| 1825 - 506 sayfa
...rue. Aussitôt que j'y fus , M. le prince m'y vint voir ; il étoit dans un état pitoyable : il avoit deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse étoit pleine de coups,... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - 1825 - 510 sayfa
...rue. Aussitôt que j'y fus , M. le prince m'y vint voir ; il étoit dans un état pitoyable : il avoit deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse étoit pleine de coups,... | |
| 1825 - 508 sayfa
...rue. Aussitôt que j'y fus , M. le prince m'y vint voir ; il étoit dans un état pitoyable : il avoit deux doigts de poussière sur le visage , ses cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins de sang, quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse étoit pleine de coups ,... | |
| Jean de La Fontaine - 1827 - 620 sayfa
...Aussitôt que j'y fus, M. le Prince m'y vint voir; il étoit dans « un état pitoyable ; il avoit deux doigts de poussière sur le visage, « ses cheveux tout mêlés; son collet et sa chemise étoient pleins de « sang, quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse étoit pleine de « coups,... | |
| Louis Henri de Loménie comte de Brienne - 1828 - 494 sayfa
...qui me la vint offrir : c'est la plus proche de la Bastille , et les fenêtres donnent sur la rue. Aussitôt que j'y fus , M. le Prince m'y vint voir;...cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étaient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse était pleine de coups , et il tenait... | |
| Louis-Henri de Loménie De Brienne - 1828 - 464 sayfa
...qui me la vint offrir : c'est la plus proche de la Bastille , et les fenêtres donnent sur la rue. Aussitôt que j'y fus, M. le Prince m'y vint voir...cheveux tout mêlés ; son collet et sa chemise étaient pleins de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa cuirasse était pleine de coups , et il tenait... | |
| 1901 - 990 sayfa
...Saint-Antoine. On lui offrit l'hospitalité dans une maison près de la Bastille; elle y monta : <• — Aussitôt que j'y fus, M. le Prince m'y vint voir; il était dans un étal pitoyable : il avait deux doigts de poussière sur le visage, ses [cheveux tout mêlés; son... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1840 - 646 sayfa
...le prince de Condé. « II m'y vint voir, dit-elle; il « étoit dans un état pitoyable; il avoit deux doigts « de poussière sur le visage ; ses cheveux tout « mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins « de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé; sa « cuirasse étoit pleine de coups,... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1840 - 648 sayfa
...prince de Condé. « Il m'y vint voir, dit-elle ; il « étoitdansun état pitoyable; il avoitdeux doigts « de poussière sur le visage; ses cheveux tout « mêlés ; son collet et sa chemise étoient pleins « de sang , quoiqu'il n'eût pas été blessé ; sa « cuirasse étoit pleine de coups,... | |
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