Ce qu'il y avait en France de chancreux : le jansénisme soutenu des parlements. Subtilité diabolique du jansénisme, qui en impose à plus d'une personne.. 144 et 143 Le diacre janséniste Pâris : prétendus miracles sur son tombeau. Diverses espèces de convulsionnaires jansénistes. 145-151 Principaux fauteurs du jansénisme : Montazet, archevêque de Lyon. 151 Fitz-James, évêque de Soissons. 151 et 152 Colbert, évêque de Montpellier. 152 et 153 Bossuet, évêque de Troyes. 153 et 154 Caylus, évêque d'Auxerre. 154-156 Schisme janséniste de Hollande : la boîte à Perrette. 156-159 Efforts des jansénistes pour gagner la reine de France. Miracle qu'ils opèrent clandestinement sur son fils. 159-161 Persécution des parlements de France contre l'Eglise catholique, en faveur du jansénisme. Ces parlements commencent dès-lors la révolution française. 161-177 Assassinat de Louis XV par Damiens. Aveux du coupable. 178-180 Situation des affaires ecclésiastiques en 180 et 181 France. SV.. Philosophisme ou incrédulité moderne. Rapport de la philosophie du dix-huitième siècle avec les hérésies antérieures, en particulier avec le protestantisme. 182 et 183 Portrait des philosophes modernes et de leur philosophie, par Rousseau et Voltaire, leurs chefs. 183-186 Etat moral et politique de la Pologue. Sa ruine, par la méchanceté d'une femme et la lâcheté d'un homme. 226-228 Biographie de Jean-Jacques Rousseau. 186-191 Ce qu'il dit de la religion catholique. 191-195 Ce qu'il dit du protestantisme. 195 et 196 Ce qui manque à Jean-Jacques Rousseau. D'où peut venir son incohérence. 196-198 Incohérence de ce qu'il dit sur les miracles. 198-201 Jugement de la Biographie universelle sur Rousseau. 201 et 202 Biographie de Voltaire. Il méprise sa famille, sa patrie, le peuple. 202-205 La sagesse de Dieu est différente : elle aime le peuple, et c'est par des hommes du peuple qu'elle a vaincu et civilisé le monde. 205-207 Haine de Voltaire contre la religion chrétienne. Motif de cette haine. 207-209 Hypocrisie et menteries de Voltaire. Son caractère odieux. 209-211 Ses impudents mensonges contre Jeanne d'Arc. 211 et 212 § VII. Etat de l'Allemagne. Gouvernement révolutionnaire de Joseph II. Voyage de Pie VI à Vienne. Les BRIGANDS de Schiller, tableau fidèle de l'Europe intellectuelle et politique à cette époque. Marie-Thérèse d'Autriche se défend seule contre les souverains de l'Europe, 229-231 qui veulent la dépouiller. Ses grandes qualités, ses vertus. Comparaison d'elle à Catherine II. Ce qu'elle pense du partage de la Pologne. 231-234 Dégénération de la postérité de MarieThérèse. Peu de sagesse et de prudence de Joseph II; ses innovations téméraires et funestes dans l'ordre civil et l'ordre religieux. Il soutient contre le Pape le livre schismatique de Fébronius. 234-245 Léopold, frère de Joseph II, imite ses téméraires innovations en Toscane, avec le janséniste Ricci, évêque de Pistoie. 245-247 Opposition que rencontrent les innovations de Joseph II en Allemagne. 247249 Voyage de Pie VI à Vienne. Différence de la manière dont il est reçu par le peuple et par l'empereur. Témoignages et sentiments d'auteurs protestants. 249 252 Réponse du protestant Jean de Muller au libelle schismatique d'Eybel. 252-254 Joseph II continue ses innovations ré— volutionnaires : il est sur le point de rompre ouvertement avec le Saint-Siége. 254 et 255 Quatre archevêques d'Allemagne favorisent les innovations schismatiques de Joseph II. Congrès schismatique de leurs députés à Ems. Remarques du protestant Jean de Muller et du protestant Starck à cet égard. 255-260 Origine suspecte de l'université de Bonn. 260 et 261 Opposition des évêques aux articles schismatiques d'Ems, qui sont condamnés par le Pape et abandonnés plus ou moins sincèrement par leurs auteurs et fauteurs. 261-263 Les innovations révolutionnaires de Joseph II lui font perdre la Belgique. 263-266 Tableau que le poète Schiller trace de l'Allemagne dans deux de ses drames, en particulier dans ses BRIGANDS. 266-268 § VIII. Etat de l'Angleterre catholique et de l'Angleterre protestante. Formation des Etats-Unis d'Amérique. Mœurs des rois et papes hanovriens d'Angleterre. 269 et 270 Souffrances de l'Angleterre catholique. Les derniers Stuarts. 270 et 271 Etat du clergé catholique d'Angleterre dans cette période. Excellents écrits de l'évêque Challoner et de l'abbé Butler. 271-276 Législation plus humaine de l'Angleterre protestante envers l'Angleterre ca→ tholique, qui enfante l'Eglise féconde des Etats-Unis. 276-279 Conversion de M. Thayer, ministre presbytérien. Vie du vénérable Benoit280-284 Joseph Labre. Funestes conséquences du protestantisme en Angleterre, avouées par les Anglicans eux-mêmes. 