Sayfadaki görseller
PDF
ePub

Table des Matières. Extrait :

[ocr errors]

V.

I. Explosion sous-marine. II. Classification des torpilles. III. Torpilles automobiles. IV. Organes d'offensivité. Organes propulseurs. VI. Mécanismes divers. Appareils autorégulateurs de l'immersion et de la direction. VII. Équilibre statique et dynamique. Établissement d'un projet. VIII. Lancement des torpilles. - IX. Étude de la torpille à l'atelier et à la mer. X. Le lancement au combat. - XI. Torpilles portées et mines. XII. Les mines sous-marines de blocus. XIII. Mouillage et dragage des mines. XIV. Protection des navires contre

les explosions sous-marines.

Charles Dugas. LA CÉRAMIQUE GRECQUE. Un vol. de 158 pages (16 × 10), avec 92 illustrations. Paris, Payot, 1924. Prix: 5.00 francs.

Extrait de la Table des Matières :

La céramique grecque: I. A. Les formes et le décor; B. La fabrication des vases; C. La destination des vases. II. A. Époque préhellénique; B. Époque homérique; C. Époque archaïque D. Époque athénienne E. Époque hellénistique; F. Vases à reliefs et vases plastiques.

--

Un

Gandillot Maurice. LES FAIBLESSES DE LA SCIENCE. vol. de 76 pages (25 × 16), avec 7 figures. Paris, Vuibert, 1924. 5.00 francs.

Prix :

-

« Certaines théories, d'origine étrangère, actuellement savantes et vides, seront entièrement renouvelées dès que nos géomètres et nos physiciens voudront bien leur transfuser un peu de sens commun; alors, ces théories, cessant d'être « de vains exercices de logique », deviendront intelligibles, et seront acceptées par ce bon sens humain où Descartes plaçait le fondement de la certitude. »

Pierre Busco, Licencié ès-sciences, agrégé de Philosophie, Docteur ès-Lettres. LES COSMOGONIES MODERNES ET LA THÉORIE DE LA CONNAISSANCE. Un vol. de 435 pages (23 × 14), de la Bibliothèque de Philosophie contemporaine », avec 23 figures dans le texte. Paris, Alcan, 1924. Prix: 25.00 francs.

Note de l'éditeur :

On remarque, dans les systèmes cosmogoniques, à côté de vues très scientifiques, une tendance à poser la question des origines en harmonie avec certains besoins esthétiques, rationnels ou pratiques de notre imagination. Dans quelle mesure les notions qui en résultent ont-elles influé sur le choix et le développement des hypothèses? Les questions qu'elles soulèvent répondent-elles à de veritables problèmes ? C'est ce que l'auteur a recherché en suivant l'évolution des théories concernant l'origine des mondes depuis Descartes, vers une forme de plus en plus positive et expérimentale.

A. Aliotta, Pr. de philos. à l'Univ. de Naples. L'ÉTERNITÉ DES ESPRITS. Esquisse d'une vision pluraliste des mondes. Trad. de l'italien par Camille Schuwer, agrégé de philosophie. Un vol. de 173 pages (19 X 12), de la « Bibliothèque de Philosophie contemporaine ». Paris, Alcan, 1924. Prix: 8.00 francs.

« Aux âmes faibles, qui ont besoin de croire que tout a été fait pour l'homme, que le soleil existe pour l'éclairer le jour,... nous ne

prétendons pas arracher la douce illusion qui les berce et les endort. Ce livre n'est pas pour elles. Il n'encourage ni les abandons, ni la faiblesse; il cherche à réveiller dans les esprits la conscience de leur pouvoir. La matière, avec ses conflits désordonnés, racine de tout mal, nous presse-t-elle de tous côtés, nous menace-t-elle de son immense inconnu ?... Notre force est dans la coopération. »> (Dernier chapitre, p. 170).

