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CHANT XXI.

Le Dante, en continuant son chemin, rencontre le poète Stace qui, après s'être purifié, montoit au Paradis. Il apprend de lui la cause du bruit extraordinaire qu'il a entendu.

CHANT XXII.

page 134

Les poètes entrent dans le sixième cercle où l'on punit le péché de la gourmandise. Ils y trouvent un arbre couvert de fruits savoureux et baigné par une eau limpide qui tomboit de la montagne. ..... 141

CHANT XXIII.

Beaucoup d'ames rejoignent les poètes. Le Dante reconnoît parmi elles Forèse qui adresse des reproches aux Dames Florentines à cause de leurs habits immodestes.

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148

CHANT XXIV.

Les poètes arrivent près d'un second arbre d'où sortent des voix qui rappellent différens exemples funestes de gourmandise; enfin ils trouvent l'ange qui les envoie aux degrés du septième et dernier cercle où l'on se purifie du péché de la luxure. . . . . . 154

CHANT XXV.

Le Dante étant monté au dernier cercle, trouve ceux qui se purifient, dans le feu, du péché de luxure.

Stace et Virgile dissipent quelques-uns de ses doutes, et entendent rappeler autour d'eux des

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Dans ce chant, le Dante raconte qu'il s'entretient avec Guido Guinicelli et Daniel Arnault, provençal. 167

CHANT XXVII.

Le Dante raconte une autre vision. Il monte ensuite à la partie la plus élevée de la montagne, et là Virgile le laisse en liberté de faire ce qu'il voudra, sans qu'il reçoive aucun conseil.

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CHANT XXVIII.

174

Le Dante, se trouvant dans le Paradis terrestre, veut s'avancer vers une grande forêt. Le fleuve Léthé l'empêche d'y pénétrer. Sur ses bords il voit Matilde chantant et cueillant des fleurs. Cette femme, interrogée par le Dante, éclaircit quelques-uns de ses doutes.

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181

CHANT XXIX.

Le Dante et Matilde marchent le long du fleuve; elle lui fait remarquer une nouvelle apparition. 187

xxiv

TABLE DES ARGUMENS.

CHANT XXX.

Béatrix, descendue du ciel, reprend le Dante de son peu de prudence qui l'a entraîné dans une conduite toute autre que celle qu'elle lui avoit indiquée pour son salut.

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page 194

CHANT XXXI.

Le Dante confesse toutes ses fautes à Béatrix. Bientôt, plongé par Matilde dans le fleuve Léthé, il boit de

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Le poète arrive au pied de l'arbre de la science du bien et du mal; il y est surpris par le sommeil. . . 207

CHANT XXXIII.

Le Dante, toujours conduit par Matilde, goûte des eaux du fleuve Eunoë; ensuite il se trouve purifié, et digne de s'élever au séjour des étoiles. 214

FIN DE LA TABLE DES ARGUMENS.

POËME

DU DANTE.

CHANT PREMIER.

ARGUMENT.

Le poète expose dans ce premier chant qu'il rencontra l'ombre de Caton d'Utique, et qu'après lui avoir adressé quelques questions, il suivit avec Virgile un chemin qui conduisoit à la mer: là, ce dernier lava la figure du Dante, et quand ils furent parvenus au rivage, il lui mit autour du corps une ceinture de joncs, ainsi que Caton l'avoit recommandé.

PORTÉ maintenant sur une barque légère, mon génie laisse derrière lui une mer orageuse, et se dispose à parcourir des ondes plus paisibles. Je chanterai le second royaume où l'esprit humain se purifie, et devient digne de s'élancer au ciel.

Poésie lugubre, prends un autre ton! Aidezmoi, Muses sacrées, à qui je me suis dévoué! Calliope, élève et ennoblis mon style! accompagne ma voix de tes accens mélodieux qui firent pressentir aux filles infortunées de Piérius qu'elles n'avoient plus de pardon à espérer.

Au moment où j'étois sorti des enceintes ténébreuses qui avoient tant contristé ma vue et mon esprit, mes regards avoient été charmés par une douce teinte de saphyr oriental qui se confondoit avec un air pur et serein, jusqu'à la partie la plus haute de l'atmosphère. Cette belle planète, qui conseille l'amour, faisoit sourire l'orient en voilant la lumière du signe des poissons dont elle étoit accompagnée. Je me tournai à droite pour considérer l'autre pôle ; j'aperçus quatre étoiles qui ne furent jamais observées que par les premiers habitans de la terre : le ciel paroissoit se réjouir de leur éclat. O contrée du nord, toi qui ne peux contempler ces astres éblouissans, que je te plains dans ton veuvage! J'abaissai les yeux, je me tournai vers la partie du pôle opposé où le char de l'Ourse venoit de disparoître, et je vis près de moi un vieillard solitaire dont la noble figure inspiroit autant de vénération qu'on en doit à un père. Il portoit une

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