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TABLE GÉNÉRALE

DES MATIÈRES PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE.

A

ABBÉ. Ses pouvoirs relativement à l'ordination, tome I, page 235.
ACOLYTE. Division du diaconat, t. I, p. 230. Ses attributions, ibid.
ADAM. Nouvel Adam, t. I, p. 15. Tous les hommes doivent descendre de
lui, ibid.

APOSTASIE. Crime de l'apostasie, t. II, p. 313. Ne peut être tolérée par
l'Église, 314.

APOSTOLAT. L'apostolat multiple et un, t. I, p. 89. A Pierre pour chef, 90.
APOTRE. Les apôtres sont le fondement de l'Église, t. I, p. 67. Dans quel
sens, ibid. Les apôtres témoins de Jésus-Christ, 84. Ses envoyés; leur
mission, 85. Comment ils la remplissent, 86; succès de cette mission, 87.
Position précise des apôtres vis-à-vis de leur chef: ils sont tout à la fois
ses égaux et ses subordonnés, 83; dans quel sens il en est ainsi, 89.

APPEL comme d'abus. L'appel ne date point de Philippe le Bel, mais du
quinzième siècle, t. III, p. 148. La source principale en est dans la prag-
matique sanction, 149. Proclamé par le gallicanisme, 201.

ARCHEVÊQUE. Position de l'archevêque dans la hiérarchie, t. II, p. 60.
Tout archevêque n'est pas métropolitain, 61. Objet de l'institution des
archevêques, 64. Prérogatives constitutives de leur autorité, 65. Ce que
cette institution devait produire et ce qu'elle a produit, ibid. Nécessité pour
le chef de l'Église de limiter l'autorité des archevêques, 66. Légitimité de
cette limitation, 68.

ARCHIEPISCOPAT, t. II, p. 60. Objet de son institution, 61. Limitation pro-
gressive de ses attributions, 63.

B

BONIFACE VIII. Ce pape n'est pas le créateur des annates, t. III, p. 128.
Son démêlé avec Philippe le Bel, 129. Sa bulle Clericis laicos, ibid. Faits
qui en furent l'occasion, 130. Conduite de Philippe le Bel, 132. Bulle Au-

C

CALVINISME. Cette secte, produit du luthéranisme et son plus redoutable

adversaire, t. III, p. 263. Parvient à se mettre sur un pied d'égalité avec

lui, 264.

CARDINAL. Compétence du cardinal en matière d'ordination, t. I, p. 506.

CELIBAT. Célibat, obligation des clercs, t. I, p. 506. Excellence du céli-

bat religieux ou de la virginité en général, 507. Célibat monacal, 508. Cé-
libat clérical, ibid. Ce qui en fait le caractère propre, 509. Sa raison, pui-
sée dans l'essence même du sacerdoce chrétien, ibid. Principalement dans les
rapports du prêtre avec Dieu, 510. Secondairement dans ses rapports avec
l'homme, 511. Vanité des objections élevées contre le célibat ecclésiastique,
514. De tout temps l'Église l'a considéré comme une obligation inhérente
au sacerdoce, 516. Phases diverses de sa législation sur ce point, 530.
Droit actuel, 530.

CLERC. Droits conférés aux clercs par l'ordination, t. I, p. 470. Privile-

gium canonis, ou inviolabilité de la personne du clerc, 472. Objet, éten-

due, condition de ce privilége, p. 473. Privilegium competentiæ, 478. Im-

munité à l'égard des charges publiques, 479. Obligation des clercs, 482.

Pratique des vertus chrétiennes, 483. Une sainteté éminente, proportionnée

à l'élévation de l'ordre reçu, 485. Vertus spéciales des clercs: chasteté,

488; sobriété, 490, bienfaisance, 493; fuite des occupations temporelles,

494; du négoce, 495; des sciences profanes, 497; des divertissements

mondains, 500; de la chasse, 501. Port du costume ecclésiastique et de la

tonsure, 503; obéissance cléricale, 506; bréviaire, ibid.; célibat, ibid. Voy.

Célibat.

CHORÉVÊQUES, t. II, 74. Diversité d'opinions sur leur véritable caractère,

ibid. La plus vraisemblable est que c'étaient de véritables évêques, 76.

CHRÉTIEN. Les chrétiens, d'autres Christs, t. I, p. 15. Tout chrétien, roi
et prêtre, 189. Deux classes de chrétiens, ibid. Le chrétien, sujet de Jésus-
Christ et de l'Église, t. II, 310. Ses devoirs comme tel, 311.

CHRISTIANISME. Le christianisme est l'unique religion vraie, t. I, p. 44.
L'unique religion naturelle, 45.