C. Bouglé et Elie Halévy. DOCTRINE DE SAINT-SIMON. Exposition. Première année, 1829. Nouv. édition publiée avec introduction et notes. Un vol. de 504 pages (23 × 14) de la « Collection des économistes et des réformateurs sociaux de la France ». Paris, Rivière, 1924. Prix: 25.00 francs.

--

Table des Matières. Extrait :

Préface, pp. 5-72. Introduction. I. Histoire des travaux de la doctrine, pp. 73-90. II. Plan de l'ouvrage, pp. 91-106. Lettre à un catholique sur la vie et le caractère de Saint-Simon, pp. 107-120. Exposition de la doctrine de Saint-Simon. Dix-sept séances, pp. 121-501.

Nisot (Pierre-J.), docteur en droit. LE DROIT DES ARMOIRIES. Essai de systématisation et de construction théorique. Préface de M. C. Terlinden, professeur à l'Université de Louvain. Un vol. de 185 pages (25 × 16). —- Bruxelles, Dyckmans, 1924.

Table des Matières. Extrait :

Introduction et notions générales.

Première partie La capacité héraldique. I. Acquisition. — II. Perte. III. Preuve. Sanction.

Seconde partie : Les armoiries. Droit aux armoiries. I. Nature et caractère. II. Sujet. III. Objet. IV. Acquisition. V.

Perte.

- VI. Preuve.

VII. Protection.

Édouard Gasc-Desfossés. L'AGONIE DE L'ANCIEN RÉGIME. avec illustrations hors texte. 12.00 francs.

Table des Matières :

LA RÉVOLUTION FRANÇAISE. I. Un vol. de 452 pages (20 × 13) Paris, Beauchesne, 1923. Prix :

Causes générales.
Les institu-

Causes sociales prochaines de la Révolution. Protestantisme révolutionnaire et Maçonnerie. tions sous l'Ancien Régime. Le gouvernement. Les trois ordres. Le clergé. · La noblesse. Le tiers-état. Le règne de Louis XVI jusqu'au 5 mai 1789.

R. de Montessus de Ballore. INDEX GENERALIS. Annuaire

général des Universités. Année 1923-1924: Un vol. (19 × 13). — Paris, Éditions « Spes », 1923-1924. Prix: 60.00 francs.

4o édition de l'Index generalis.

Ouvrage de plus de 2000 pages rédigé en six langues, et donnant les noms de 70.000 professeurs ou personnalités scientifiques ou littéraires, 1.100 universités ou grandes écoles, 1.100 sociétés savantes, 3.300 bibliothèques, 750 instituts scientifiques, 344 observatoires, 150 laboratoires, 25 académies.

Les renseignements, puisés aux sources mêmes, sont dates. Un index alphabétique contient 70.000 noms.

Le temps, l'espace et la matière

DANS LA

théorie de la relativité généralisée (1)

La remarquable conférence de M. de la Vallée Poussin, qui a été publiée dans la REVUE des QuestionS SCIENTIFIQUES du 20 avril 1924 (t. 85, p. 321), a été, pour les lecteurs, la meilleure initiation à la théorie de la Relativité restreinte dans l'abondante littérature « en langue vulgaire » qu'a suscitée l'apparition des théories d'Einstein, peu d'études ont été publiées qui témoignent d'une aussi parfaite connaissance du sujet et surtout d'une pareille profondeur de vues.

La note additionnelle que l'auteur a écrite à la suite de cet article a ajouté quelques utiles précisions en ce qui concerne le fameux voyage en boulet, et l'inexactitude des interprétations de M. Bergson. Elle se termine par quelques mots sur les possibilités de généralisation de la théorie relativiste, qui constituent une introduction toute naturelle au présent article...

Car Einstein, après avoir porté au point que nous connaissons maintenant la théorie de la Relativité restreinte, a tenté une généralisation hardie de ses premières

(1) Je ne saurais trop remercier les maîtres éminents qui ont bien voulu, pour la rédaction du présent article, me donner des conseils que je n'ai qu'imparfaitement suivis : M. Jean Becquerel pour la partie scientifique, et les RR. PP. Sertillanges et Voisine pour la partie philosophique. (Note de l'Auteur.)

