Henrik Ibsen et le théâtre contemporainLecène, Oudin, 1892 - 470 sayfa |
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Sayfa 411 - Et quand ces grands amants de l'antique nature Me chanteraient la joie et le mépris des dieux, Je leur dirais à tous : « Quoi que nous puissions faire, Je souffre, il est trop tard; le monde s'est fait vieux. Une immense espérance a traversé la terre; Malgré nous vers le ciel il faut lever les yeux ! » Que me reste-t-il donc ? Ma raison révoltée Essaye en vain de croire et mon cœur de douter.
Sayfa 320 - Mais je suis près de croire, pasteur, que nous sommes tous des revenants. Ce n'est pas seulement le sang de nos père et mère qui coule en nous, c'est encore une espèce d'idée détruite, de croyance morte, et tout ce qui en résulte.
Sayfa 204 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux; Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Sayfa 411 - Assis à mes côtés, m'appelleraient heureux, Et quand ces grands amants de l'antique nature Me chanteraient la joie et le mépris des dieux, Je leur dirais à tous : « Quoi que nous puissions faire, Je souffre, il est trop tard; le monde s'est fait vieux. Une immense espérance a traversé la terre; Malgré nous vers le ciel il faut lever les yeux!
Sayfa 301 - NORA. — Mes devoirs envers moi-même. HELMER. — Avant tout, tu es épouse et mère. NORA. — Je ne crois plus à cela. Je crois qu'avant tout je suis un être humain au même titre que toi... ou au moins que je dois essayer de le devenir. Je sais que la plupart des hommes te donneront raison...
Sayfa 243 - J'attends qu'on plante debout au théâtre des hommes en chair et en os, pris dans la réalité et analysés scientifiquement, sans un mensonge. J'attends qu'on nous débarrasse des personnages fictifs, de ces symboles convenus de la vertu et du vice qui n'ont aucune valeur comme documents humains.
Sayfa 116 - ... j'ai vu les pauvres petits se sauver à toutes jambes. Maintenant, le soleil du printemps les attire hors des maisons ; ils aimeraient bien jouer avec leurs camarades devant leur porte, mais je vois qu'ils sont gênés ; ils manquent de sécurité. Ils semblent toujours craindre l'arrivée de quelque représentant de la police. Un gamin ne peut pas faire claquer son fouet, ou chanter ou crier ; la police est là qui se précipite pour l'en empêcher. En Allemagne, tout concourt à discipliner...
Sayfa 385 - Il n'est donc pas démoniaque? RELLING. Que diable voulez-vous que cela signifie un démoniaque ? Une blague que j'ai inventée pour lui entretenir la vie. Si je n'avais pas fait cela, il ya bon nombre d/années que ce pauvre cochon d'ami pataugerait dans le désespoir et le mépris de luimême. Et le vieux lieutenant donc? Seulement, quant à lui, il a trouvé son traitement tout seul. GRÉGOIRE.
Sayfa 343 - Banville dans le compte rendu qu'il en a fait (il n'y a que ces fous de poètes pour deviner ces choses-là!), dans cette œuvre particulière, Claude ne tue pas sa femme, l'auteur ne tue pas une femme, ils tuent tous deux la Bête, la Bête immonde, adultère, prostituée, infanticide, qui mine la société, dissout la famille, souille l'amour, démembre la patrie, énerve l'homme, déshonore la femme, dont elle prend le visage et l'apparence, et qui tue ceux qui ne la tuent pas. Tue-la! ne signifie...
Sayfa 244 - J'attends qu'on ne nous conte plus des histoires inacceptables, qu'on ne gâte plus des observations justes par des incidents romanesques, dont l'effet est de détruire même les bonnes parties d'une pièce. J'attends qu'on abandonne les recettes connues, les formules lasses de servir, les larmes, les rires faciles. J'attends qu'une œuvre dramatique, débarrassée des déclamations, tirée des grands mots et des grands sentiments, ait la haute moralité du vrai, soit la leçon terrible d'une enquête...