284-286 Divisions doctrinales parmi les Anglicans; les uns tombent dans l'arianisme et l'incrédulité, quelques-uns les combattent, mais sans suite ni ensemble, 286289 Conversion d'Elisabeth Pitt. 289-291 § IX. Décomposition sociale de la France et de l'Europe, par les nobles, les magistrats, les hommes de lettres soi-disant philosophes. Réunion de la Lorraine à la France. Suppression des Jésuites. Sociétés secrètes. Commencements du règne de Louis XVI. Commune dégénération des maisons régnantes en Europe, pendant le dixhuitième siècle. 292-294 Démoralisation croissante de la France nobiliaire sous Louis XV; elle n'est blàmée que par le peuple. 294-300 Les parlements contribuent pour leur part à cette décomposition de la France. 300 et 301 Pour augmenter et perpétuer la confusion intellectuelle, Voltaire, d'Alembert et Diderot. bâtissent l'Encyclopédie, comme une autre tour de Babel : leurs aveux à cet égard. 301-304 Montesquieu favorise l'esprit superficiel et irreligieux de son siècle, pour capter ses applaudissements. Aveux qui lui échappent en faveur de la religion chrétienne. 304-310 Destruction des Jésuites, en ses différentes phases, d'après le protestant Sis mondi. 310-322 Les protestants Schlosser, Schoell et Starck jugent cet événement de la même manière Sismondi. 322-324 que Sociétés secrètes, franc-maçonnerie, illuminisme de Weishaupt, secondé par l'obscurantisme philosophique de Wolf et de Kant, aident à la décomposition sociale en France et en Allemagne. 324-327 Les parlements de France deviennent proprement révolutionnaires, en se prétendant le parlement à quoi les rois avaient donné lieu en supprimant les 327-329 états-généraux. La Lorraine, ravagée par Louis XIV, est restaurée par son duc Léopold, puis réunie forcément à la France, qui en ruine de nouveau le pauvre peuple. 329 333 Hostilité du parlement de Nancy, devenu français, contre le clergé lorrain. Histoire du curé de Ludres. 333-336 Mort du roi Stanislas et de la reine sa femme. 556 et 357 Etat de la France à l'avènement de Louis XVI. Vertus du jeune roi, célé— brées par les philosophes eux-mêmes et par Frédéric II. 337-340 Louis XVI est entouré de philosophes qui préludent à l'anarchie sociale. Mort de Voltaire. 340-345 Les parlements, rétablis par Louis Principes de vie et de guérison que renferme l'Eglise catholique, non-seulement pour elle, mais pour toutes les nations malades, particulièrement la France et l'Allemagne. Progrès et souffrances de la religion en Corée, en Chine et au Tong-King. Sainte mort de Louise de France et de saint Alphonse de Liguori. La société des Jésuites, supprimée sur les instances menaçantes des souverains catholiques, est conservée à la demande de deux souverains hérétiques, Frédéric de Prusse et Catherine de Russie. 357362 Services que les Jésuites rendent à l'Eglise dans leur dispersion en particulier le Jésuite italien Muzzarelli, 362 et 363 Les Jésuites français Neuville et Beauregard. 363 et 364 Les Jésuites Berthier et plusieurs 364-367 Décadence des autres ordres religieux. 567 et 368 autres. Balzac présente le même ensemble. 374 Le théologien Bailly expose le même ensemble de la religion chrétienne et de l'Eglise catholique, dans ses traités de la religion et de l'Eglise, dont le premier est dédié à l'évêque d'Apchon. 575-378 Hooke s'accorde avec les précédents. 378 et 379 Eclaircissement sur la fin ou les fins de l'homme; fin naturelle et fin surnaturelle. Ce qui manque sous ce rapport à Bailly, à Hooke et à Bergier. 379-384 Plan de Bergier dans son Traité de la Religion. 384-394 Règle de Bergier pour les trois espèces de certitude, et accord de cette règle avec celle de la foi catholique. 394-397 Conciliation entre la philosophie et la théologie. 397-400 Erection de l'évêché de Saint-Dié. Notice sur Claude Sommier et ses ou400-403 vrages. Notice sur Nancy et l'érection de son évêché. 403 et 404 Zèle pour l'instruction de la jeunesse en Lorraine plusieurs congrégations religieuses fondées dans ce but. : 404 L'abbé Vatelot, fondateur des Vatelotes ou sœurs de la doctrine chrétienne. 404 et 405 L'abbé Moye, fondateur des sœurs de la Providence en Lorraine et en Chine. 405-440 Lorrains qui se distinguent par leurs écrits, comme les abbés Sigorgne, Ladvocat, de Vence, etc., les poètes Gilber! et Palissot. 410 et 411 411 Notice sur Laharpe. Sur les abbés Guénée, Gérard, Bullet et plusieurs autres. 411-413 Ecrits du cardinal de Polignac, de Le Franc de Pompignan, archevêque de Vienne; du Plessis d'Argentré, évêque de Tulle; de la Luzerne, évêque de Langres. 413 et 414 Notice sur M. de Beaumont, archevêque de Paris. 414 et 415 Ecrits de l'abbé de Feller, ancien Jésuite, et d'autres ecclésiastiques allemands. 415-417 Ecrits de Martin Gerbert, Bénédictin allemand. 417 et 418 |