 | Gaston Louis Emmanuel Du Fresne marquis de Beaucourt, Paul Allard, Jean Guiraud - 1884 - 722 sayfa
...jour atteint à peine la première ouverture des portes et n'éclaire que le seuil du vestibule. A mesure que l'on avance dans les dédales de la caverne,...les chambres étroites et les noires galeries qui se croisent, un peu de jour tombe ainsi, d'en haut, dans les entrailles de la colline. Dans le fond... | |
 | Paul Allard - 1898 - 484 sayfa
...caverne, la nuit devient plus épaisse, quoique, de (1) Prudence, Péri Stephanôn, XI, 155-168. III. 22 temps en temps, les ouvertures pratiquées dans la...y fassent pénétrer un brillant rayon de soleil. \u milieu des obscurs détours formés par les chambres étroites cl les noires galeries qui se croisent,... | |
 | Paul Allard - 1907 - 480 sayfa
...jour atteint à peine la première ouverture des portes, et n'éclaire que le seuil du vestibule. A mesure que l'on avance dans les dédales de la caverne,...les chambres étroites et les noires galeries qui se croisent, un peu de jour tombe ainsi, d'en haut, dans les entrailles de la colline. Dans le fond... | |
 | Pierre de Labriolle - 1920 - 760 sayfa
...jour atteint à peine la première ouverture des portes et n'éclaire que le seuil du vestibule. A mesure que l'on avance dans les dédales de la caverne,...les chambres étroites et les noires galeries qui se croisent, un peu de jour tombe ainsi d'en haut, dans les entrailles de la colline. Dans le fond... | |
 | Pierre de Labriolle - 1920 - 764 sayfa
...jour atteint à peine la première ouverture des portes et n'éclaire que le seuil du vestibule. A mesure que l'on avance dans les dédales de la caverne,...soleil. Au milieu des obscurs détours formés par los chambres étroites et les noires galeries qui se croisent, un peu de jour tombe ainsi d'en -haut,... | |
 | Pierre de Labriolle - 1924 - 854 sayfa
...jour atteint à peine la pieuilèie omet turc des porte* et n'éclaire que le seuil du Tcstibule. A mesure que l'on avance dans les dédales de La caverne,...quoique, de temps en temps, les ouvertures pratiquées dan* la voûte y fassent pénétrer un brillant rayon de soleil. An milieu des obscurs détours formés... | |
| |
La pente étroite d'un sentier qui replie sur lui-même ses degrés conduit dans les anfractuosités de cette retraite, d'où la lumière est absente. Car le jour atteint à peine la première ouverture des portes et n'éclaire que le seuil du vestibule.... 