IVe SÉRIE. T. VI.

19

hypothèses, et c'est de cette théorie de la Relativité généralisée que je voudrais entretenir les lecteurs de la REVUE DES QUESTIONS SCIENTIFIQUES.

Comme l'a montré M. de la Vallée, la Relativité restreinte maintient intact le privilège que possèdent sur les autres les systèmes de référence dits « de Galilée », c'est-à-dire les ensembles solides immobiles par rapport au centre de gravité du système solaire et aux directions des étoiles fixes, ou encore en translation uniforme par rapport aux premiers.

Rien ne permet de distinguer l'un de ces systèmes d'un autre en translation uniforme par rapport au premier ; c'est ce qui fait qu'on ne peut affirmer l'existence pour ces ensembles solides, de mouvements absolus, mais seulement de mouvements relatifs des solides les uns par rapport aux autres d'où le nom de théorie de la Relativité. Cette théorie est dite « restreinte » précisément parce qu'elle se limite aux systèmes de Galilée. Cette limitation, imposée par la nature, paraît bizarre à première vue à quiconque veut se rendre compte du pourquoi des choses.

[ocr errors]

Comme dit Einstein (1), « aucun esprit logique ne peut se déclarer satisfait de cet état de choses. Il se pose la question suivante : comment est-il possible que certains systèmes de référence (ou plutôt de leurs états de mouvement) se distinguent des autres systèmes de référence (ou plutôt de leurs états de mouvement) ? Quelle est la raison de cette distinction? Je vais me servir d'une comparaison pour montrer clairement ce que signifie cette. question.

« Je considère un fourneau à gaz sur lequel se trouvent deux marmites identiques à tel point qu'on ne peut les distinguer. Toutes deux sont à moitié remplies d'eau.

(1) Einstein, La Théorie de la Relativité restreinte et généralisée (mise à la portée de tout le monde); trad. Rouvière (GauthierVillars).

Je remarque que de la vapeur s'échappe sans interruption d'une de ces marmites et pas de l'autre. Je m'en étonnerais quand bien même je n'aurais jamais vu un fourneau à gaz, ni une marmite. Mais mon étonnement disparaît quand je remarque sous la première quelque chose de bleu et de brillant, et rien du tout sous la seconde (même si je n'ai jamais vu de flamme de gaz). Je dirai, en effet, que ce quelque chose de bleu est la cause de l'échappement de la vapeur, ou, en tout cas, peut en être la cause. Mais si je n'aperçois ce quelque chose sous aucune des deux marmites et si je constate que l'une d'elles fume constamment et non point l'autre, je m'en étonne et ne serai satisfait que lorsque j'aurai déterminé une circonstance à laquelle je puisse attribuer l'attitude différente des deux marmites.

>> D'une façon analogue je cherche en vain dans la Mécanique classique (ou plutôt dans la théorie de la relativité restreinte) ce quelque chose de réel auquel je puisse attribuer l'attitude différente des corps par rapport aux divers systèmes de référence. Newton avait déjà vu cette objection; il chercha en vain à y répondre... »

La différence d'attitude entre les systèmes en mouvement varié (c'est-à-dire qui possèdent des accélérations par rapport aux systèmes de Galilée) et les systèmes de Galilée réside principalement en ceci, qu'il s'y développe des forces d'inertie : c'est ainsi qu'un tramway qui démarre trop brusquement (qui a une accélération sensible par rapport au système quasi-galiléen de la Terre) fait subir une secousse, due à l'inertie, à tous les voyageurs qui s'y trouvent; il en est d'ailleurs de même s'il freine trop brusquement on dit alors qu'il possède une accélération négative. Mais, positive ou négative, l'accélération se manifeste toujours d'une façon indiscutable. Les mouvements variés semblent donc échapper à toute espèce de généralisation relativiste.

Une autre source de difficultés se trouve dans la

« ÖncekiDevam »