CLÉMENT V. Son entrevue avec Philippe le Bel, t. III, p. 142. Il se fixe
à Avignon et asservit l'Église à Philippe le Bel, 143. Il anéantit plusieurs
bulles de son prédécesseur Boniface VIII, ibid. Il publie la bulle Meruit,
144. État d'anarchie où plonge l'Italie sa résidence en France, 154. Son
démêlé avec Henri VII, 155. Ses bulles de Jurejurando, de Sententia et de
Re judicata, Pastoralis, 156.

CONCILE. Définition du concile, t. II, p. 158. Importance, utilité des

D

DANTE. Le Dante, auteur du traité de Monarchia, t. III, p. 174. Sujet de
ce livre, 175. Ne peut être accusé d'hétérodoxie intentionnelle, 176.

DIACONAT. Troisième degré de la hiérarchie d'institution divine, t. I,

p. 183. Ses attributions, 226. Ses divisions, 229.

DIMISSOIRE. Origine, objet du dimissoire, t. I, p. 279. Par qui il est dé-

livré, 280. Ses conditions, 286.

DOCTRINE. La doctrine de l'Église est la parole de Dieu, t. II, p. 205. De

sa transmission historique, 206. Deux voies de transmission: tradition
écrite et tradition orale, 208. La tradition orale a précédé la tradition
écrite et en est le complément nécessaire, 212; le fondement, 213. Livres
canoniques qui constituent la tradition écrite de la doctrine, 215. Avan-
tages et inconvénients comparés de ces deux traditions, 217. Interprètes
de ces deux traditions, 218. Voy. Église, Pères.

DROIT. Source du droit, t. I, p. 17. Droit divin et droit humain, 18.
DROIT ECCLÉSIASTIQUE. Sa terminologie et ses divisions diverses, t. I, p. 17.
Objet de la science de ce droit, p. 19. Ses œuvres, sa méthode, 20. Ses
rapports avec d'autres sciences, 24. Son importance pour le prêtre, le
théologien et le jurisconsulte, 25. Sciences auxiliaires du droit ecclésiasti-
que, 26. Ses affinités avec la loi ancienne, 28; avec le droit romain et le
droit germanique. 29. Littérature du droit ecclésiastique, 30. Ses auxi-
liaires littéraires, 31.

Systèmes divers du droit ecclésiastique, 37. Quelle doit être la base d'un

système rationnel de ce droit, 40. Système fondé sur cette base, 41. Il se

développe dans trois divisions principales, 43. Sources du droit ecclésiasti-

que; sources du droit général : 1° la révélation divine, t. III, 309; 2° la tra-

dition, l'Écriture, les Pères de l'Église (voy. Tradition, Écriture, Pères);

3° la loi ancienne et loi nouvelle, 320; 4° l'Évangile et les canons, 324;

5° la tradition divine, apostolique, ecclésiastique, 325; 6° les constitutions

E

ÉCRITURE. Une des voies de transmission du droit ecclésiastique, t. III,

p. 374.

ÉCRITURE (Sainte). Langues diverses dans lesquelles les saintes Écritures

ont été composées, t. III, p. 324. Différentes versions qui en ont été
faites, ibid. L'Écriture sainte, voie de transmission de la doctrine révélée ;
voy. Doctrine.

ÉGLISE. Sens étymologique du mot Église, t. I, p. 12. L'Église, royaume

du Christ sur la terre, ibid. Ses divers types, 13. Définition de l'Église, 15.

L'Église, école de Jésus-Christ, 42; son temple, ibid.; fondée par Jésus-

Christ, ibid. Ne pouvait l'être par aucune puissance humaine, ibid. Fondée

sur Pierre, 41.

Caractères de l'Église. L'Église, visible, 143; une, 148; sainte, 149; ca-

tholique, 150; apostolique, 151; impérissable, ibid.; immuable, 152; infail-
lible, ibid.; t. II, p. 219. Organes de cette infaillibilité, ibid. (Voy. Pape.)
Nécessaire, t. I, 152; romaine, 156. A ce titre, possède toutes les propriétés
de l'Église générale, ibid. L'Église est une monarchie, 160; un gouverne-
ment hiérarchique, 181; se compose de deux États, 183.

L'Eglise, royaume de Dieu, t. II, p. 244. Comme telle, fin de la société
humaine, ibid. Sa préparation dans la société juive, 259; dans la société
païenne, 266.

L'Église dans ses rapports avec l'humanité: 1° avec l'humanité en géné-
ral, 275; 2° avec les infidèles, 281. Son autorité sur eux, ibid. Les con-
vertit sans contrainte, 287. 3° Avec les juifs, 294. Comment elle règle le

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