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tranquilliser leur royaume, abattre l'orgueil des grands et affermir la monarchie. · Création de la SainteHermandad. Démolition des châteaux et forteresses des grands seigneurs. Révocation de beaucoup de donations des biens de la couronne, faites sans des motifs suffisans. Agrégation des grandes maîtrises des ordres militaires à la couronne. - Privation du droit anciennement accordé aux grands de souscrire Nouveau réglement du Conseil

les diplômes royaux.

et de la magistrature.

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sciences et aux arts. Réflexions sur les causes qui portèrent les rois catholiques à créer l'inquisition et à exiler les juifs. Coup-d'œil sur les divers états de prospérité et de malheur des juifs en Espagne. Pag. 98

CHAP. XVIII. Nouveaux accroissemens de la monarchie espagnole, par ses découvertes dans le Nouveau-Monde. -Sage politique des rois catholiques et de leurs successeurs dans les établissemens de leurs colonies. Pag. 137

CHAP. XIX. Nouveaux désordres après la mort de la reine Dona Isabelle. - Vexations des courtisans flamands de Philippe-le-Bel, et de Charles V. Guerre des Comuneros. Dernier état des Cortès. Pag. 195

CHAP. XX. Grandeur colossale de la monarchie espagnole sous le règne de Charles-Quint. - Sage politique de l'empereur pour étouffer l'insurrection des Comuneros. Causes pour lesquelles la grandeur de la monarchie espagnole ne se conserva pas très

...

long-temps.

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Défaut de lumières dans l'économie

po

litique. Manque de grands capitalistes pour le commerce. -Erreurs très remarquables du gouvernement sur des points d'économie.

gion; démêlés avec les papes.

- Guerres de reli

Détresse du trésor

dans les dernières années de ce règne.

Projet du

Conseil d'Etat pour l'amélioration des finances.-Opposition des moines à l'exécution du projet sur la vente des biens du clergé. Pag. 209

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CHAP. XXI. Etat très florissant de la monarchie espagnole dans les commencemens du règne de Philippe II. Ses ordres pour la statistique de ses Etats. — Idée de l'étendue du commerce espagnol. Politique de Philippe II. Ses dépenses immenses dans les guerres contre les hérétiques. Révolte des Hollandais, et grandes pertes qu'il éprouva pour les soumettre. Autres pertes dans les guerres contre les Anglais. Secours qu'il donna aux Français catholiques à l'époque de la Ligue. ·Progrès du commerce français dans la

-

Péninsule. Vaines remontrances des Cortès contre les manufactures françaises. --Démêlé de Philippe II. avec le pape Paul IV. Nouveaux efforts de la cour de Rome pour déprimer les droits de la puissance civile. Bulle de la Cène. Négociations pour abolir l'usage des recours de force et de retenue des bulles dans les tribunaux espagnols. Attentats d'un nonce du pape. Ressentiment de Philippe II. —Exil du nonce, et autres mesures pour la défense de l'autorité royale.

--

Agrégation de la monarchie portugaise à la cou

ronne d'Espagne. - Nouvelle organisation du Conseil royal. - Grands embarras du trésor dans les dernières Vains projets pour augmenter

années de ce règne.

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ses ressources.

Pag. 253

TOME SECOND.

SECONDE PARTIE.

-

CHAP. II. Décadence de la monarchie espagnole au xvn siècle. Multiplication excessive des couvens, chapellenies et d'autres œuvres pieuses sous le règne de Philippe III. Augmentation de la corruption des mœurs dans ce même temps. - Paix avec les Hollandais.-Expulsion des Mauresques de Grenade. — Dommages que causa leur proscription. Rapport du Con

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seil de Castille sur les malheurs que souffrait la monarchie espagnole, et sur leurs remèdes.

CHAP. II. Règne de Philippe IV.

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pag. I

Junte de censure, et

pragmatique pour la réforme des mœurs.-Inefficacité de pareils moyens pour corriger les vices. Création d'une banque nationale. — Pétitions des Cortès de Madrid de 1626, contre l'amortissement ecclésiastique des biens-fonds, et contre le grand nombre et la trop grande

richesse du clergé.

Pacte de Philippe IV avec les Cortès de 1638, de ne plus permettre les fondations de nouveaux couvens de religieux ni de religieuses. -- Projets impolitiques au moyen desquels on augmenta sous ce règne les revenus du trésor. - Nouveaux efforts de la cour de Rome contre la puissance civile, prohibant dans son index expurgatoire les ouvrages des défenseurs de l'autorité royale. Plaintes de Philippe IV au pape contre cet abus. - Ambassade extraordinaire d'un évêque et un conseiller pour solliciter à Rome la réforme d'autres griefs dans les pensions sur les bénéfices ecclésiastiques, etc., etc. · Consultation du sieur Gonzalez, conseiller de Castille, relativement à l'influence de l'inquisition sur la décadence de la monar

-

chie espagnole. - Écrivains publicistes du xviie siècle. Opinion sur leurs ouvrages. Autres preuves de la faiblesse de l'Espagne à ladite époque. . . pag. 20

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CHAP. III. État malheureux de l'Espagne sous le règne de Charles II. Ténacité de son gouvernement au maintien de ses anciens préjugés, remarquée par un savant évêque. - Parallèle du caractère espagnol et du caractère français. Politique de Louis XIV. Élévation de la monarchie française.

chie espagnole.

CHAPITRE Ier

Abaissement de la monar

TROISIÈME PARTIE..

pag. 54

Régénération de la monarchie espa

gnole par les Bourbons. - Sage politique de Philippe V.

-Variation du vêtement espagnol de la golille.--Réformes dans les finances. Démêlé de Philippe V avec

-

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la cour de Rome; clôture de la nonciature, et interdiction du commerce des Espagnols avec cette cour. Nouvelle organisation du Conseil de Castille. - Mémoire de Macanaz, procureur du roi dans ce Conseil, pour la réformation de quelques abus du clergé. Condamnation de ce mémoire par l'inquisition. — Courroux de Philippe V pour cet attentat. - Variation dans la politique de ce roi par son second mariage avec Isabelle de Farnèse, princesse de Parme, et par les intrigues de l'abbé Albéroni. - Encouragemens donnés à la littérature par Philippe V. Établissement d'une bibliothèque royale. - Du père Feyjoo.- Fondation des ́académies de la langue espagnole, et de l'histoire. Concordat avec le pape Clément XII, en 1737. — Efforts pour la connaissance de la statistique de l'Espagne. ---Progrès de la politique économique. pag. 68

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CHAP. II. - Règne de Ferdinand VI. Ministère du marquis de l'Ensenada. Innovations dans l'administration dés finances. —- Projet de l'unique contribution. Création de l'académie de peinture, sculpture et archi. Nouveaux encouragemens aux sciences.

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tecture.
Voyages littéraires défrayés par le trésor public.
autre concordat avec le pape, l'an 1752.

CHAP. III.

- Un

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pag. 100

Règne de Charles III. · Pacte de famille

avec la France. Avantages de ce pacte.-Nouvelles discordes entre les autorités écclésiastique et civile.

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