Lucrèce Borgia; Marie Tudor; Angelo

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Popüler pasajlar

Sayfa 261 - Tous deux sont morts. — Seigneur, votre droite est terrible ! Vous avez commencé par le maître invincible, Par l'homme triomphant, Puis vous avez enfin complété l'ossuaire ; Dix ans vous ont suffi pour filer le suaire Du père et de l'enfant ! Gloire, jeunesse, orgueil, biens que la tombe emporte! L'homme voudrait laisser quelque chose à la porte, Mais la mort lui dit non! Chaque élément retourne où tout doit redescendre. L'air reprend la fumée, et la terre la cendre. L'oubli reprend le...
Sayfa 101 - Il est si beau, l'enfant avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa...
Sayfa 14 - M'ont fait deux fois l'enfant de ma mère obstinée; Ange qui sur trois fils attachés à ses pas Epandait son amour et ne mesurait pas! Oh! l'amour d'une mère!— amour que nul n'oublie! Pain merveilleux qu'un Dieu partage et multiplie! Table toujours servie au paternel foyer! Chacun en a sa part, et tous l'ont tout entier!
Sayfa 16 - C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie. L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie. Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal, Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore Mit au centre de tout comme un écho sonore.
Sayfa 32 - Calme et silencieux, avez-vous écouté ? Voici ce qu'on entend, du moins un jour qu'en rêve Ma pensée abattit son vol sur une grève, Et, du sommet d'un mont plongeant au gouffre amer, Vit d'un côté la terre et de l'autre la mer, J'écoutai, j'entendis, et jamais voix pareille Ne sortit d'une bouche et n'émut une oreille.
Sayfa 152 - Donne à vos fils la force ct la grâce à vos filles ; Afin que votre vigne ait toujours un doux fruit ; Afin qu'un blé plus mûr fasse plier vos granges...
Sayfa 151 - Riches, heureux du jour, qu'endort la volupté, Que ce ne soit pas lui qui des mains vous arrache Tous ces biens superflus où son regard s'attache; — Oh ! que ce soit la charité...
Sayfa 258 - Quand, pour loger un jour ce maître héréditaire. On eut enraciné bien avant dans la terre Les pieds de marbre des palais ; Lorsqu'on eut pour sa soif posé devant la France Un vase tout rempli du vin de l'espérance, — Avant qu'il eût goûté de ce poison doré. Avant que de sa lèvre il eût touché la coupe, Un cosaque survint qui prit l'enfant en croupe, Et l'emporta tout effaré...
Sayfa 85 - Mais non. Au milieu d'eux rien ne s'évanouit. L'orientale d'or plus riche épanouit Ses fleurs peintes et ciselées, La ballade est plus fraîche, et dans le ciel grondant L'ode ne pousse pas d'un souffle moins ardent Le groupe des strophes ailées. Je les vois reverdir dans leurs jeux éclatants, Mes hymnes, parfumés comme un champ de printemps.
Sayfa 254 - Et lui ! l'orgueil gonflait sa puissante narine ; Ses deux bras, jusqu'alors croisés sur sa poitrine, S'étaient enfin ouverts ! Et l'enfant, soutenu dans sa main paternelle, Inondé des éclairs de sa fauve prunelle, Rayonnait au travers...

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