poursuivre jusqu'à une double barre également accompagnée de points et reprendre à la précédente. Si les points ne sont placés que d'un seul côté, on répète seulement la partie du morceau vers laquelle ils se

trouvent.

Les mots da capo, ou par abréviation D. C., indiquent que le morceau doit être repris du commencement. Quelquefois on trouve ce terme suivi des lettres A. F., al fine, ce qui signifie que l'on doit s'arrêter au mot fin qui est indiqué par un arc de cercle placé au-dessus d'une note ou d'une double barre.

Le renvoi est un signe de convention qui annonce la répétition d'un nombre quelconque de mesures. Son apparition dans une pièce de musique renvoie à un signe semblable, marqué précédemment, où doit se reprendre la continuation du morceau jusqu'à la ren

contre du signe final indiqué il y a un instant.

On ne fait plus guère usage du guidon, et quand on l'emploie, ce n'est que par suite d'une mauvaise distribution de notes dans la copie ou dans la gravure. Ce signe a pour objet d'annoncer, à la fin d'une portée, la note qui se trouvera au commencement de la portée suivante, lorsque la mesure entière n'a pu trouver place dans la première. Si la note annoncée doit subir quelque altération accidentelle, le signe altératif se place devant le guidon, puis se répète devant la note.

Enfin les abréviations sont des signes convenus dont l'usage est quelquefois indispensable, au moins dans les partitions. Il y a deux sortes d'abréviations; on a expliqué à ce mot même la plupart de celles qui sont formées de lettres, il reste à parler de celles qui donnent lieu à des signes particuliers. On bannit d'ordinaire ces derniers de la musique vocale; mais ils sont dans la musique instrumentale d'un usage assez fréquent, Voici les principaux :

Les points prolongés et placés audessus ou au-dessous d'une ronde, indiquent l'articulation de quatre noires.

Les barres tirées au-dessus ou audessous des rondes ou traversant la queue des blanches et des noires, annoncent que ces notes doivent être détaillées en croches si la barre est simple, en doubles croches si elle est double, en triples si elle est triple. Lorsque les notes ainsi barrées sont accompagnées d'un 3 ou d'un 6, ces chiffres indiquent les triolets ou sixolets, c'est-à-dire trois croches pour deux ou six pour quatre.

La barre penchée obliquement sur la portée et s'étendant sur deux espaces marque la répétition du groupe de notes qui précède. Si le groupe est d'une mesure entière, on accompagne la barre de deux points, l'un en dessus, l'autre en dessous; s'il est de deux mesures, la barre se place de manière à couper la stanguette par le milieu et toujours avec les deux points, que l'on omet en tout autre cas. Quand le groupe est formé de doubles, de triples, etc. croches, on double, on triple la barre de répétition.

Les blanches attachées entre elles par la queue comme les croches, en produisent l'effet, c'est-à-dire que deux blanches unies de la sorte doivent être reproduites quatre fois et en un mouvement quatre fois plus rapide que celui qui leur appartient dans l'ordre ordinaire,

Au lieu d'écrire les passages appelés arpéges (voy.) tout au long, on les représente en rondes ou blanches que l'exécutant doit détailler; mais l'arpège doit avoir toujours été écrit une fois tel qu'il faut l'exécuter, et les initiales ARP. doivent être écrites au-dessus ou audessous de la portée.

On n'écrit, si l'on veut, qu'une fois une suite de notes syncopées qui se trouvent sur le même degré; puis on met des rondes qui doivent être syncopees comme les précédentes, ce que marquent les mots segue ou simili, que l'on emploie aussi dans les cas analogues, et qui indiquent qu'il faut suivre une marche semblable.

Une ou plusieurs mesures surmontées d'un arc de cercle au-dessus duquel est placé le mot bis annoncent évidemment la répétition du passage ainsi marqué; du reste, c'est moins là une abreviation qu'une manière de réparer un oubli ou bien une faute de copie.

L'indication de l'effet appelé tremola se marque comme si le passage devait être exécuté régulièrement en triples ou quadruples croches. Mais comme ces notes doivent se succéder sans solution de continuité autant que dure la mesure, ce cas particulier est indiqué par l'addition des initiales TREM.

Le brisé est un zigzag vertical que l'on place devant un accord; il sert à indiquer que l'on doit frapper successivement, mais très rapidement, toutes les notes de l'accord en commençant par la plus grave.

Par tout ce qui précède, on voit qu'il n'est pas fort difficile d'acquérir la connaissance de la partie semiotique rov. de l'art musical; mais l'habileté dans l'exécution vocale ou instrumentale ne vient pas aussi vite, et malgré le petit nombre des signes nécessaires à connaître, ce n'est que par suite d'une application persévérante et d'une étude quotidienne

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