Histoire des constituants, 1. ciltV. Lecou, 1855 |
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51 sonuçtan 1-5 arası sonuçlar
Sayfa 9
... voix . Les lois mêmes lui inter- disaient de parler dans les livres , sans l'autorisation de la censure ecclésiastique , de la censure des parlements et de la censure de la police . C'étaient les trois sceaux de l'esprit . L'opinion ...
... voix . Les lois mêmes lui inter- disaient de parler dans les livres , sans l'autorisation de la censure ecclésiastique , de la censure des parlements et de la censure de la police . C'étaient les trois sceaux de l'esprit . L'opinion ...
Sayfa 10
... voix basse ou à haute voix , les questions reli- gieuses , philosophiques , politiques , sociales , soulevées par l'écrivain . On s'interrogeait , on se répondait , on s'enthousiasmait ou on s'indignait ensemble ; aucune tyrannie n ...
... voix basse ou à haute voix , les questions reli- gieuses , philosophiques , politiques , sociales , soulevées par l'écrivain . On s'interrogeait , on se répondait , on s'enthousiasmait ou on s'indignait ensemble ; aucune tyrannie n ...
Sayfa 24
... voix et un courage dignes de la grandeur de leurs dangers ; Lally - Tollendal , à qui la piété filiale avait révélé l'éloquence ; Clermont - Tonnerre , Virieu , Ca- zalès , Mounier , réformateurs loyaux et fidèles , marquant d'avance ...
... voix et un courage dignes de la grandeur de leurs dangers ; Lally - Tollendal , à qui la piété filiale avait révélé l'éloquence ; Clermont - Tonnerre , Virieu , Ca- zalès , Mounier , réformateurs loyaux et fidèles , marquant d'avance ...
Sayfa 29
... voix sourde et hésitante . C'était le programme complet , hardi , géné- reux de l'âme du roi devant son peuple . Louis XVI com- mençait par invoquer la justice et la reconnaissance de la nation sur un règne encore court , mais déjà ...
... voix sourde et hésitante . C'était le programme complet , hardi , géné- reux de l'âme du roi devant son peuple . Louis XVI com- mençait par invoquer la justice et la reconnaissance de la nation sur un règne encore court , mais déjà ...
Sayfa 35
... voix fut éteinte , un discours de trois heures sur les finances , discours aussi fastidieux pour le roi que pour l'Assemblée et les spectateurs . L'ennui et l'assoupisse- ment coulaient des lèvres de l'orateur . La France , ac- courue ...
... voix fut éteinte , un discours de trois heures sur les finances , discours aussi fastidieux pour le roi que pour l'Assemblée et les spectateurs . L'ennui et l'assoupisse- ment coulaient des lèvres de l'orateur . La France , ac- courue ...
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allait âme armée armes assemblée avaient baron de Breteuil Bezenval C'était Cagliostro Calonne Camille Desmoulins capitale cardinal château citoyens clergé cœur communes comte d'Artois confident conseil convocation cour courtisans crédulité Dauphin déclaration délibération députés despotisme devant dit-il duc de Choiseul éclater esprit états généraux famille femme finances force foule génie gouvernement homme jardin jeune jour l'amour l'Assemblée nationale l'esprit l'État l'opinion publique laisser liberté Louis XVI lui-même madame de Lamotte madame de Monnier madame de Polignac maison Majesté maréchal de Broglie Marie-Antoinette marquis de Mirabeau Maurepas ment messieurs ministre monarchie multitude murmures mystère n'avait nation Necker noblesse ordres privilégiés palais parlement parole passion pensée père peuple philosophie plébéiens Polignac politique populaire porter premier prince princesse province public réformes règne reine répondit représentants révolution royaume salle séance royale secret sédition semblait sentiment seul silence soldats Sophie souveraine tiers état tion tribun trône troupes Turgot Versailles voix yeux
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Sayfa 282 - Cependant, pour éviter toute équivoque et tout délai, je déclare que, si l'on vous a chargé de nous faire sortir d'ici, vous devez demander des ordres pour employer la force, car nous ne quitterons nos places que par la puissance des baïonnettes.
Sayfa 220 - ... fortune, il s'en est élevé quelqu'un dans leur sein, c'est celui-là surtout qu'ils ont frappé, avides qu'ils étaient d'inspirer la terreur par le choix de la victime. Ainsi périt le dernier des Gracques de la main des patriciens; mais , atteint du coup mortel , il lança de...
Sayfa 280 - C'est moi, jusqu'à présent, qui fais tout pour le bonheur de mes peuples, et il est rare peut-être que l'unique ambition d'un souverain soit d'obtenir de ses sujets qu'ils s'entendent enfin pour accepter ses bienfaits.
Sayfa 260 - Assemblée prêteront à l'instant serment solennel de ne jamais se séparer et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la Constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides...
Sayfa 24 - C'est dans cette confiance. Messieurs, que je vous ai rassemblés, et je vois avec sensibilité qu'elle a déjà été justifiée par les dispositions que les deux premiers Ordres ont montrées à renoncer à leurs privilèges pécuniaires.
Sayfa 267 - Etats-Généraux sont ouverts depuis près de deux mois et ils n'ont point encore pu s'entendre sur les préliminaires de leurs opérations. Une parfaite intelligence aurait dû naître du seul amour de la patrie , et une funeste division jette l'alarme dans tous les esprits. Je veux le croire , et j'aime à le penser, les Français ne sont pas changés ; mais pour éviter de faire...
Sayfa 280 - Vous venez, Messieurs, d'entendre le résultat de mes dispositions et de mes vues ; elles sont conformes au vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si, par une fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul, je ferai le bien de mes Peuples ; seul, je me considérerai comme leur véritable représentant...
Sayfa 322 - ... les troupes étrangères, ces alliés de la nation, que nous payons pour défendre et non pour troubler nos foyers. Votre majesté n'en a pas besoin : eh ! pourquoi un monarque adoré de vingt-cinq millions de Français, ferait-il accourir à grands frais autour du trône quelques milliers d'étrangers?
Sayfa 321 - Le danger est pour les troupes. Des soldats français, approchés du centre des discussions, participant aux passions comme aux intérêts du peuple, peuvent oublier qu'un engagement les a faits soldats, pour se souvenir que la nature les fit hommes. »Le danger, sire, menace les travaux, qui sont notre premier devoir, et qui n'auront un plein succès, une véritable permanence qu'autant que les peuples les regarderont comme entièrement libres.
Sayfa 281 - Messieurs, s'écria-t-il, j'avoue que ce que vous venez d'entendre pourrait être le salut de la patrie, si les présents du despotisme n'étaient toujours dangereux. Quelle est cette insultante dictature ? L'appareil des armes, la violation du temple national, pour vous commander d'être heureux ! Qui vous fait ce commandement?